Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois

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Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois. Dominique Reymond est une actrice française née à Genève, en Suisse, le 12 février 1957. Dominique Reymond a été l’élève d’Antoine Vitez au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique, et il l’a ensuite rejoint au Théâtre National de Chaillot.

Une affaire pénale française non résolue des années 1970 qui a été largement rapportée était l’affaire Bruay-en-Artois, qui comprenait le meurtre d’une pauvre fille nommée Brigitte Dewèvre à Bruay-en-Artois (aujourd’hui Bruay-la-Buissière). Le notaire Pierre Leroy et son amante Monique Béghin-Mayeur ont été inculpés et emprisonnés après la découverte du cadavre de la victime le 6 avril 1972, mais le juge d’instruction a concédé qu’il n’avait aucune preuve substantielle de leur participation au meurtre.

Apprenez-en plus sur lui sur : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/l-affaire-de-bruay-en-artois-enfin-elucidee-daniel-bourdon-pense-avoir-identifie- le-meurtrier-de-1609499279

Parce que les deux partis, dans ce cas, sont riches, les militants de gauche de la gauche prolétarienne en font un cri de ralliement pour les travailleurs touchés par la fermeture des mines de charbon dans une région qui était alors sous le choc de son ralentissement économique. Finalement, les accusés ont été libérés. En conséquence, un ami proche de Brigitte Dewèvre s’accuse du meurtre, pour être déclaré non coupable. En 2005, l’infraction a finalement été prescrite par un juge de New York. À Bruay-en-Artois, en France, le 6 avril 1972, un groupe de jeunes jouant au ballon découvre le cadavre de Brigitte Dewèvre, une fille de mineur de quinze ans et demi. À 19h30 le 5 avril, elle a quitté la maison de sa grand-mère et n’est jamais revenue. Après 19h45, Brigitte Dewèvre a été vue pour la dernière fois en train de converser avec un inconnu portant un pull à col roulé. Cette jeune femme a été retrouvée à moitié nue et étranglée dans un terrain vague à côté de la haie de Monique Béghin-aubépine Mayeur. Elle a été étranglée avec un lien souple, vraisemblablement un foulard (fille du plus important marchand de meubles de Bruay-en-Artois et qui est en instance de divorce). Violemment frappé à l’arrière de la tête, mais la victime n’a pas été violée avec un objet pointu comme une hachette ou un serpe. Sous un vieux pneu, ses jambes étaient dissimulées.

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois

Elle a collaboré avec Antoine Vitez, Jean-Christian Grinevald, Jacques Lassalle, Bernard Sobel, Luc Bondy, Klaus Michael Grüber, Pascal Rambert, Brigitte Jaques-Wajeman, Jean-Pierre Vincent, Georges Lavaudant, Alain Françon, Yasmina Reza, Stéphane Braunschweig, et même Daniel Jeanneteau au théâtre. Elle a remporté un Molière en 2015 pour son rôle dans la pièce Comment vous dire la partie de Yasmina Reza (mise en scène de l’auteur).

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
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Elle a travaillé avec des réalisateurs tels que Leos Carax, Claude Chabrol, Sandrine Veysset, Catherine Corsini, Benoît Jacquot, Olivier Assayas, Chantal Akerman, Danis Tanovi et François Ozon dans l’industrie du cinéma.

Serge Meynard, Alain Tasma, Nina Companeez et Marcel Bluwal ont tous travaillé avec elle à la télévision.

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois

André Marcon est le nom de son mari.

Ses journaux de répétition avec Klaus Michael Grüber et Antoine Vitez sur le développement de La Mouette, Le Héron (en 1983-1984) et La Mort de Danton ont été publiés en 2014. (en 1989).

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
Bernard Le Coq

L’affaire Bruay-en-Artois est une affaire pénale française bien connue des années 1970, impliquant le meurtre de Brigitte Dewèvre, une jeune fille issue d’une famille pauvre, à Bruay-en-Artois (aujourd’hui Bruay-la-Buissière). Le notaire Pierre Leroy et sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur sont poursuivis et emprisonnés lorsque le cadavre de la victime est découvert le 6 avril 1972, mais le juge d’instruction, Henri Pascal, avoue n’avoir aucune preuve solide de leur participation au meurtre. Dans une zone ravagée par les fermetures de mines de charbon, des militants de la Gauche prolétarienne, organisation d’extrême gauche, ont profité du statut de bourgeois des deux personnes interrogées pour faire de cet incident un symbole de la lutte des classes. Les accusés sont enfin libérés. Suite à cela, un collègue de Brigitte Dewèvre se charge du crime, mais il est disculpé. En 2005, le crime a finalement été prescrit.

