Fabien Azoulay Parents

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Fabien Azoulay Parents : Depuis 2017, Fabien Azoulay, un Français de 43 ans, est détenu en Turquie pour s’être procuré une drogue illicite. Sa famille a demandé aux autorités françaises d’intervenir car elles s’inquiétaient de son état de santé. L’agonie s’est jouée à huis clos à des centaines de kilomètres de la France pendant plus de quatre ans. C’est le quotidien de Fabien Azoulay en Turquie, où il est incarcéré à l’âge de 43 ans. Apprenez-en plus sur lui sur :

https://www.lavoixdunord.fr/978814/article/2021-04-09/viole-battu-brule-le-francais-fabien-azoulay-torture-dans-une-prison-turque

 Qu’avait-il fait de mal exactement ? Il avait pris un stimulant dont il ne savait pas qu’il était interdit dans ce pays. Soucieuse de son bien-être physique et émotionnel, sa famille a rompu le silence jeudi pour faire appel à Emmanuel Macron. Le quotidien de cet homme a basculé en septembre 2017. En ce moment, celui qui partage son temps entre la France et New York, où il gère un spa, était en route pour Istanbul. Il a acheté du GBL, un solvant industriel qui a récemment été réutilisé comme stimulant sexuel. Il est comparable au GHB (la “drogue du viol”). “Il avait été violé, battu et brûlé. En Turquie, le produit est également interdit. De l’autre côté, Fabien Azoulay semble indifférent. Après avoir reçu le GBL à son hôtel, il a été rapidement arrêté. Quelques semaines plus tard, il a été condamné à 20 ans de prison, sa peine sera ramenée à 16 ans et huit mois en 2018. Depuis, il subit un enfer digne du film Midnight Express : emprisonné à Giresun, au bord de la mer Noire, le Français a enduré des jours d’abus et d’isolement. Il y a neuf personnes dans sa cellule et il y a très peu d’intimité.

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Depuis 2017, Fabien Azoulay, un Français de 43 ans, est détenu en Turquie pour s’être procuré une drogue illicite. Sa famille a demandé aux autorités françaises d’intervenir car elles s’inquiétaient pour son état de santé. L’agonie s’est jouée à huis clos à des centaines de kilomètres de la France pendant plus de quatre ans. C’est le quotidien de Fabien Azoulay en Turquie, où il est emprisonné à l’âge de 43 ans. Qu’avait-il fait de mal précisément ? Il avait consommé un stimulant dont il ignorait qu’il était interdit dans ce pays. Soucieuse de son bien-être physique et émotionnel, sa famille a rompu jeudi le silence pour lancer un appel à Emmanuel Macron. Le quotidien de cet homme a changé en septembre 2017. En ce moment, celui qui partage son temps entre la France et New York, où il gère un spa, était en route pour Istanbul. Il n’avait l’intention de rester que quelques jours puisqu’il subissait des implants capillaires à ce moment-là. Il a profité de l’occasion pour acheter du GBL, un solvant industriel qui a récemment été réutilisé comme stimulant sexuel. Il est interdit de vendre en France depuis 2011, en raison des dangers qu’il présente lorsqu’il est associé à de l’alcool. On dit qu’il est comparable au GHB (également connu sous le nom de « drogue du violeur »). « Il avait été violé, battu et brûlé.

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En Turquie, le produit est également interdit. De l’autre côté, Fabien Azoulay semble indifférent. Après avoir reçu la GBL à son hôtel, il a été rapidement arrêté. Quelques semaines plus tard, il est condamné à 20 ans de prison. Sa peine sera réduite à 16 ans et 8 mois en 2018. Depuis, il subit un enfer digne du film Midnight Express : emprisonné à Giresun, au bord de la mer Noire, le Français a enduré des jours d’abus et d’isolement. Il y a neuf personnes dans sa cellule et il y a très peu d’intimité.

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« Il a été violé, battu et brûlé. Il a été harcelé en raison de son orientation sexuelle, notamment par des détenus radicalisés. Il est exposé à des scénarios de conversion forcée à l’islam en raison de ses croyances juives. “Dans quelques heures”, a indiqué Franceinfo à son avocat. Selon ce dernier, un de ses codétenus a été reconnu coupable de l’avoir torturé. Fabien Azoulay écrit des messages à sa famille pour les inviter à le rejoindre.

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Ils ont choisi de rendre la question publique et de lancer un appel au gouvernement, reconnaissant l’impasse de l’État. Si l’Elysée est resté muet, compte tenu notamment du désaccord ouvert d’Emmanuel Macron avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, Orsay promet que ses services sont “pleinement mobilisés sur le sort de ce Français” et qu’ils surveillent “son statut et sa demande de mutation.” “Fabien est désespéré, et ses jours sont comptés”, explique la lettre à l’Elysée.

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Après avoir commandé une marchandise illégale en Turquie, ce Français purge une peine de 20 ans dans les prisons turques. Son avocat prétend qu’il a été martyrisé par d’autres détenus parce qu’il est juif et homosexuel.

« Il a été violé, battu, brûlé ?

