Affaire Bodein. Le premier interné est Pierre Fernand Bodein (né à Obernai) le 30 décembre 1947, lorsqu’il est admis dans son premier établissement psychiatrique. En conséquence directe de cela, il a été incarcéré pendant une grande partie de sa vie. Trois meurtres et de multiples viols atroces font partie des sept crimes dont PIERROT LE FOUL est tenu responsable par le parquet. “Pierrot le fou” est le surnom qu’il utilise pour s’identifier. Il descend d’ancêtres yéniches puisqu’il est le 11e enfant d’un foyer de 16 personnes. Le villageois yéniche Pierre Bodein est le onzième enfant d’une famille de seize enfants, et il vient d’une famille de onze enfants.
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https://en.wikipedia.org/wiki/Pierre_Bodein
Sa famille s’est toujours considérée comme des « vanniers », comme ils se désignent eux-mêmes (nom donné en Alsace aux voyageurs sédentaires). A l’issue de sa première peine de prison en 1969, Bodin, membre d’une famille de “vanniers” (c’est-à-dire d’immigrants alsaciens installés dans la région), purgera une série de peines de prison, dont celles pour vol qualifié, vol, et vol qualifié, ainsi que pour agression sexuelle, à la suite de sa première peine de prison. Selon le tribunal, sa santé dégradée lui a valu d’être déclaré “incompatible avec l’emprisonnement” en 1976. À l’époque, le directeur psychiatrique Michel Patris se disait dans un état végétatif, paralysé, et s’isolait du reste du monde en étant complètement silencieux. Après avoir mangé ses excréments, Bodein a été contraint d’utiliser un fauteuil roulant en raison des conséquences de ses actes sur la santé. Lorsqu’il a finalement été libéré de prison en 1980, il est revenu à sa vie antérieure de voleur sans hésitation. Pour la deuxième fois, en 1989, il a été emprisonné par des fonctionnaires qui, cette fois, ont estimé qu’il était fou. Selon le médecin Henri Brunner, qui prétend avoir été l’un des médecins mentaux présents ce jour-là, Bodin a été jugé fou par tous les experts psychiatres qui s’y trouvaient.
Affaire Bodein
En décembre 1992, il a pu ramper hors de l’établissement psychiatrique d’Erstein via une lucarne laissée ouverte par un ancien résident. En trois jours, il a kidnappé deux dames et violé l’une d’elles avant de cambrioler une banque et de voler un arsenal d’armes à feu dans les locaux. Plusieurs barrages de gendarmerie ont été pris d’assaut, et deux policiers ont été abattus, dont un grièvement blessé, avant d’être appréhendés et placés en garde à vue. Pierrot l’infâme est un personnage fictif créé par l’auteur Pierrot “après une importante indignation publique en réponse à cet incident, qui a été largement médiatisé,
Lors de sa première condamnation en 1994, il est condamné à 30 ans de prison, mais la cour d’appel du Bas-Rhin décide en février 1996 qu’il doit être rejugé et il est condamné une seconde fois à 28 ans de prison, soit plus tard réduit à 20 ans en cassation. Lorsque Bodin a adopté avec succès une technique de confinement innovante, il a été salué comme un “prisonnier modèle”. Quelques mois seulement avant la fin de sa peine, il a obtenu une libération conditionnelle le 14 mars 2004, en partie en raison de son comportement exemplaire, des années d’incarcération avant le procès, de la condamnation automatique et de la remise, entre autres critères, et en conséquence de la condamnation automatique. Son frère, qui travaille comme ferrailleur à Bourgheim, lui a gracieusement offert un logement dans sa caravane pendant qu’il était en ville. Il a accepté l’offre fantastique.
Julie Schorsch, 14 ans, a été retrouvée morte le 3 juillet après avoir été poignardée à mort le 21 juin. Elle était portée disparue depuis lors. Jeanne-Marie Kegelin, 10 ans, a été découverte morte le 29 juin et Hedwige Vallée, 38 ans, a été poignardée à mort le 21 juin ; les deux victimes ont été retrouvées chez elles. En avril de l’année suivante, Bodein a été appréhendé et accusé de l’enlèvement, du viol et du meurtre de Vallée, Kegelin et Schorsch, entre autres personnes.
Il a d’abord été arrêté le 26 juin puis libéré faute de preuves, mais le 30 juin, il a été de nouveau incarcéré et inculpé de crime contre l’humanité, ce qu’il nie. La rencontre “obscène” qu’il a eue avec l’un de ses codétenus, selon certains experts, pourrait avoir été une tentative de remplacer sa relation avec sa fille par une relation avec un autre détenu. Malgré ses protestations et ses assurances de son innocence, les preuves ADN l’ont prouvé coupable des accusations portées contre lui.
Est-il vrai que le procès et la condamnation sont terminés ?
