Guillaume Debré Fils De : Son fils n’a pas été identifié. Plus d’informations peuvent être trouvées sur le site Web mentionné ci-dessus. https://www.babelio.com/auteur/Guillaume-Debre/246769 Le jour le plus court… Plus de 49 millions de Français ont voté pour le prochain dirigeant du pays dimanche 24 avril. Rendez-vous à 20h pour assister au triomphe de la réélection d’Emmanuel Macron, avec plus de 58% des suffrages et un second mandat. Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray ont assuré la couverture par TF1 de cette soirée électorale, qui a débuté 1h30 avant la fermeture des bureaux de vote.
La première station a choisi d’écourter les discussions en montrant « les goûts et les attentes » des téléspectateurs à l’égard de la populaire comédie Les Visiteurs. Les fans qui attendaient depuis longtemps Jacquouille le coquin et Dame Ginette sont furieux de la tentative ratée de voyage dans le temps de la série. Dans certains cas, cependant, il est incorrect de sélectionner des sujets. Il y a eu de longues périodes d’attente avant le jugement, et certains journalistes ont été emmenés aux disjoncteurs pour attendre. Ce reporter plein d’enthousiasme et de zèle s’est rendu dans les quartiers parisiens pour recueillir l’opinion des gens sur cette élection cruciale. Lors d’une émission en direct d’un restaurant parisien à 19h46, il a évoqué la hausse du prix du steak tartare avec le propriétaire de l’établissement.
Une décision éditoriale étrange qui a suscité un débat sur Internet. “Ce soir d’élection, Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray discutent encore du prix du steak tartare ! Quel regard large sur les sujets les plus pressants de l’élection présidentielle !”, a déclaré l’un d’eux. Même Michel Denisot, observateur avisé et gastronome, était fasciné par ce duplex, qui a donné naissance à des théories farfelues, comme l’idée qu’il s’agissait d’un code destiné à révéler la victoire d’Emmanuel Macron aux élections françaises. TF1 apprendra à marcher sur des œufs la prochaine fois. L’effrayant road book brésilien de Carol Bensimon, le nouveau roman innovant et un thriller hivernal de Constance Debré, la pop survitaminée de Papooz, le rock apocalyptique de Placebo et la soul exquise de Lucky Daye ; La série dramatique d’Opération Barkane, une comédie d’espionnage et un classique de Clint Eastwood à redécouvrir.
Avec On aimait les cow-boys, de Carol Bensimon, on a une vision triste de sa nation et une nouvelle carte de la tendresse douce, délicate et sans tabou au Brésil. Une histoire moderne et effrayante avec des paysages époustouflants et des gens dont vous tomberez amoureux. Ceci est le troisième roman de la Ph.C. Série Constance Debré, qui a débuté avec les titres à succès Play Boy et Loved Me Tender. Celle de raconter les expériences d’une vie à la première personne et de tenter de révéler un lien avec le monde extérieur. C’est un roman révolutionnaire qui garde le lecteur rivé aux pages. Quelque chose dans ce nom vous dit “non”. Haut dans les montagnes, M. B. Panic s’affole. Une avalanche a bloqué la route et les morts s’accumulent plus vite que la neige ne peut les recouvrir. Qu’est-il arrivé à l’argent qui a été volé lors d’un vol de camion de transport de fonds ? C’est un ticket pour des vacances chaotiques à la neige avec La Route coupé de Guillaume Desmurs, Quatre réseaux, quatre regards sur la réélection de Macron au second tour de la présidentielle ?
Comment les réseaux décrivent-ils la période précédant l’annonce ? Comment tiennent-ils le public en haleine ? Pour que les résultats soient connus avant l’heure, quelles insinuations utilisent leurs journalistes ? Quelles sont leurs projections ? Quelle méthode utilisent-ils pour déclarer le triomphe d’une équipe et la défaite de l’autre ? Nous avons regardé des versions spéciales de quatre chaînes à partir de 19 h. à 21h, de TF1, France 2, BFM TV, et CNews, pour mieux appréhender la singularité de chaque couverture en cette période particulièrement populaire. C’est un nouveau look, mais la même équipe pour animer cette soirée électorale sur la première chaîne, qui comptait 7,27 millions de téléspectateurs au premier tour, soit 29,1% de part d’audience (contre 4,58 millions de visiteurs et 20% de part d’audience sur France 2).