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En Turquie aussi, le produit est interdit. Sauf que Fabien Azoulay l’ignore. Lorsqu’il reçoit le GBL à son hôtel, il est immédiatement arrêté. Quelques semaines plus tard, il est condamné à 20 ans de prison. Sa peine a été réduite en 2018 : elle sera finalement de 16 ans et huit mois. Depuis, il vit un enfer digne du film Midnight Express : détenu à Giresun, au bord de la mer Noire, le Français voit passer les jours entre violence et isolement. Ils sont neuf à vivre ensemble dans sa cellule sans aucune intimité. « Il a été violé, battu, brûlé. Il fait l’objet de harcèlement en raison de son orientation sexuelle, notamment de la part de prisonniers radicalisés. Il subit des scènes de conversion forcée à l’islam parce qu’il est de confession juive. Il en a perdu le sommeil. a commenté son avocat sur franceinfo. Selon ce dernier, l’un de ses codétenus a été condamné à la torture à son encontre. Pour rejoindre sa famille, Fabien Azoulay écrit des lettres. Sentant l’impasse dans laquelle il se trouve, ils décident de rendre l’affaire publique et font appel à l’Etat. Supposons que l’Elysée ne fasse aucun commentaire à cause du conflit ouvert entre Emmanuel Macron et son homologue Recep Tayyip Erdogan. Dans ce cas, le Quai d’Orsay assure que ses services sont “pleinement mobilisés sur le sort de ce Français” et suivent “sa situation et sa demande de mutation”. Un transfert qui devient urgent, selon la lettre envoyée à l’Elysée : “Fabien est désespéré, et sa vie est en danger.”

Détenu en Turquie puis transféré en France, Fabien Azoulay n’est plus en prison ?

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En février 2018, la cour d’assises d’Istanbul a condamné ce Franco-Américain à une lourde peine de prison pour trafic de drogue après avoir acheté en ligne un désinhibiteur sexuel. Libre. Cinq lettres tambourinaient comme de l’espoir depuis son transfert en France en août. Le Français Fabien Azoulay, détenu depuis septembre 2017 en Turquie sous sa condamnation pour trafic de drogue, transféré dans un centre pénitentiaire à son arrivée en France le 17 août, “est sorti aujourd’hui de la prison de la Santé”, ont annoncé ses avocats dans un communiqué. . C’est pour Fabien la fin d’un long calvaire et, pour nous, une émouvante victoire, écrivent Mes Carole-Olivia Montenot et François Zimeray. Ils évoquent quatre ans de détention injuste et brutale qui le marqueront à vie. Ce dénouement doit tout à l’obstination de ses partisans, à la rigueur juridique et à la diplomatie. Greffe de cheveux en septembre 2017. Il avait commandé une bouteille de GBL via Internet. Dix mois plus tôt, ce solvant détourné en désinhibiteur mélangé à des cocktails avait été classé stupéfiant, donc interdit, par la Turquie. Selon ses avocats et sa famille, le jeune homme n’était pas au courant. La police d’Istanbul l’avait arrêté lors de sa livraison à son hôtel. Cinq mois plus tard, après un procès de vingt minutes, la cour d’assises d’Istanbul l’avait condamné à vingt ans d’emprisonnement pour trafic, réduits à 16 ans et huit mois de prison par remise de peine. . Après un long processus diplomatique, le président turc Erdogan avait accepté la demande de transfert vers la France du prisonnier, qui, juif et homosexuel, était régulièrement menacé dans la prison de Giresun, à 900 km d’Istanbul.

Qui est Fabien Azoulay, ce Français détenu dans les prisons turques ?

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Fabien Azoulay est emprisonné en Turquie depuis plus de trois ans et demi. Ce Parisien de 43 ans vivait depuis plusieurs années à New York, où il travaillait dans le secteur du bien-être. En 2017, il décide de se rendre à Istanbul pour réaliser des implants capillaires. Le Franco-Américain n’était initialement censé passer que quelques jours dans le pays. Sur place, il décide de passer une commande en ligne : il achète, sur un site lituanien, un produit chimique utilisé comme stimulant sexuel dans la communauté gay. La police arrive alors à son hôtel. Fabien Azoulay sera jugé et condamné en février 2018 à 20 ans de prison. Lui et sa famille sont sous le choc et craignent pour sa santé. Tous qualifient cette sanction d'”incompréhensible”. Homosexuel et juif, Fabien Azoulay vit l’enfer en prison. Il a notamment subi “des tortures, des blessures, des tentatives d’intimidation, des insultes antisémites…”, explique Sophie Wiesenfeld, qui dirige le comité de soutien. “Pire que dans un film d’horreur.”

Suite à ces attaques, il a été transféré dans une autre prison. Mais là, il est placé à l’isolement, et la situation reste catastrophique. Son avocat parle de “détenus radicalisés qui le forcent à prier sous la menace de coups”. Fabien Azoulay écrit qu’il a “l’impression d’être dans un film cauchemardesque qui ne s’arrête pas”. “Un type s’est fait égorger par un groupe de quatre Syriens. Je dormais quand il est arrivé, mais les cris des détenus m’ont réveillé. La vue du sang partout était effrayante, pire que dans un film d’horreur”, raconte le ex-Parisien.

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