Arthur Teboul Origine Parents: J’ai passé mes premières années dans le 20e arrondissement de Paris, un quartier dynamique et passionnant de la ville. J’ai deux frères cadets et je suis l’aîné de trois enfants. Mon père possédait une société de marketing spécialisée dans la conception de logos.
Il a conçu les couvertures, les mises en page intérieures et même les polices de caractères de plusieurs livres, brochures et affiches. Je le trouvais généralement en train de travailler dans son bureau lorsque j’avais besoin d’aide pour mes travaux scolaires. Pour l’aider, nous nous sommes tous cotisés pour le lui remettre.
Une reliure soignée et une couverture en plastique transparent permettent d’obtenir un aspect soigné. Il est artiste depuis qu’il est enfant, et il joue aussi de la musique. Non seulement il était enthousiaste à propos de son travail, mais il a également travaillé sur un projet avec mon jeune frère, qui poursuit des études en beaux-arts.
La mise en page de la pochette de mon dernier disque, Palais d’Argile. Ma mère travaillait comme traductrice pour les Forces de défense éternelle. L’école primaire publique que j’ai fréquentée était une expérience visant à traiter les enfants comme des personnes indépendantes ; elle s’appelait Vitruvius et a été fondée en réponse à cette expérience.
Le nom de l’architecte responsable de la réforme éducative la plus importante de ces 68 dernières années a été inclus dans le nom de la réforme. Des étudiants médiateurs ont essayé de prévenir et de régler les bagarres dans la cour. Chaque semaine (le mercredi), nous nous réunissons pour parler des problèmes soulevés par les
les enfants tout au long de la semaine et les encourager à proposer des idées pour les résoudre. Grâce à des mesures audacieuses, nous avons pu garantir notre liberté. La valeur du voyage en grand groupe a été mise en évidence pour moi lors de cette session. En CM2, par exemple, nous avons utilisé une pièce que nous avons
Nous avons emmené une adaptation scénique du livre de Pierre Aroneanu, L’Amiral des mots, en tournée dans les écoles des Yvelines. Nous avons marché sous la pluie, de village en hameau, en trimballant nos lourds sacs à dos. Nos endroits préférés étaient les gymnases.
Ignorer ou faire abstraction de tout est une valeur sûre. Nous nous sommes assis en U sur la scène avant le début du spectacle, chacun de nous s’appuyant sur une chaise et se dissimulant partiellement avec le drap. J’ai été parmi les premiers à me porter volontaire et à lire à haute voix mon texte. Je n’oublierai plus jamais à quel point la vie peut être merveilleuse.
À chaque fois. Je dois toujours beaucoup de gratitude et de respect à ces professeurs. J’ai bien réussi à l’école jusqu’à la deuxième année. J’ai assisté à la classe ZEP d’un collège local lorsque j’étais en sixième, et je peux vous dire que ces élèves étaient épuisés.
J’étais trop petit et trop frêle pour m’en sortir sans aide. Finalement, j’ai pu naviguer et faire ce qui devait être fait. L’idée de réunir un groupe de fonctionnaires dont le travail est essentiellement cérébral me fascinait. Dans cette pièce, j’ai rencontré les autres pompiers qui allaient devenir ma nouvelle famille.
Une description plus exacte serait Chatterton, Sébastien et Clément. À Louis-le-Grand, le conflit a commencé violemment. Ma moyenne en première année était de 18, mais ma moyenne en deuxième année a chuté à 6. Malheureusement, j’ai fait des efforts et je me suis remis à niveau. À ce moment-là, je me suis lancé.
Vous pouvez vous moquer de mon manque d’intelligence pour compenser. L’obtention d’un diplôme m’a ouvert plusieurs portes. Grâce à mon déclassement, j’ai pu descendre plus bas dans l’échelle sociale et culturelle. Après avoir terminé le lycée, je me suis inscrit au lycée Carnot pour être prêt pour HEC.
une licence, que j’ai obtenue. Mon père, pour dire les choses simplement, est un vrai fou de musique. J’ai beaucoup de raisons de lui être reconnaissant. À mon avis, c’est fantastique qu’il ait pu piquer l’intérêt des gens pour les arts sans être coercitif. Il y avait un certain type de musique française qui le touchait.
Mon grand-père avait un tourne-disque dans sa chambre, avec des albums de Charles Trenet et de Georges Brassens, que j’ai découvert lorsque je suis allée voir ma grand-mère. De plus, il avait un faible pour Barbara, qu’il voyait souvent le dimanche. Nous écoutions beaucoup de musique dans la voiture.
À l’approche des vacances de Noël, nous avons pris la voiture et sommes partis en Espagne. Pendant le vol, nous avons écouté des CD de musique que nous avions emportés dans un classeur. Nous avions pris l’habitude de commencer le voyage en écoutant “Harvest” de Neil Young au lever du soleil.
Nous avons fini par acheter toute la musique de Polnareff dans un magasin de proximité après avoir laissé le guide légendaire à la maison. Nous avons été obligés de l’écouter encore et encore tout l’été. Pour commencer, j’ai de grands espoirs pour vous.
Le soleil et la lune ont rendez-vous de Charles Trenet Je ne voyais pas pourquoi ils ne pourraient pas se rencontrer si la lune était visible pendant la journée. La conversation ne s’éloignait jamais d’un sujet strictement philosophique. J’ai entendu cette chanson pour la première fois dans une voiture quand j’avais environ quatre ans.
J’utilisais les accoudoirs comme tremplins et sautais entre les deux sièges arrière. Je soulevais deux énormes boîtes transportables qui contenaient mes trente CD. Nous avons dansé sur Two Beat Three, les Spice Girls et R. Kelly. Les deux livres de David Charvet qui explorent la question “Devrais-je rester ou partir ?” sont judicieusement intitulés Kelly et Must I Go.
Pour ceux dont les capacités physiques étaient moindres, la tâche était plus difficile. Les femmes marchaient souvent à mes côtés parce que je paraissais si jeune pour mon âge. Alors que je me trémoussais sur le sol comme Leonardo DiCaprio à la recherche du radeau de Rose, je pensais au Titanic de Céline Dion, mon moment préféré du film. Pendant les premiers mois de l’université, j’ai passé beaucoup de temps à ne pas faire attention.