Bruno Cremer Jeune: Bruno Cremer a émigré à Paris immédiatement après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires. Sa mère a soutenu sa décision de devenir acteur dès son plus jeune âge.
Le Conservatoire Supérieur de Musique de Paris a accordé l’acceptation après l’audition. Il est devenu célèbre pour ses performances dans des pièces telles que “Périclès” de Shakespeare, “Un mari idéal” d’Oscar Wilde, et “Poor Bites” et “Becket” de Jean Anouilh.
Le 317e peloton, Paris brûle, Le sorcier de William Friedkin et Ménage de Bertrand Blier ne sont que quelques-uns des nombreux films dans lesquels il apparaît. Plus de cinquante films télévisés présentaient Cremer dans le rôle du célèbre conservateur de musée Jules Maigret. En l’an 2000, il a publié son autobiographie, intitulée “A Certain Young Man”.
L’un des membres les plus hilarants de l’équipe Dans les années 1960, il s’est fait connaître grâce à ses performances dans deux productions phares : “Becket” de Jean Anouilh au théâtre et “317e Section” de Pierre Schoendoerffer au cinéma.
Depuis lors, il a travaillé avec plusieurs des meilleurs cinéastes et interprètes de l’industrie, dont Costa Gravas, Bertrand Blier, René Clément et Claude Sautet. Cependant, ce sont les affaires du commissaire Maigret qui ont finalement fait de Bruno Crémer un nom connu. L’acteur incarnant Maigret est le plus grand que Simenon ait jamais vu dans le rôle, et la série a déjà montré 30 épisodes.
En écrivant son autobiographie, cependant, il a vu émerger le visage d’un homme plutôt que celui d’un acteur. Il regarde de loin un très jeune homme, ou ce très jeune homme qui était lui mais qui est maintenant un autre, avec un mélange de curiosité, de convivialité et de froideur.
Bruno Crémer a une façon unique de donner la parole à l’incertitude, de trouver sa place dans le monde, des amitiés mouvementées, des rencontres fatidiques, de trouver le sens de sa vie et les aventures de grandir.
La littérature a une façon magique de nous ramener dans le temps, et dans ce bref moment d’innocence, nous pourrions retrouver un morceau de notre enfance perdue.
De 1991 à 2005, Bruno Cremer a joué Maigret dans une émission de télévision française de 54 épisodes basée sur le personnage créé par l’auteur belge Georges Simenon.
Dans son autobiographie, “Un certain jeune homme”, Bruno Cremer décrit comment il s’est intéressé pour la première fois au métier d’acteur alors qu’il était jeune. Le 6 octobre 1929, dans le quartier parisien de Saint-Mandé, Cremer fait son entrée dans le monde.
J’ai vécu ça quand j’avais 12 ans. Je ne serais peut-être pas là aujourd’hui sans cette porte de sortie de secours. Il a dit: “Sans elle, je ne sais pas ce que j’aurais fait.” Après avoir terminé ses études secondaires, il poursuit ses études auprès de Jean-Paul Belmondo au Conservatoire Supérieur de Musique et d’Art Dramatique de Paris.
Bruno Cremer adorait les thrillers d’espionnage, les rôles d’espionnage sordides et les images militaires. Il a joué dans une grande variété de films, dont The Good and the Bad de Claude Lelouch, The Stranger de Luchino Visconti et The Sorcerer de William Friedkin. Les cinéastes Yves Boisset et Jean-Claude Brisseau font partie de ceux avec qui il a collaboré. Son représentant affirme qu’il est apparu dans plus de 110 films et émissions de télévision.
Bruno Cremer est père de trois enfants : un garçon, Stéphane, issu d’un ancien mariage, et deux filles, toutes deux nées lors de son mariage actuel avec Chantal, débuté en 1984. Le 6 octobre 1929, Bruno Cremer est venu au monde sous le nom de Saint -Mandé, l’enfant du milieu d’une famille bourgeoise qui comprenait également quatre frères et sœurs.
Son père était un homme d’affaires prospère et sa mère était une pianiste talentueuse. Dans les dix années qui suivent sa sortie du lycée, il passe son temps à étudier au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique.
Avant de faire ses débuts au cinéma en 1952, il était acteur de théâtre, apparaissant dans des productions de pièces de Shakespeare, Oscar Wilde et Jean Anouilh. Il tient un autre rôle dans La Femme s’en mélle en 1957, et celui qui débutera sa carrière sera le rôle principal dans Le 317e parallèle de Pierre Schoendoerffer en 1965.
Dans le film, il joue le rôle de l’adjudant Wilsdorf, un personnage corrompu et violent. Ce rôle, qui compte beaucoup pour lui, l’a attiré l’attention du public et lui a donné la chance de continuer à jouer au cinéma, avec plus ou moins de succès (et pas toujours au sommet de son art).
Des personnalités comme Luchino Visconti (L’Étranger de 1967), Costa-Gavras (Un appétit de destruction de 1968), Patrice Chéreau (La Chair de l’orchidée de 1975) et Claude Sautet (Une simple histoire de 1978) faisaient partie des réalisateurs avec lesquels il a collaboré, mais parfois on peut le voir dans des productions beaucoup moins respectables.
L’une des stars des films Pygmalion d’Yves Boisset et Jean-Claude Brisseau (dont “Cran d’arrêt”, “Espion” et “Raise”), il était un acteur puissant à la voix rageuse et au jeu empreint d’une nuance unique. L’un de ses rôles les plus célèbres est celui d’un professeur de philosophie qui ne peut s’empêcher de tomber amoureux d’une superbe jeune femme dans le film Noce Blanche de 1989.