affaire outreau. Le procès d’Outreau, qui s’est déroulé dans le nord de la France en 2004, était un procès pénal pour divers crimes sexuels contre des enfants. Ce témoin, reconnu coupable d’abus, avait été malhonnête en affirmant que d’autres suspects, en fait innocents, étaient impliqués.
Apprenez-en plus sur lui sur :
https://en.wikipedia.org/wiki/Outreau_trial
Plusieurs suspects innocents sont en détention provisoire depuis des années et l’un d’entre eux est même mort en prison. Des accusations sans fondement ont conduit à des années de prison pour des innocents, provoquant l’indignation dans toute la France. Les journalistes, les politiciens et le grand public ont tous été choqués par les procès et ont exigé des réponses sur la façon dont ils auraient pu si horriblement mal tourner.
Le président Jacques Chirac a déclaré l’affaire “catastrophe judiciaire” en janvier 2006 et une enquête parlementaire a été lancée. En novembre 2001, le Pas-de-Calais démarre. Le premier procès et l’appel ont eu lieu à Saint-Omer, en France, en 2004 et 2005.
Au total, 17 personnes ont été jugées. Leurs enfants ont dû leur être enlevés pendant longtemps parce qu’ils avaient été accusés d’abus sexuels et d’inceste. Certains instructeurs et travailleurs sociaux ont détecté une “activité sexuelle étrange” parmi quatre élèves d’une école voisine, ce qui a déclenché l’enquête.
Bien que les psychologues aient considéré les jeunes comme des témoins fiables, aucune preuve d’agression sexuelle n’a été découverte. Certains des témoignages des enfants ont été renforcés par les aveux de certains des autres accusés. De un à trois ans ont été passés sous la garde de l’accusé. Quatre accusés ont reconnu leur culpabilité et ont été condamnés lors du premier procès (en 2004), tandis que sept autres ont maintenu leur innocence et ont été blanchis de tout acte répréhensible.
Ils ont contesté leurs condamnations et ont été jugés par la cour d’assises de Paris à l’automne 2005. Six autres accusés ont rejeté les allégations mais ont été reconnus coupables et condamnés à des peines légères [clarification nécessaire]. Les allégations de l’accusation ont été détruites le premier jour de l’audience et les six accusés ont été déclarés non coupables. La vie d’un troisième accusé a été écourtée en attendant son procès.
Psychiatrie légale en France : sur l’affaire Outreau et les plaintes pour abus sexuels d’enfants en France ?
Médecin*-Dr. Paul Bensusan (1)Le petit village français d’Outreau est situé dans le nord du pays. En mai 2001, l’affaire d’Outreau a été rapportée de manière routinière : comme une histoire scandaleuse d’inceste dans une couche socio-économique marginalisée. De nombreux développements, cependant, allaient modifier l’essence de l’affaire jusqu’à son procès en mai 2004, date à laquelle elle a finalement été résolue. Il y a eu une augmentation de la sévérité des accusations et du nombre de victimes. Il ne faisait aucun doute dans l’esprit des spécialistes psychiatriques et psychologiques qui ont évalué les jeunes avant le procès qu’ils ne mentaient pas. Comme l’a dit le magistrat, le président du tribunal : Une enquête sur l’implication du juge et des experts est au centre de cette pièce. Il en résulta que l’expert “s’assit dans le fauteuil du juge”, selon les termes d’Hubert van Gijseghem. 1. L’expertise en psychiatrie a joué un rôle important dans la thèse de l’accusation. Il a été déterminé par les spécialistes du parquet que chacun des prévenus avait des “traits de pédophilie ou de pervers” en commun avec les mineurs. Ce fut un honneur d’être appelé comme témoin pour les accusés afin de fournir à la cour d’assises, le tribunal correctionnel français, une évaluation critique des opinions d’experts présentées contre eux. Cet article commence par un récit direct des faits entourant cet incident historique particulier. Pour faire suite à cela, l’examen des échecs de la protection de l’enfance montre comment cela a un impact négatif sur les procédures judiciaires. 2. L’auteur soutient que la protection de l’enfance, du moins en France, est devenue une véritable exception sexuelle dans la loi, ce qui signifie que les normes fondamentales du droit pénal (présomption d’innocence, charge de la preuve à charge de l’accusation) ne sont pas appliquées ou sont inopérant. Prenant pour exemple l’affaire Outreau, l’auteur propose quelques enseignements à tirer du système juridique anglo-saxon. Il doit y avoir une coopération mutuelle entre les juges et les spécialistes afin d’améliorer le traitement des cas de parole contre parole, où les preuves sont souvent faibles. Comme l’a dit un membre du Parlement français, “Le regret est que le protocole ait été respecté”. Sans cela, tout serait si simple.
Face à l’adversité, qu’attendez-vous ?
