Eric Micoud Maladie : Seuls quelques détails sont connus concernant son état. Plus d’informations peuvent être trouvées sur le site Web mentionné ci-dessus. https://www.instagram.com/ericmicoud/?hl=fr Mardi à Sèvres, Yop, le partenaire de Rudy Gobert, a versé 61 700 euros à la Rudy’s Kids Foundation pour reconstruire le site de Saint-Quentin, où Rudy jouait jeune. Lors de la saison régulière, les compteurs du pivot français des Utah Jazz ont été relevés à 35 000 euros. Un concours de tir pour les journalistes et les célébrités a permis d’amasser 26 700 $ supplémentaires.
Rudy Gobert a une soirée pour remercier ses “coéquipiers”. Plus de 35 000 euros ont été récoltés mardi soir par 25 journalistes et célébrités du basket sur le sol du gymnase de Sèvres pour Rudy’s Kids Foundation, qui serviront à réaliser l’un des rêves de Rudy : restaurer la terre où il a grandi. La grande victoire de cette semaine est venue de Jacques Monclar, Kévin Séraphin, Rémi Reverchon, Eric Micoud et Stephen Brun, entre autres, qui ont pu ajouter 2 points au pot de 35 000 euros grâce en partie au jeu stellaire de Rudy Gobert lors des matchs de son équipe.
(Yop fait un don de 500 euros à Rudy’s kid foundation depuis deux ans pour financer des programmes jeunesse en France). Yop avait accepté de débourser 100 euros pour un lancer réussi et 500 euros pour un but à trois points réussi lors de cette bataille litigieuse alors que le principal était absent, lié par ses engagements de joueur NBA. Le tout pour gonfler davantage les caisses de la fondation. Par la suite, Rudy Gobert l’a remercié en lui disant : “Tu as pris beaucoup de clichés, c’est un bonheur.” “Après avoir raté seize matchs cette année, c’est merveilleux de savoir que je peux compter sur votre soutien pour augmenter le total de ma contribution. De plus, la somme de 61 700 € est plutôt impressionnante.”
Un terrain de basket à Saint-Quentin va être rénové cette année grâce à la coopération entre “Gobzilla” et Yop, et pas n’importe lequel puisque c’est celui où l’ancien joueur de Cholet, alors très jeune, a fait ses premiers pas en tant que joueur de basketball. “Champs Elysées fait référence à ce quartier de la ville. Pas celui de Paris, mais celui de Saint-Quentin.
L’équipe professionnelle de basket-ball de la ville joue sur le terrain de basket devant le Palais des Sports. Le basket-ball et le football étaient mes sports préférés sur ce terrain. terrain quand j’étais gamin. Avoir Yop à bord pour nous aider à mener à bien ce projet, c’est formidable, et j’ai hâte de voir ce qu’il nous réserve !” Avec l’aide de l’association Etendard, un natif de Saint-Quentin sera le maître d’œuvre du projet. “Nous créerons un design qui a à la fois un but et un attrait esthétique.
Après cela, nous travaillerons pour offrir aux jeunes la possibilité d’utiliser le terrain pour des activités autres que le basket-ball, telles que l’expression créative et l’acquisition de nouvelles compétences. les gens en profitent vraiment.” C’est la chose la plus importante pour Gobert. Comme toujours, il a une philosophie de vie qui se concentre sur l’aide aux nécessiteux.
Ce jeu est “l’oeuvre d’une vie d’Antetokounmpo”, selon Eric Micoud.
Une mauvaise série de résultats a tourmenté l’équipe ces dernières années. Sans oublier les éliminations précoces contre des clubs de premier plan à Rouen (2018-2019), Saint-Vallier (2017-2018) ou Bordeaux (2014-2015). Pour retracer les origines de l’épopée, il faut remonter à l’exercice 2011-2012, lorsque les Choletais ont fait tomber leur drapeau en demi-finale à Chalon (79-83).
Cholet Basket a été invité quatre fois en finale de Coupe de France. La bataille finale, en 2008, a été perdue à Villeurbanne (76-86). La confrontation de 2005 avec Gravelines (79-91) n’avait pas été beaucoup plus optimiste.
Pourtant, à Bercy en mai 1998 et mai 1999, CB a créé deux de ses plus grands chapitres de l’histoire en y soulevant le trophée.
