Eric Perrot Biathlon Parents : Les championnats du monde juniors de biathlon sont allés en Norvège et mon père est allé en France. Mes parents étaient tous les deux doués pour ça. Je suis né à Aime, en Tarentaise. Né à Bourg Saint-Maurice le 29 juin 2001 (France). Il m’a élevé. Je suis allé à l’école à Aime. J’ai skié de la maternelle au lycée.
J’ai eu du mal à entrer dans cette catégorie lors de ma sixième année, un an en Norvège avant le lycée. J’ai croisé plusieurs anciens membres du club de ski de l’équipe nationale norvégienne. Au lycée public agricole Reinach de Chambéry,
Après que nous soyons rentrés à la maison, je suis allé. 2019 : Assez Bien Baccalauréat Scientifique Je suis étudiant STAPS à l’Université de Grenoble poursuivant ma licence. Je souhaite étudier le biathlon pendant de nombreuses années et ne jamais cesser d’apprendre.
J’ai décidé en fonction des sentiments. J’ai grandi dans la même maison. Même au lycée en France, je ne m’attendais pas à représenter la Norvège. D’autres me rendent joyeux. Mon père a fondé le P-V Ski Club. Même si la Norvège est ma nation préférée, j’y retournerai peut-être. C’est plus un fantasme pour moi. C’est ma motivation depuis des années. A Peisey-Vallandry, j’ai intégré le club de ski et de biathlon. Vous avez l’endurance pour y aller.
De petits pas peuvent conduire à un développement important, mais cela demande du travail. Votre enthousiasme pour ce que vous faites et votre désir de concourir, même si c’est un défi, vous aidera à progresser vers cet objectif. ” J’ai fait comme prévu. Quand nous imaginons, nous sommes généralement excités. Parce que j’avais déjà concouru, je savais exactement par où commencer et finir. Personne ne sait ce qui se passe ensuite. C’est fantastique, pour commencer, sans préjugés, et “On verra après la course”, a-t-il déclaré. Belle était la parole des locaux. Cela m’a beaucoup touché. J’étais encore plus ravi de voir à quel point mes collègues français se sont bien comportés le premier jour.
Nous sommes entrés dans un rêve dès notre arrivée. En finale, mes huitième et cinquième places m’ont donné confiance. Nous n’en avons pas autant entendu parler. Mais j’aime les épreuves de biathlon. Ensuite, j’étais deuxième. Après une saison d’excellentes réalisations, j’étais heureux de voir cette augmentation. Ce succès me fait plaisir. C’était quand même un pas en avant. C’était un défi, ce qui m’a rendu heureux quand je l’ai terminé. Sébastien Mahon et Emilien Claude ont battu Oscar Lombardot.
Excellente façon de conclure la semaine de travail! Nous étions les favoris, mais nos doutes sur nos capacités nous ont convaincu du contraire. Enfin, nous nous sommes bien amusés ici et avons obtenu d’excellents résultats !
Restez à l’écoute! Nous avons dû prendre un bus de nuit pour rentrer en France après la dernière course. Un événement le lendemain rend difficile de profiter d’une victoire toute la semaine. Nos confrères français le répareront.
En 2020, Éric Perrot fait ses débuts internationaux. Le médaillé de bronze de la division jeunesse a réalisé 15 sprints, 14 poursuites et cinq courses par équipes. En janvier 2021, il fait ses débuts à Arber. 7e au sprint
En 2021, il partage l’argent avec Oscar Lombardot, Sébastien Mahon et Émilien Claude à Obertilliach, en Autriche. Sixième au sprint. Coupe d’acupuncture (IBU) 33e au classement 2020-2021. Le 19 mars 2021, il affrontera Ostersund 5. Les erreurs de tir debout l’ont classé 76e. Il a débuté la saison 2021-2022.
Lors de la deuxième étape de la Coupe du monde à Ostersund, il a participé au sprint et à la poursuite. Il a dû céder des points à chaque retour.
Il a occupé son poste tout au long de la troisième étape de la Coupe du monde. À Hochfilzen 8, il a obtenu ses premiers points de Coupe du monde. Première Coupe du Monde 10/10 à Rupholding. Il est également arrivé cinquième.
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C’est vital. Ce n’est pas comme un tirage au sort. Vous rejoignez l’équipe parce que vous partagez les mêmes objectifs. C’est plus simple de se faire des amis ici puisque tout le monde est si gentil. La compétition n’est pas indispensable à l’équipe de France. Alors je chéris notre temps ensemble. Vous développerez une communauté en reconnaissant et en appréciant publiquement vos succès. Mais d’ici 2026, je veux être un olympien. Nous allons continuer à pousser jusqu’au sommet. Dans cinq ans, je serai prêt. Nous avons encore un long chemin à parcourir! Le biathlon permet des changements d’altitude rapides. Quoi qu’il en soit, je continuerai à me fixer des objectifs!” Cela me fait plaisir de savoir que le Peisey-Vallandry Ski Club prospère dans un si beau cadre. Ma ville natale de Peisey-Vallandry est fière de moi. Bonne chance pour réaliser le rêve américain!