Avec Anne-Claire Coudray et Gilles Bouleau, rédacteur en chef Adrien Gindre, et Frédéric Dabi, directeur général d’Ifop-Fiducial. Anne-Claire Coudray a déclaré : « Tous nos émissaires sont mobilisés aux côtés des candidats et avec vous. Poitiers, un bowling avec des retraités à Marseille, Saint-Amand-Montrond, le Cher (où on s’est abstenu avec 34% au premier tour), et la Foire du Trône… sans doute pour le jeu de mots… on continue. Surtout quand il y a quatre reporters à moto sur les lieux. Nous sommes arrivés. Commençons par suivre Marine Le Pen alors qu’elle se dirige vers son QG. Les envoyés spéciaux en France élargissent les micro-trottoirs et les récits des journées de vote en allant de Toulouse à Bar-le-Duc en passant par Les Sables-d’Olonne.
Il est 19h08. Selon CNews, “sans vouloir détruire le suspense”, le “bloc populaire est condamné à perdre”.
“On va avoir un paysage gelé”, lance Alexandre Delvecchio. Nous avons une France divisée en deux camps : les élites et les populistes. Mais la disqualification de Marine Le Pen signifie que le populaire bloc est voué à la défaite. Le suspense ne va pas être tué par cela. On ne dit rien avant 20h. Alexandre, Laurence Ferrari proteste. » Sa prédiction pour que les dignitaires du gouvernement soient sur le plateau à 19h15 était : « Je vous garantis qu’on verra tous les dignitaires du régime, y compris sur ce plateau », maîtrise de soi, dire : « En d’autres termes,
Mathieu Bock-Côté, Louis de Raguenel et Charlotte d’Ornellas, quant à eux, expliquent à leur manière (annoncée en demi-mot) les raisons de l’effondrement de Le Pen. Comme le souligne Mathieu Bock-Côté, la France n’est jamais allée aussi loin à droite qu’au cours du dernier cycle électoral. Sans candidat de droite au premier tour, nous avons deux candidats de gauche au second tour. Emmanuel Macron et Marine Le Pen tentent de “saisir la mélenchonisation de l’imaginaire public”.
« Pure spéculation : disons que Marine Le Pen fait un gros score en perdant », poursuit-il. Les champions démocrates autoproclamés nous diront que nous avons raté la montée du fascisme. C’est une rhétorique dépolitisante. “On verra ce qu’il se passe ce soir dans les urnes”, assure Laurence Ferrari.
A 19h10, c’est l’heure du coucher. Sur France 2, “la participation était plus cruciale que tout le reste”, comme dit. C’est fantastique à entendre, non ?
Depuis le premier tour, le dispositif de France 2 a évolué. La chaîne a choisi de rassembler tout le monde dans l’immense salle du groupe, qui fait office de scène unique et époustouflante. Il n’y a plus deux studios. Tandis qu’Anne-Sophie Lapix est assise à un bureau en arrière-plan, Laurent Delahousse est bien visible au premier plan. Sur l’écran, un compte à rebours jusqu’à l’annonce des résultats et une estimation de 28 % d’abstention (le taux le plus élevé depuis vingt ans). “Aujourd’hui, le plus important était de participer”, raconte malgré tout un jeune électeur rennais à un journaliste. “Ici, on se met à verser du champagne… en cas de doute”, raconte une journaliste du siège de Marine Le Pen au pavillon parisien d’Armenonville. L’automobile de Marine Le Pen est suivie de motos depuis la chaîne d’information en continu jusqu’au Pavillon d’Armenonville dans le bois de Boulogne, où elle tiendra son meeting nocturne électoral. Un journaliste politique, Benjamin Duhamel, est sur place le soir du Rassemblement national du candidat, au plus près de ses partisans. Les bureaux de Le Pen sont situés “juste au-dessus de nous”, précise l’homme. Elabe fait état d’un taux d’abstention de 28 % tout en bas de l’écran. Alain Duhamel, l’oncle de Benjamin, est la personne idéale pour rappeler que cette abstention au second tour est la plus élevée depuis 1969 lorsque Georges Pompidou affrontait en face-à-face Alain Poher. Natacha Polony a posé une grande question : “Peut-on se contenter de ce dénouement ?” Apolline de Malherbe et Maxime Switek, co-animateurs de la soirée électorale, font une brève pause. Prenons une profonde respiration et attendons un peu les résultats.