Etienne Mougeotte Fils : Il est décédé le 7 octobre 2021, après une longue carrière de journaliste et de directeur des médias en France. Étienne Mougeotte est né le 4 mars 1940 à Paris. Au cours de ses cinquante ans au sein de TF1, il a été vice-président du groupe TF1 et, avec Patrick Le Lay, directeur satellite de TF1.
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Ancien rédacteur en chef du Figaro, il a également été directeur général de Radio Classique pendant une décennie, de 2012 à 2018. Au plus fort de la drôle de guerre, La Rochefouled le 4 mars 1940. Enfant, son père était un Inspecteur SNCF et sa mère était femme au foyer en Charente. En raison de l’incapacité de sa mère à subvenir à ses besoins après la mort de son père alors qu’il avait 18 ans, il a été contraint de commencer à travailler. (([3] Pour le préparer à ses études à Sciences Po, il fréquente le lycée Henri-IV, où il devient vice-président de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF). Il est hostile au président Charles de Gaulle alors en conservant une position anti-marxiste. Son passe-temps favori d’étudiant était de jouer au basket avec Lionel Jospin. Il termine ses études à l’Institut français de la presse. Mougeotte rejoint TF1 en 1987, qui vient d’être rachetée par Bouygues lorsqu’il arrive en 1987. 1989, il obtient rapidement le poste de vice-président du groupe TF1 et directeur d’antenne de TF1.[5]À ce jour, sa voix est affectée par le mal de gorge détecté en 1987. Patrick Le Lay et lui sont les moteurs du succès du groupe respectivement dans les années 1990 et au début des années 2000. C’est par exemple lui qui a embauché Nikos Aliagas et Arthur, ainsi que Christophe Dechavanne et Jean-Luc Reichmann, ainsi que d’autres présentateurs de renom. de la direction de Mougeotte , un certain nombre d’émissions populaires ont été lancées, notamment Sky, My Tuesday, Take It or Leave It, Who Wants to Be a Millionaire?, et d’autres. Il a été bien acclamé pour ses capacités journalistiques et professionnelles, ce qui en a fait un nom familier. Après avoir quitté TF1 en 2007, Mougeotte a commencé à travailler comme consultant en communication. [5] Le successeur de Patrick Le Lay, Nonce Paolini [ fr ], l’a retenu comme conseiller. En 2007, il rejoint Le Figaro Magazine en tant qu’assistant éditorial, et il est promu directeur éditorial, en remplacement de Nicolas Beytout, en novembre. Le 2 décembre 2007, il rejoint l’équipe d’interview du Grand Jury. En 2012, il était membre d’un groupe qui a soutenu la réélection de Nicolas Sarkozy. [10] Après qu’Alexis Brézet a été nommé rédacteur en chef du Figaro en juillet 2012, il a démissionné.
Etienne Mougeotte est un journaliste et directeur de presse français né le 4 mars 1940 à La Rochefoucauld (Charente) et décédé le 7 octobre 2021 à Paris.
Au cours de ses cinquante ans de carrière dans le paysage audiovisuel français, il a été vice-président du groupe TF1 et directeur de l’antenne de la chaîne française TF1 de 1987 à 2007, aux côtés de Patrick Le Lay, directeur de la rédaction du Figaro de 2008 à 2012 et directeur général de Radio Classique de 2012 à 2018. Ses médias (Europe 1, Le Journal du dimanche, Télé 7 jours, TF1) sont connus pour faire croître leurs audiences au point qu’ils sont parfois premiers dans leurs industries sur le plan commercial.
Il a également été actionnaire majeur et président du groupe Valmonde, dont fait partie l’hebdomadaire Valeurs contemporaines, de 2015 à 2020. Étienne Mougeotte est né en Charente le 4 mars 19402, pendant la guerre impaire, d’un père inspecteur SNCF et d’un mère au foyer. deux. Il est l’aîné de trois frères et sœurs 2. Son père est décédé alors qu’il avait 18 ans, laissant sa mère sans autre choix que de chercher du travail 2.
