Affaire Matthieu Moulinas. En raison du Covid, Dominique Moulinas n’a pas vu son enfant, gardé en Alsace, pendant une durée considérable.
Agnès Marin (26 novembre 1997-16 novembre 2011, 13 ans) a été violée et assassinée le 16 novembre au Chambon-sur-Lignon, France. Au moment du meurtre, Mathieu Moulinas, un étudiant de 17 ans du même établissement, était en liberté conditionnelle pour le viol d’une autre fille.
Apprenez-en plus à leur sujet sur :
https://en.wikipedia.org/wiki/Murder_of_Agn%C3%A8s_Marin
Un ami de Molina, 15 ans, a été attiré dans les bois en août 2010 sur la prémisse que Moulinas lui avait remis une dette de 10 € qu’elle lui devait. De peur d’être assassinée si sa mère n’avait pas appelé, elle a été attachée à l’arbre et violée. Sa détention a été annulée après que les experts qui l’ont examiné ont déterminé qu’au bout de quatre mois, il était “rachetable”, permettant au juge de le libérer provisoirement à la condition qu’il suive une psychothérapie, quitte le Gard et vive comme frontalier au Cévenol. , la seule école à laquelle ses parents ont postulé et ont été acceptés. Patricia et Frédéric Marin ont une fille prénommée Agnès. Une amie proche a rappelé qu’elle était une excellente étudiante qui aspirait à travailler dans l’industrie cinématographique. Ses parents l’ont mise à l’internat des Cévenolles en 4ème après qu’elle ait été exposée à de mauvaises influences, dont la marijuana, dans son précédent collège. Ses funérailles ont eu lieu le 26 novembre 2011, la veille de ses quatorze ans. Quand j’étais au lycée, j’allais à la chasse aux champignons dans les bois avec un ami qui s’appelait Mathieu Moulinas, alors âgé de 17 ans. Ce n’est qu’à son arrivée au domicile d’Agnès que Moulinas a commencé à la violer et à la poignarder 17 fois avant de mettre le feu à son cadavre. Le procès pour mineurs de Mathieu Moulinas s’est ouvert le 18 juin 2013, et le procureur a demandé au jury de ne pas lui accorder le bénéfice du doute en raison de ses facultés mentales, et de le condamner à la place à 30 ans de prison et à un engagement civil, prenant compte du fait que Moulinas avait des antécédents de maladie mentale. Lors du procès, Mathieu a avoué qu’il était coupable. Le procureur a souligné les nombreux problèmes des lieux où Mathieu était détenu et a demandé au jury de ne pas lui accorder le bénéfice du doute en raison de son intelligence.
Noël allait enfin sonner l’attroupement dans le parloir de la prison, pourtant les estimations nettes ont tout détruit, pour ce papa, tragique et furieux, comme d’innombrables membres de familles différentes de détenus.
« Vous êtes devant une fenêtre en plexiglas de 8 mm qui monte jusqu’au toit, derrière laquelle se trouve votre enfant », dépeint Dominique Moulinas.
Affaire Matthieu Moulinas
Difficile de se contacter, de se tenir à l’écart de toute transmission de l’infection.
Surtout, cette fenêtre,
obligatoire depuis l’incarcération qui a suivi, est percée de trop peu d’ouvertures pour ne serait-ce que penser à laisser passer le son.
La relation entre Sophie et Dominique Moulinas est-elle une source de terreur personnelle ?
