Et puis il y avait une femme. est une chanson écrite par Lionel Florence, composée par Pascal Obispo, et chantée par Florent Pagny qui est sortie en 2000 1 en tant que premier single de l’album Châtelet les Halles.
Pendant vingt et une semaines consécutives, la chanson s’est hissée en tête des ventes en France (du 28 octobre 2000 au 16 mars 2001) et dès la deuxième semaine, il s’était hissé à la cinquième position. Il a été placé à la 163e place des singles les plus téléchargés 3 en 2012.
Elle a également terminé deuxième des ventes en Belgique en décembre 2004.
Virginie Efira incarne une dame sur le point de décoller dans “Madeleine Collins”.
Il y avait bien longtemps que l’on n’avait pas vu dans le cinéma d’auteur français une telle soif de fiction, une telle détermination à se confronter à ses mécanismes obscurs et à ses itinéraires brutaux. Madeleine Collins, le troisième long métrage d’Antoine Barraud, est dépassé en ce qu’il ne restitue aucune réalité contemporaine, ni n’aborde aucun sujet d’actualité : il invente un personnage et cherche à répondre à des questions cinématographiques sur l’éternel mystère de la personnalité humaine, cet abîme dont seule l’image peut proposer une spéléologie particulière, à travers ce personnage. On se souvient que le premier long métrage de Barraud, Les Gouffres (2012), posait une question embarrassante : ne risque-t-on pas de découvrir quelqu’un d’autre quand on va au fond de soi ?
Sous les airs aimables de Virginie Efira, ce personnage est avant tout une dame difficilement identifiable. Sa famille l’appelle Judith, mais elle préfère s’appeler Margot, le prénom figurant sur sa carte d’identité suisse. Elle élève un enfant de 10 ans dans une humble maison de l’autre côté de la frontière avec Abdel (Quim Gutierrez), un chauffeur-livreur. Mais on la retrouve bientôt du côté français, où elle vit avec son mari, Melvil (Bruno Salomone), un chef d’orchestre montant, et leurs deux fils aînés dans une ambiance plus rupine.
Pour passer d’une vie à l’autre, Judith utilise son métier de traductrice officielle à Genève comme pivot et alibi. Elle garde la présence de l’autre cachée dans chaque famille, ce qui lui permet de ne jamais s’installer nulle part. Son mouvement itératif, au contraire, est de s’écarter des deux côtés, de poursuivre indéfiniment une ligne de fuite. Mais sa toile de mensonges commence à s’effondrer, révélant le site du déni, le centre de l’intrigue, qui, bien sûr, implique une terrible angoisse : quelque chose comme la mort. Antoine Barraud en avait assez en main pour construire un parfait labyrinthe de pièges et de faux-semblants aux détours desquels tromper le public à partir d’un tel concept. Cependant, il garde cette ligne, qui est plus nette et moins visible. Celui d’un film sur la schizophrénie plutôt que sur les schizophrènes. Car le réalisateur est fasciné par la folie particulière de son héroïne, notamment sa structure de mensonges, toute la complexité émergeant de son regard un peu distant sur elle. Plutôt que de se polluer par son isolement, le film cherche à montrer les résultats à l’extérieur, en revenant aux causes une à une.
Et Un Jour Une Femme Auteur
L’auteur des crimes, qui les a commis dans une quincaillerie du 12e arrondissement, est “connu pour ses difficultés psychologiques” et pour troubler l’ordre public.
Dans le 12e arrondissement de Paris, une fin heureuse. L’homme “réputé pour ses difficultés psychologiques” qui avait retenu en otage deux dames dans une entreprise a été capturé mardi matin après une nuit de discussions. Les deux otages ont été libérés ce matin, l’un vers 22 heures. Lundi et l’autre tôt ce matin. Gérald Darmanin salue la nouvelle sur Twitter en déclarant : “Il n’y a pas de blessés”. Selon Le Figaro de sources confirmatives, la Brigade Anti-Crime (BAC) a été prévenue vers 15 heures. qu’un homme avait retenu deux femmes en otage avec un couteau dans un étal de la rue d’Aligre, quartier de la Bastille. Selon une source policière, “c’est une entreprise de quincaillerie”. La police a dépêché une colonne du Groupe de soutien opérationnel (GSO), suivie de la Brigade motorisée de répression d’action violente (BRAv) et de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la préfecture de police.
Les flics ont rapidement écarté la menace terroriste. Cependant, il a fallu de nombreuses heures de négociation pour obtenir la libération de l’une des femmes. ” L’individu fou a maintenant libéré l’un des captifs, qui est indemne. ” Les négociations sont toujours en cours “, a tweeté la préfecture de police.
Entre le faubourg Saint-Antoine et la rue Crozatier, une barrière de sécurité massive avait été érigée. Selon un témoin, des dizaines de véhicules de police, des motocyclistes, des troupes de Vigipirate et le camion BRI ont été déployés. La préfecture de police avait émis un ordre d’éviter les abords de la rue Aligre sur Twitter.