Compagnon 2 Étienne Mougeotte est un élève hypokhâgne au Lycée Henri-IV à Paris ; ensuite, il prépare le concours d’entrée à l’ENA à Sciences Po, où il est vice-président de l’UNEF, l’un des plus importants syndicats étudiants, et responsable des relations internationales. 2, 3, 2, 2, 2, 2, 2 Tout en étant « anti-marxiste », il était alors opposé au président Charles de Gaulle. 2. Son expérience de syndicaliste, où l’on attend “la langue de bois”, l’a poussé à choisir le journalisme plutôt que la politique. 2. Il a terminé sa formation de journaliste à l’Institut français de la presse, toujours situé à Paris. Il est basketteur universitaire à ses heures perdues, où il côtoie Lionel Jospin. Étienne Mougeotte a commencé son travail comme reporter pour le quotidien Paris-Normandie avant de rejoindre France Inter en 1967 comme journaliste à Beyrouth, notamment lors de son service militaire en tant que collaborateur de la radio libanaise 3 et 2. Durant cette période tumultueuse dans la région, il continue d’être pigiste pour France Inter, notamment pendant la Seconde Guerre des Six Jours. Après mai 1968, il travaille brièvement comme présentateur de presse sur Europe 1. Il rejoint l’ORTF en 1969 comme rédacteur en chef adjoint en charge du journal de la première chaîne. A partir de novembre 1972, il anime l’émission Information Première, qu’il alterne avec Philippe Gildas. Il travaille pour RTL de 1972 à 1973 avant de revenir sur Europe 1 en 1974 comme rédacteur en chef puis directeur de l’information jusqu’en 1981.
A partir de 1981, il est responsable de la rubrique Médias du groupe Matra-Hchette, dirigée par Jean-Luc Lagardère 2. De 1984 à 1987, il est rédacteur en chef du Journal du dimanche puis de Télé 7 jours, toutes deux étaient des filiales de l’entreprise.
Etienne Mougeotte, le n°2 de TF1 et l’artisan de son succès, a-t-il été tué ?
C’était une figure légendaire du monde de la production audiovisuelle qui vient de s’éteindre. Étienne Mougeotte, 81 ans, est décédé jeudi d’un cancer. Après la privatisation de TF 1, il participe au lancement d’Europe 1, la première radio commerciale du pays. A noter également qu’il a été un patron médiatique important, avec le Journal du Dimanche et Le Figaro, qui avaient tous deux sous sa houlette un site Internet numéro un. Au début des années 1970, cet omnivore des médias a commencé à travailler pour le gouvernement en tant que producteur et consultant audiovisuel. Lorsque Pierre Desgraupes, le chef de la rédaction d’« Information Première », lui demande d’animer le 23 h. diffusé, il a accepté le poste avec enthousiasme. Le talent de Mougeotte l’a propulsé en tête du classement de 20h. créneau horaire en seulement 15 jours, alors que la page principale détenait 85 % de part d’audience sur la seconde. Au début de la trentaine, il était déjà en couverture de Télé 7 jours. Michel Drucker, ancien chroniqueur sportif, et Philippe Gildas, avec qui Mougeotte va créer une excellente équipe, figuraient dans notre repêchage « First Information ». Une fois la télévision terminée, ces deux-là se retrouvent à RTL pour faire les journaux télévisés du matin avant de partir pour Europe 1. Alors qu’il travaille comme réalisateur visionnaire entre 1974 et 1981, Mougeotte s’impose comme un artiste. Lorsque Jean-Luc Lagardère prend la relève, il abandonne l’antenne pour en faire la radio numéro un. C’est l’apogée de la diffusion ! Dans Le Club de la presse, Charles Villeneuve, Guillaume Durand, Jean-Claude Dassier et d’autres ont formé une “dream team” à TF 1 suite à la privatisation : Anne Sinclair, Gérard Carreyrou et Charles Villeneuve. Mougeotte a gravi les échelons de journaliste respecté à directeur de succursale. Il est réputé pour sa capacité à identifier les émissions et les présentateurs les plus populaires, comme Jean-Pierre Peanut. Dès que je l’ai vu, je n’ai pas pu y croire. Stéphane Collaro, Patrick Sabatier et Patrick Sébastien avaient tous filé sur le 5 de Silvio Berlusconi à l’époque. Les étoiles se sont estompées. Un pari sur Jean-Pierre Foucault, qui animera sur Antenne 2 et RMC, a été fait par lui. Ils ont entamé un règne de 20 ans sur la scène audiovisuelle avec “Sacré Soirée”, captant plus de 40% de part de marché. La chaîne est en plein essor.
Le regretté Étienne Mougeotte, ancien numéro deux de TF1, est-il vraiment parti ?