Lara Marlowe à Paris examine ce qu’un cas extrême de pédophilie, une mauvaise enquête et de fausses accusations dans le village français d’Outreau signifient pour la justice française. Il sera décidé mercredi si sa fille, qualifiée dans les médias de juste “Julie”, sera reconnue comme une victime de viol plutôt que comme une participante mineure agréable devant un tribunal en France, où un tribunal français. Pour Julie et sa famille, l’issue de l’affaire attentivement surveillée pourrait créer un précédent judiciaire en élargissant la notion de viol d’enfant en France. L’audience de sept heures de mercredi était la finale du “feuilleton judiciaire le plus spectaculaire de l’histoire contemporaine”. Un juge d’instruction n’a jamais été appelé à comparaître devant une commission d’enquête législative pour une explication du peuple français. Même si les recherches de Burgaud étaient défectueuses, sept des 13 hommes et femmes qui ont été condamnés à la prison sur cette base – et ont ensuite été libérés – ont supplié et obtenu la permission de voir leur bourreau torturé. Des nuées de photographes les ont accueillis à leur entrée dans la salle d’audience, comme s’ils étaient des célébrités à Cannes. “Une calamité judiciaire exceptionnelle” a été la description par le président Jacques Chirac de la disparition du scandale d’Outreau en décembre. L’une des 18 personnes détenues sur ce fondement s’est suicidée en prison. Alain Marécaux, un huissier également accusé d’appartenir au légendaire réseau de pédophiles, a tenté de se suicider à trois reprises, la dernière fois en décembre, après son acquittement. En prison, la mère de Marécaux est morte de tristesse, alors il a été menotté et porté à son enterrement. Après avoir été acquittés en décembre, Franck et Sandrine Lavier n’ont pas encore repris possession de leurs enfants. Il y a un folklore en France sur les vies brisées de l’Outreau 13. Que le travail de Burgaud ait été approuvé par 64 autres juges, y compris ceux du procureur de la République jusqu’au ministère de la Justice, n’y change rien ; il a été fait le bouc émissaire pour avoir utilisé Myriam Badaoui Delay, la mère violente d’Outreau, une banlieue ouvrière de Boulogne-sur-Mer, pour faire condamner 13 innocents et les enfermer pendant 20 ans supplémentaires.
Quatre questions pour comprendre le cas d’Outreau ?
Des retrouvailles pour l’un des personnages d’Outreau 20 ans plus tard. L’un des acquittés, Franck Lavier, a récemment été rappelé aux assises du Pas-de-Calais pour “viols et agressions sexuelles” sur l’une de ses filles, qui avait entre 15 et 16 ans au moment des faits. Il a été largement rapporté à l’époque, et continue de l’être aujourd’hui, que la justice française avait de graves failles. A partir du 25 février 2000, tout a commencé dans la cité de la Tour du Renard à Outreau dans le Nord-Pas-de-Calais. Il y a quatre enfants du même mariage qui racontent à leur assistante maternelle les abus sexuels qu’ils disent que leurs parents leur ont infligés à la maison. Des dizaines de suspects et leurs parents ont été incarcérés dans le cadre d’une enquête judiciaire. La France a été choquée par l’incident d’Outreau, qui porte le nom de la ville côtière du nord de la France où résidaient les participants. Avec 17 personnes jugées et des accusations de réseau de pédophilie comprenant jusqu’à 70 personnes, l’affaire a commencé avec deux garçons accusant leurs parents de les avoir abusés sexuellement. Quatre accusés, dont les parents des garçons, Thierry Delay et Myriam Badaoui, ont plaidé coupable et trois autres ont été reconnus coupables lors du premier procès en 2004. Les 13 de ceux qui ont affirmé leur innocence ont été déclarés non coupables en 2005, ce qui a donné lieu à des excuses officielles. et 200 000 euros de dédommagement pour chacun d’eux. A Outreau, dans la cité HLM du Nord-Pas-de-Calais, la Tour du Renard, un incident impliquant quatre enfants d’une même famille a éclaté le 25 février 2000. ne peut pas. Ce sont les mêmes « manières » que leurs parents, Thierry et Myriam Badaoui, leur auraient infligées s’ils en avaient eu la charge. Une enquête judiciaire a été ouverte et un grand nombre de suspects, dont les parents des enfants, ont été arrêtés. De nombreux individus, dont le père et le fils de la famille Legrand, sont désignés par la mère comme responsables de l’incident, même si elle admet certains faits. En 2004, un procès d’assises s’est tenu à Saint-Omer, et en 2005, un procès en appel s’est tenu à Paris. François Mourmand, un prisonnier décédé d’une overdose accidentelle de drogue en 2002, était l’un des dix-sept accusés inculpés lors du premier procès. Seuls six des accusés semblent être libres.