Il y a des moments où les mots tombent à plat sur leurs visages, claquant contre le roc solide de la réalité. En plus, la vérité est dure. Sophie et Dominique Moulinas ont d’abord gardé la bouche fermée, mais ont fini par rompre leur silence. J’ai trop honte pour le risquer. Que puis-je dire de plus? “Parler nous semblait si vulgaire”, ont-ils dit. Rien de ce que nous avons dit n’était compréhensible. “Après deux procès, justice a été rendue, et ils sont maintenant capables de s’ouvrir à quelques journalistes et d’écrire un livre.” Au nom de l’humilité des familles des victimes, elles ont hésité à s’exprimer. Suite à cela, nous avons conclu que nous en avions le droit. “Notre droit de vivre, c’est notre propre droit”, déclare Dominique Moulinas, un solide roc de 46 ans. En revanche, Sophie Moulinas, d’un an son aînée et au visage magnifique accablé par la drogue et un chagrin inépuisable, “J’ai du mal à te parler car tout reste encore un mystère pour moi.” Les larmes ne sont pas loin et chaque mot est pesé dans la balance. “Parler est une bonne chose.” Et qui sait, cela pourrait servir à quelqu’un d’autre. Quelle était leur apparence pré-parentale ? Deux bombes ont explosé et l’horreur était enfin terminée. Durant l’été 2010, Matthieu, leur fils de 15 ans, a agressé sexuellement une jeune voisine prénommée Julie sous la menace d’un couteau de cuisine dans leur commune gardoise. Alors qu’il était en garde à vue pendant quatre mois, Matthieu a violé et tué l’un des pensionnaires de Chambon, en Haut-Loire. Les Moulinas n’avaient pas pu faire entrer Matthieu dans l’établissement sous contrôle judiciaire. Agnès Marin était une adolescente lorsqu’elle a été enlevée. Des parents en deuil trouvent un violeur et meurtrier d’enfants. Ils ne cherchent pas à minimiser les atrocités commises par leur fils, qui ne les a jamais réfutées par leurs paroles. Une peine exceptionnellement rare pour un enfant a été infligée à Matthieu Moulinas en 2013. Il est possible qu’il soit éligible à la libération conditionnelle dans vingt ans. Essayant de comprendre, ils remontèrent le temps. Ils n’avaient d’autre choix que de tout passer au peigne fin car la justice ne leur avait pas laissé le choix face à l’indignation publique et aux discussions sur la récidive. Alors qu’ils travaillaient comme animateurs dans un camp d’été, ils se sont rencontrés à l’âge de vingt et un ans. C’est le fils de deux infirmières psychiatriques divorcées. Elle a eu une éducation difficile. Des parents inconnus lui donnent naissance dans un foyer pour enfants; sa mère adoptive la rabaisse continuellement. Ensuite, il y a son oncle, qui l’agressera lorsqu’il aura 9 à 12 ans. Même si Matthieu en était la conséquence directe, elle ne lui avait rien dit. Il est possible que j’aurais dû.
La famille du meurtrier est-elle « hantée » par l’esprit de la victime ?
Ils sont restés silencieux pendant une longue période. Avec son propre enfant ayant commis l’inimaginable, qu’est-ce qu’un père est censé dire ? Après avoir violé et tué Agnès, 13 ans, à Chambon-sur-Lignon en 2011, Matthieu Moulinas, 17 ans, a été reconnu coupable de son meurtre. Il a commis un crime pour lequel il a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle après un appel infructueux. Ils ont finalement pu parler aujourd’hui. En d’autres termes, j’ai honte et je suis désolé de ce qui s’est passé. sentiment d’isolement et de rage. Un sentiment de remords et de chagrin. sans leur voler leurs enfants. Ces gens habituellement extravertis gardaient maintenant la tête baissée, se déplaçaient plus vite et fermaient les portes derrière eux comme s’ils se rapprochaient de quelque chose. Silence hurlant depuis trois ans… Les e-mails écrits par le père du monstre n’étaient plus attendus ce lundi 13 octobre. “Je m’appelle Matthew et je suis fier d’être son père.” Vendredi dernier, une condamnation à perpétuité a été prononcée contre Matthieu. Parfois, vous avez déploré que nous ne nous soyons pas parlé pendant les deux procès. Actuellement, nous voudrions accomplir cela. Leur logement est situé au bout d’une ruelle étroite bordée d’arbres dans une maison modeste. Dans leurs voix, il y a des touches de tristesse et de culpabilité. Nous ne pouvons pas distinguer les visages des personnes sur les images sur les étagères à l’entrée principale. L’interrupteur nous a échappé. Où est l’illumination ? Pourtant, le temps est agréable, et le ciel du Gard prolonge les mois d’été. Bien qu’il semble y avoir quelque chose qui obscurcit tout. L’immobilité quintale prive les corps, les âmes et les espoirs de leur vitalité. Il n’y a plus de sourire sur le visage du monstre. Matthew donna encore quelques claques à Agnès avant de finalement la lâcher. Immédiatement après le Voldtekten, il l’a mise à la porte. La jeune jenta, qui avait advart kameratene sine om Dette touren, tenta de se défendre sans hésiter. Dans son jentesekken, où il était mort, il trouva un livre avec de la bensine et rien d’autre. Tant que sa mère et ses trois frères et sœurs sont encore en vie, Han reviendra. L’une des 60 planches comprenait Begge. Dès qu’elles ont remarqué l’absence d’Agnès à l’école plus tôt dans la journée, les filles ont commencé à explorer les terrains de l’école et le lycée voisin en prévision de l’arrivée de Vederen. De nombreux étudiants de troisième cycle admirent Mathieu M.