Le procès de Bodein s’ouvrant le 11 avril 2007, dans une chambre principalement destinée à cet effet, les débats se sont déroulés dans une salle attenante à la cour des marguerites de Strasbourg. Le 4 juillet 2007, il a été reconnu coupable et condamné à la “vraie” prison à vie, qui a commencé le lendemain (en France, la peine maximale est de 30 ans, mais il s’agissait de la réclusion à perpétuité). Une semaine après la décision de l’avocat général, le jury est parvenu à la même conclusion. Il y a trois ans, Michael Fourniret et Nicolas Blondeau étaient les deux premiers condamnés en France à être condamnés. condamné à vivre en prison. Le jugement de réclusion à perpétuité pour Michel Fourniret a été prononcé en mai 2008, tandis que la peine de réclusion à perpétuité pour Nicolas Blondeau a été prononcée en janvier 2015. Dans une décision rendue le 2 octobre 2008, le tribunal de Colmar a rejeté son appel. En conséquence, sa demande a été rejetée par la Cour de cassation le 21 janvier 2010, mettant fin à son mandat.
Par conséquent, le procureur général a demandé que Fuhrmann et Remitter soient condamnés à des peines de prison allant de trois à trente ans pour leur participation à l’enlèvement, au meurtre et au viol de Jeanne-Marie Kegelin, qu’ils ont reçu. La famille Kegelin a affirmé qu’elle n’avait pas pu pleurer la mort de son proche en raison d’une “erreur dans les protocoles”, selon une déclaration faite par Wallerand de Saint-Just en leur nom. Par exemple, dans le cas de Jeanne-Marie Kegelin, l’avocat affirme que “ceux qui ont aidé au meurtre de Jeanne-Marie Kegelin par leur esprit, leur politique et leur abstention sont bien plus responsables que Pierre Bodin”.
Au 13 novembre 2014, la Cour européenne des droits de l’homme n’a trouvé aucune preuve que la condamnation de Bodin violait l’article 3 (dans lequel le condamné affirmait que la peine était un traitement inhumain et dégradant) ou l’article 6 (dans lequel Bodin se plaignait de la manque de motivation) de la Convention européenne des droits de l’homme.
Est-ce la conclusion du livre ?
Pierre Bodin a été reconnu coupable et condamné à perpétuité en France en 2007 après avoir été reconnu coupable. Après, il y a eu Michel Fourniret en mai 2008 et Nicolas Blondeau en janvier 2015, dont quelques exemples notables). De plus, outre trois meurtres et deux viols, le jury l’a jugé responsable de deux enlèvements, pour lesquels il a été condamné à mort. Seize coaccusés, tous vanniers, se tiennent à ses côtés. Ils ont tous été impliqués dans l’incident de Jeanne-Marie et seront déclarés non coupables. Le 2 octobre 2008, il est rejugé aux assises de Colmar et condamné à la même peine de prison qu’auparavant. Le 21 janvier 2010, la Cour de cassation a décidé que son pourvoi en cassation était rejeté. Sa punition est maintenant terminée. Comme l’indique l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, « les traitements inhumains et dégradants » sont définis comme « la réclusion à perpétuité sans possibilité de libération ». Lorsque Pierre Bodin a porté plainte devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) en 2014, il a affirmé que son traitement était “inhumain et dégradant”. La CEDH a fait droit à sa cause. La Cour européenne des droits de l’homme finira par juger qu’il s’est trompé dans ses affirmations (CEDH).
En d’autres termes, “Si je n’y croyais pas, alors je ne le ferais pas”, dites-vous ?
Monsieur Pierre Bodin, 71 ans et plus pour un deuxième procès devant la Cour de révision et de réexamen, est à bout de souffle. Sa demande est étayée par de nouvelles informations qui, selon ses propres termes, “soulèvent des inquiétudes quant à sa responsabilité”. Pierrot l’infâme est un personnage de fiction créé par l’auteur Pierrot “a minutieusement recréé son itinéraire de voyage”. nourriture, et même visité un magasin d’appareils électroménagers les jours des enlèvements.
Selon Dominique Bergmann, son avocat, s’il avait été placé en garde à vue par la police, il aurait passé la nuit du 26 en prison, selon Bergmann. Selon l’avocat, il y en aurait peut-être une quinzaine en tout, sans compter les preuves ADN retrouvées dans sa voiture, qui avaient été “laissées exposées aux quatre vents” et dont “la légalité est mise en cause”. Dominique Bergmann poursuit en disant entre autres : « Évidemment, je ne ferais rien si je ne croyais pas en ce que je fais. Je suis capable, et dans certains cas, j’en ai besoin, de faire les activités qui doit être effectuée le plus rapidement possible avec les ressources dont je dispose. Le but ultime de mon client est d’éviter la mort en prison tout en essayant simultanément de restaurer autant que possible sa réputation et celle de sa famille. Il affirme que ce type de activité ne le concerne pas le moins du monde et qu’il est devenu braconnier par nécessité plutôt que par choix.”
Dans un communiqué, Dominique Bergmann, l’avocat de Pierre Bodein, a déclaré que son client ne souhaitait pas mourir en prison en raison de ses activités criminelles.
Il a récemment déposé sa demande auprès de la commission chargée d’examiner les recommandations, et il s’attend à obtenir une réponse avant la fin de l’année civile.