by Céline Quatennens Linkedin:Elle avait déposé la dernière injure le 24 septembre. Selon nos dossiers, Céline Quatennens est retournée au commissariat le 26 septembre pour porter plainte contre son mari, Adrian Quatennens, qui avait déjà fait l’objet d’un nouveau signalement la veille. .
Ce même lundi 26 septembre, Adrien Quatennens a été entendu équitablement. L’épouse du député a été blessée les 28 août et 2 septembre lorsqu’il l’a giflée au visage, donnant à la police un aperçu de la relation tendue du couple. Actuellement, nous n’avons aucun moyen de le savoir.
Que le procès ait été intenté avant ou après l’audition de son mari, Céline Quatennens a affirmé qu’ils avaient une communication régulière. Lorsque la femme d’Adrien Quatennens l’a d’abord supplié d’arrêter, le 23 septembre, il a envoyé un message indiquant qu’il avait déjà arrêté.
Céline Quatennens a inclus des détails sur ces messages dans sa plainte à la police le 24 septembre. Après la fuite de la révélation, l’avocat du législateur LFI a publié un communiqué reconnaissant “une nouvelle main courante” de la part de l’épouse.
Les conversations textuelles liées au divorce de mon client ne contiennent aucun langage menaçant ou méchant, ainsi le nouveau journal peut simplement y faire référence, comme je l’explique dans mon article. Après que Céline Quatennens a déposé le premier manuel en septembre, Jade Dousselin a pris la relève en tant que régisseur de plateau.
En matière de « politique pénale volontariste de traitement des violences conjugales », la ville de Lille s’est emparée de ce sujet. Même maintenant, les audiences restent un aspect essentiel de l’enquête, aidant les autorités à en savoir plus sur les circonstances de la vie du couple. Dès que cette affaire a été rendue publique.
Le 20 septembre, la députée LFI Danièle Obono a déclaré qu’Adrien Quatennens quitterait ses fonctions de député, et il a rapidement démissionné de son poste de coordinateur de La France Insoumise et a fait un message sur Twitter admettant les abus envers sa femme.
L’affaire a suscité une vive polémique au sein même de LFI lorsqu’il a été révélé qu’il continuerait à représenter la 1ère circonscription du Nord. Les féministes ont condamné Jean-Luc Mélenchon et son adjoint Manuel Bompard pour avoir défendu leur position alors qu’ils étaient accusés de minimiser la gravité des violences conjugales.
Selon l’entourage d’Adrian Quatennens, Céline “est retournée au commissariat pour signaler qu’elle voulait modifier ses deux mains courantes en plainte” le 26 septembre. Cela rappelle “les mêmes faits, il n’y en a pas de nouveaux” qu’ils voulaient qu’elle porte .
selon une source proche du dossier, le député renégat est visé en raison de sa proximité avec Jean-Luc Mélenchon après sa femme, et l’ordre dans les détails de sa journée et officialise elle rapporte trois faits distincts, dont deux sont très récents, et elle a finalement porté plainte.
Dans le cadre de sa stratégie pénale volontariste concernant le traitement de Céline Quatennens, le parquet de Lille a ouvert une enquête préliminaire après le dépôt d’une première main courante. Cela a ensuite été reconnu par le premier représentant basé dans le Nord.
Le fait qu’il ait giflé sa femme et serré son poignet est une preuve importante dans leur affaire de divorce en cours. Au plus fort de la crise, le coordinateur LFI Adrien Quatens a démissionné par respect pour le chef adjoint.
Après cette remarque, saluée par le leader de l’opposition Jean-Luc Mélenchon, il y a eu un cri audible de la foule. À la lumière des développements actuels, il semble que les inquiétudes de Céline Quatennens concernant les textos excessifs de son mari aient été à l’origine du dépôt d’une deuxième main courante.
Céline Quatennens, épouse du député du Nord Adrien Quatennens, s’est prononcée contre ce qu’elle a qualifié de “rage”, de “crises” et d'”agressions physiques et morales” de son mari dans un entretien à l’Agence France-Presse mercredi 23 novembre. a également nié l’existence de tout “environnement d’agression mutuelle”.
Sa colère, ses crises, ses violences morales et physiques me tourmentent depuis un bon bout de temps. L’ancien député Adrien Quatennens, qui a reconnu le 18 septembre avoir abusé de sa femme dans un communiqué, sera entendu par un procureur le 13 décembre.
Je ne peux rester silencieux face à ce que je considère être des propos malhonnêtes tenus par M. Quatennens dans les médias dans le cadre d’un soi-disant processus de reconnaissance préliminaire de culpabilité (CRPC, généralement appelé plaidoyer de culpabilité).
Il prétend, comme le précise Céline Quatennens, que “d’une seule gifle dans une situation de stress et d’agression mutuels énormes”, ajoutant, “c’est très inconfortable pour moi que mon mari écarte ouvertement les faits en insultant ma personne”. Cela a été indiqué dans un communiqué de presse publié par l’organisation.
Avec l’annonce mercredi soir par LFI de la démission d’Adrien Quatennens à la tête de son parti politique à l’Assemblée jusqu’à l’issue du procès, on attend avec impatience le verdict. Une fois le verdict rendu, “notre groupe délibérera à l’unanimité sur la suite à lui donner”, comme le dit l’adage.
Comme indiqué dans un communiqué publié par le groupe parlementaire, le représentant du Nord “neparticiper aux activités de notre groupe parlementaire » avant ce jour. Depuis lors, le député a quitté ses fonctions de coordinateur politique de La France insoumise mais.