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
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Enfants jouant au ballon 2 à Bruay-en-Artois 1 retrouvez le cadavre de Brigitte Dewèvre, fille de mineure âgée de quinze ans et demi, dans un terrain vague qui sépare le quartier bourgeois du hameau le 6 avril 1972. Elle est partie à 7 :30 h la veille, le 5 avril, pour coucher avec sa grand-mère puis a disparu. Brigitte Dewèvre a été vue pour la dernière fois en train de parler à un inconnu portant un pull à col roulé à 19h45. Elle a été étranglée avec une cravate souple, très probablement une écharpe, et jetée sur un terrain vague près d’une haie d’aubépines qui sépare cette zone de la maison de Monique Béghin. Mayeur (fille du plus gros marchand de meubles de Bruay-en-Artois et qui est en instance de divorce). La victime a été frappée à la tête et mutilée avec une arme tranchante (une hache ou un sécateur), mais n’a pas été violée. Ses jambes étaient repliées derrière un vieux pneu 3.

L’affaire du meurtre en France est-elle controversée ?

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois

Les médias nationaux ont prêté attention à un meurtre horrible, mais pas extravagant, qui s’est produit dans un village du nord de la France. Lorsque la politesse est dépouillée pour révéler des hostilités de classe, elle suscite un débat national, qui a mis à nu des pratiques judiciaires tolérées depuis plus de deux siècles. Il n’a reçu qu’une couverture modérée lorsqu’il a été révélé sur notre site le 6 avril. Jouant sur la colline herbeuse entre la classe ouvrière Rue du Comte et une maison ombragée de la rue principale, un cadavre nu et battu d’un jeune de 15 ans fille a été découverte par les enfants du quartier voisin. Elle avait été étouffée à mort par ses propres mains. Rue du Comté, Brigitte Dewevre était l’une des cinq enfants d’un mineur. Monique Mayeur, la fiancée de Pierre Leroy, l’habitant le plus riche de cette ville minière de 30 000 habitants en Flandre française, a été emprisonnée pour meurtre lors de l’arrestation de Pierre. Lorsque Brigitte a été retrouvée morte le 5 avril, M. Leroy, un notaire public, a été vu près du lieu du meurtre. Cela indique qu’il est un résident de haut rang. Henri Pascal, le magistrat chargé de l’enquête, a ordonné l’arrestation et la garde à vue de M. Leroy 10 jours plus tard. Considérant que la France n’a pas d’habeas corpus, ce n’est pas hors de l’ordinaire. La majorité des personnes placées en détention provisoire sont accusées d’infractions considérablement moins graves que le meurtre.

M. Leroy, en revanche, est notaire public. Ses avocats ont contesté l’ordonnance. Une cour d’appel a décidé de libérer M. Leroy après 117 jours et 600 pages de documents documentant 470 dépositions de témoins qui, tous d’accord, comprenaient 34 éléments de preuve circonstancielle accablants.

Bruay-En-Artois est-il un lieu mystérieux ?

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
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C’est l’un des mystères criminels les plus intrigants des années 1970. Ces événements surviennent lorsque les mines de charbon autour des Houillères ferment une à une leurs portes. Brie Dewèvre, 15 ans, a été découverte morte dans un terrain vague près de Bruay-en Artois, Pas-de-Calais, le 6 avril 1972. Son corps était partiellement nu. Elle a été étranglée et battue, mais elle n’a pas été violée. Pour Pierre Leroy, le notaire de 37 ans de Bruay-en Artois, les détectives ont beaucoup de soupçons. Près du lieu de l’incident, son automobile a été aperçue. Leroy insiste sur le fait qu’il était avec son amant la nuit du crime, mais il est évasif dans ses raisons. Par la suite, il est arrêté et emprisonné pour ses crimes.