Selon des informations radiophoniques, Étienne Mougeotte, 81 ans, est décédé jeudi après-midi des suites d’une longue maladie. A TF1 pendant plus de 20 ans, il n’était devancé que par Patrick Le Lay en termes d’ancienneté. Au moins une des diverses incarnations professionnelles d’Etienne Mougeotte a marqué durablement l’histoire des médias français. L’homme, décédé jeudi à l’âge de 81 ans après un long combat contre la maladie, a régné sur la programmation de TF1 de 1987 à 2007. Un bail de vingt ans, qui coïncide avec l’époque de la toute-puissance du groupe Bouygues dans l’audiovisuel, Au sommet de l’entreprise, il a constitué une équipe avec Patrick Le Lay, le PDG, plus impliqué dans la gestion et la finance, pour faire une combinaison complémentaire. Des talents cathodiques comme Patrick Poivre d’Arvor, Claire Chazal et Christophe Dechavanne sont sous leurs ordres à TF1 alors qu’ils atteignent des audiences stratosphériques. Parfois, la part du marché dans l’ensemble du marché est supérieure à 40 %. Force et influence surhumaines La personnalité emblématique de la télévision française a publié son autobiographie, “Powers”, en février de l’année dernière. Dans ce livre, politique et journalisme ne font pas toujours bon ménage. Paris Match était venu juste pour le voir. Grand reporter à France Inter puis journaliste à Beyrouth, il grandit à La Rochefoucauld, en Charente, dans une famille modeste et débute sa carrière en 1965. Rédacteur en chef du Journal du dimanche, Jean-Luc Lagardère donne lui décroche le poste en 1981. En 1987, il épaule Jean-Luc Lagardère, candidat raté à la privatisation de Télévision France 1. Francis Bouygues l’emporte et recrute Mougeotte comme directeur d’antenne de la première chaîne. Par exemple, Mougeotte a dit un jour qu’un directeur de programme ne devrait pas mélanger ses intérêts personnels avec les goûts des autres dans un petit comité où il était un participant régulier. Il aimait le golf et l’opéra, mais TF1 était le dernier endroit où il les voulait. L’inquiétude du public ne doit pas être confondue avec un désir de rehausser le profil du public. Les génies du marketing parmi nous applaudiront ; les cyniques parmi nous ricaneront.
Etienne Mougeotte, l’ancien numéro 2 de TF1, est-il mort à 81 ans ?
C’est une mauvaise nouvelle pour l’industrie des médias. La famille d’Étienne Mougeotte, décédé le 7 octobre à l’âge de 81 ans après un long combat contre le cancer, a informé nos confrères européens. Au fil de sa carrière, ce journaliste a laissé son empreinte tant à la radio qu’à la vidéo. Étienne Mougeotte a repris cette radio en 1974 après avoir travaillé comme reporter et correspondant pour France Inter à Beyrouth et brièvement pour Europe 1. Journaliste qui a travaillé comme rédacteur en chef pendant plus de sept ans avant d’être promu directeur de l’information, Étienne Mougeotte, un passionné de technologie avec un vif intérêt pour le domaine de l’information, a décidé d’essayer la télévision. En 1987, le journaliste devient membre du grand clan TF1. Il est ensuite promu vice-président du groupe TF1 avant de devenir directeur d’antenne de la première chaîne européenne détenue à l’époque par la société Bouygues. Jusqu’en 2007, Étienne Mougeotte était le leader du groupe et il aspirait à rendre la connaissance plus publiquement accessible aux téléspectateurs. Quand Claire Chazal animait le 20h. news le 24 juin 1994, il annonce le lancement de LCI, une chaîne d’information en continu. En raison de son horaire de travail chargé, sa marionnette des Guignols a eu le droit de dresser un bilan financier personnel lamentable. En février 2021, après la parution de son livre Pouvoirs (Ed. Calmann-Levy), Étienne Mougeotte se révèle dans les colonnes de Paris Match. “Ce serait un euphémisme de dire que ma vie professionnelle a dominé ma vie.” Cela a un peu affecté ma famille. “J’en suis désolé maintenant,” dit-il, sa voix remplie de remords. Il a fait le sacrifice ultime, mais c’est celui qui lui a permis de devenir un personnage mythique du cinéma français. Il y a eu une réaction immédiate à cette nouvelle. La perte d’Étienne Mougeotte a été particulièrement dure pour Jean-Pierre Foucault, qui a travaillé à ses côtés. C’est avec une grande urgence que le présentateur de Sacred Evening a tweeté un adieu du fond du cœur à son ancien employeur. Suite au départ d’Étienne Mougeotte, je ressens un sentiment de perte. “Depuis la fin des années 60, nous avions travaillé ensemble à Europe 1, Télé 7 jours et TF1”, affirme-t-il dans son essai. Le type « rigoureux, innovateur » qui a fait de lui un « employeur exigeant et un ami » n’avait pas encore été présenté. Même la journaliste Valérie Benaim n’a pas pu dissimuler son émotion profonde lorsque cette déclaration a été faite sur le plateau de Touche et non à mon poste. Christophe Beaugrand, l’animateur de l’émission, ne peut manquer de rendre hommage à celui qui “lui a donné sa première chance” de réussir