Après ce sacre final, que sont devenus les héros de cet événement ? Cholet Basket bat Strasbourg le 2 mai 1999, en grande partie grâce à un certain David Gautier. L’entraîneur de l’UF Angers Women’s League, aujourd’hui âgé de 19 ans, se souvient et se remémore ses coéquipiers alors qu’il n’avait que 19 ans.
Cette défaite rennaise n’est-elle que la dernière humiliation pour Bordeaux ?
Laurent Koscielny ne s’attendait pas à ce que sa carrière se termine ainsi. Un mois avant le début de la Coupe du monde 2018, il a été contraint à l’abandon de la compétition après s’être blessé au tendon d’Achille. Il a supposé qu’il signait pour un club ambitieux comme Bordeaux en 2019. Bien que les choses se soient dégradées depuis leur quart de finale de la Ligue des champions en 2010, les sorties du talismanique Yoann Gourcuff et de l’entraîneur Laurent Blanc, et leur succès en championnat en 2009, les choses s’était enfin retourné.
Ce n’est qu’après l’arrivée de Koscielny qu’ils ont été réinvestis dans des joueurs établis comme Mixer et Rémi Oudin, qui avaient été vendus par l’académie du club. Cependant, les choses ont pris une tournure rapide pour le pire. Bien qu’elle évolue régulièrement en Ligue Europa et qu’elle possède un beau nouveau stade, le Matmut Atlantique, l’équipe risque d’être reléguée en Ligue 2. Une demi-douzaine d’habitués, dont le capitaine Laurent Koscielny, ont reçu pour instruction de s’entraîner séparément de la première équipe. Le FL’ancien défenseur d’Arsenal est désormais lié à un transfert en janvier loin des Emirats. Vladimir Petkovic, le manager qui avait aidé la Suisse à éliminer la France de l’Euro 2020, a été embauché par Bordeaux cet été en signe d’ambition. Même si son manque de succès au niveau du club apparaît désormais comme un signe rouge, cela semblait être un choix judicieux à l’époque. L’arrivée d’Alberth Elis et le retour du prêt de Yacine Adli augurent bien de la créativité dans l’entrejeu du nouveau coach, malgré un manque de moyens. L’arrivée en milieu de tableau n’était pas hors de portée pour Arsenal, Koscielny ancrant une défense expérimentée et Ui-jo Hwang guidant l’attaque.
Connaissez-vous la toxine ?
Il est cependant possible que le climat toxique qui règne au club sous la direction de Gérard Lopez les mène au statut de Ligue 2. Sur et en dehors du terrain, leur défaite 6-0 contre Rennes dimanche a révélé leurs défauts. Cependant, malgré la très bonne équipe de Bruno Génésio qui a perdu contre Bordeaux alors qu’il ne jouait qu’avec dix hommes, l’équipe bordelaise semblait toujours mince, que l’absentéisme Covid-19 ait ou non quelque chose à voir avec cela.
Bien sûr, s’ils avaient sélectionné tous leurs meilleurs joueurs, l’équipe ne semblerait pas aussi fragile. Alors que la première équipe s’entraîne ensemble, le capitaine Koscielny et les autres joueurs bien payés, Paul Baysse, Otávio, Samuel Kalu et Mehdi Zerkane, font leur propre truc. Face à des pertes sans précédent, Lopez tente d’éliminer des joueurs afin de réduire les dépenses salariales du club. Pour ceux qui suivent la Ligue 1 depuis un certain temps, cela vous semblera assez familier – À Lille, Lopez a fait quelque chose de similaire en se débarrassant de joueurs de longue date comme Vincent Enyeama et Rio Mavuba et en vendant un nombre important de joueurs pour économiser de l’argent.
L’argent que Lille a rapporté en vendant Victor Osimhen, Nicolas Pépé et Gabriel a été partiellement réinvesti dans des joueurs plus jeunes avec un potentiel de revente, pour être juste envers Lopez. Je ne sous-entends en aucun cas que la stratégie d’achat bon marché et de vente élevée à la monégasque a été utilisée, mais Jonathan David, Sven Botman, Renato Sanches et Zeki Celik étaient d’excellents investissements. Après avoir vendu le club sous pression, Lopez a contribué à créer les bases du triomphe de la Ligue 1 l’an dernier.