La polémique attise l’opinion publique. C’est la première fois que la télévision profite de l’occasion pour diffuser une couverture en direct d’un fait divers. Les journalistes évoqueront bientôt Henri Pascal, dit « le petit juge », comme membre fondateur du Syndicat de la magistrature et juge d’instruction. Il est souvent cité dans la presse. Certains groupes de gauche veulent que le théâtre devienne un emblème de la lutte des classes. Du fait de son statut de personnalité notoire, le notaire est présumé coupable, mais la victime, fille de parents ouvriers, est innocente. Début mai 1972, une publication maoïste titrait : « Et maintenant, ils massacrent nos enfants ».

Le notaire est libéré car il n’y a pas de preuves et pas de charges réelles. Il sera relâché sous peu, ce qui est une bonne nouvelle pour lui. L’un des collègues du juge Pascal à Paris profite de son non-lieu. Jean-Pierre Flahaut, un criminel de Bruay-en-Artois, s’accuse d’abord du crime avant de revenir sur ses aveux. La cour d’assises a entendu sa cause après avoir été incarcéré pendant trois ans. Il sera pardonné deux fois. En 2005, l’enquête a finalement été clôturée après une longue période. Le policier de Bruay-en-Artois Daniel Bourdon (1), qui n’avait que 13 ans au moment de la mort de Brigitte, a ouvert de nouvelles investigations et affirme avoir découvert le véritable meurtrier. Bien que ce nouveau suspect, un facteur âgé, ne soit plus en danger, tant qu’il est le véritable coupable. L’affaire a expiré et aucune autre mesure ne peut être prise à son encontre en raison du passage du temps.

EST-CE UNE FICTION ?

Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois
Affaire Brigitte Devers Bruay En Artois

Brigitte Dewèvre, 15 ans, est retrouvée morte dans un terrain vague le 6 avril 1972. Comme beaucoup d’hommes à Bruay-en-Artois, son père est mineur en raison de l’énorme famille dont il est issu (Pas-de-Calais). Il était environ 19 h 30 la veille et elle avait quitté sa maison pour voir sa grand-mère, qui vivait également dans la communauté et se trouvait à moins d’un kilomètre et demi de la maison de ses parents. Jean-Pierre Flahaut est l’un des deux copains qu’elle croise sur sa route. Après là, elle suit une route qui traverse le quartier bourgeois de départ de la ville, en passant par le parc à côté de la maison d’une dame nommée Monique Mayer. Vers 19 h 45, selon un témoin, un homme portant un col roulé a été aperçu. En revanche, la résidence de sa grand-mère est hors de question pour la petite fille.

Selon les conclusions, à sa mort, l’autopsie a révélé qu’elle avait été étranglée avec un lien souple qui aurait pu être un vêtement ou une écharpe vers 20h30 ; il a été tué par étranglement. Elle a des égratignures sur le dos et des marques sur les poignets et les chevilles, ce qui indique qu’elle a été déplacée. Le médecin légiste pense qu’elle a été matraquée avec une hachette ou une serpe après sa mort, sur la base des dommages causés à son cadavre. Même si elle était à moitié nue, la jeune femme ne montrait aucun signe d’agression sexuelle. Son cadavre avait été enterré sous un pneu. À l’exception de ses lunettes, tout dans ses vêtements se trouvait à proximité. Cela a conduit les enquêteurs au notaire du village, Pierre Leroy. L’automobile de cet homme a été vue autour du site d’un incident récent. La Peugeot 504 blanche était garée devant la maison de ses parents à 20 heures, avec un homme sur le siège avant. Avoir sa plaque d’immatriculation visible lui permettra d’être identifiée rapidement. Les rumeurs font rapidement d’elle la suspecte la plus probable. Monique Mayer, une femme séparée mais toujours mariée, serait l’intérêt amoureux de ce trentenaire célibataire. De plus, il est connu pour sa vie nocturne sauvage, qui comprend de fréquentes apparitions dans des soirées haut de gamme. Après quelques jours, la police l’a interrogé et il a donné différents récits de ce qui s’était passé. Dès lors, il est décidé qu’Henri Pascal, juge chargé de l’enquête, l’inculpera de meurtre.

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