Des parloirs anti-Covid en prison qui isolent encore plus ?
Le coronavirus a empêché Dominique Moulinas de voir son fils, alors détenu en Alsace. Pour ce père de famille, dont le fils est en prison, Noël devait être le début de retrouvailles tant attendues au parloir de la prison, mais les mesures d’hygiène ont tout détruit. Quand Dominique Moulinas explique la fenêtre en plexiglas de 8mm devant vous, il dit qu’elle continue jusqu’au “plafond, derrière lequel repose votre gosse”. Pour éviter la propagation du virus, il doit être impossible à manipuler. Il y a eu des trous trop petits pour laisser entrer le son par cette fenêtre obligatoire depuis le deuxième emprisonnement. Si vous voulez savoir comment vous allez, vous devez crier. Vous n’arrivez pas à le joindre. Il ne te parle pas. De nombreux cris se font entendre dans la salle d’attente. Non, ils ne pouvaient pas faire de commerce. A la question “Qu’est-ce que tu entends par crier ?”, le père s’emballe. Au cas où je devais retirer le masque, je voulais lui faire un sourire. Dès qu’un superviseur est intervenu, tout a changé. Afin d’héberger leurs deux filles pour Noël, les parents ont fait deux visites distinctes dans cette chambre. Ce n’est tout simplement pas acceptable de faire ça à qui que ce soit. Les détenus préfèrent renoncer aux visites, explique-t-elle, alors que les visites sont “tout” dans leur vie. Il y a eu “beaucoup d’ascenseurs” de parents à l’Observatoire international des prisons (OIP). “Une dame a cessé de rendre visite à son compagnon avec leur enfant car ce dernier était en larmes à cause de la séparation des vitres : il voulait un câlin de son père”, explique François Bès. Sa prisonnière à Valence, Stéphanie, est incarcérée depuis le mois d’août et ne l’a pas revue depuis. Pendant les deux jours suivants, ils ont été hébergés dans une unité de vie familiale (UVF), un appartement de la prison. En raison de sa peine, Stéphanie en parle comme d’une “prison à l’intérieur de la prison”, et il a dû rester en prison pendant toute la quinzaine. Une suspension des UVF est en place depuis le deuxième confinement des UVF. Conséquence de la pandémie actuelle, “on s’attend à se voir mi-février, bien que certains particuliers ne croient pas à la réouverture” de ces unités. Le téléphone? “Téléphoner avec un téléphone portable pendant qu’on est en prison coûte très cher. C’est le premier mois qu’on passe plus d’un mois sans se parler. Stéphanie dit que c’est éprouvant pour lui “psychologiquement”. l’administration ne permettra pas au virus d’entrer dans l’établissement.Selon la DAP, les parloirs doivent avoir des fenêtres en plexiglas pour être entretenus.