Jad Zahab Parents. Pour le moment, nous ne savons rien de ses parents. Lundi 7 février, Jad Zahab, auteur de Trouver la République face à la crise du consentement, interviendra à la Médiathèque de Prades. Jad Zahab soutient dans ce livre que nous avons encore le temps de rétablir notre contrat social. Je suis né à Montpellier et j’ai grandi à Prades. J’ai 27 ans. J’ai obtenu mes diplômes à Sciences Po Lille et Paris, que j’ai fréquentés. Je suis une militante pour l’engagement des jeunes dans la vie publique et je suis membre du Young People’s Caucus. D’abord, à Prades-le-Lez, j’ai été élue au conseil des enfants de CM2 (Prières-le-Lez). Je me suis inscrit pour voter, j’ai fait du porte-à-porte et j’ai participé à des débats en classe. C’était un événement qui a changé la vie. Dans le livre, je le reprends, et je propose qu’on étende ce système à tout le pays. C’est une excellente illustration de la nécessité d’inculquer le plus tôt possible le sens de la citoyenneté démocratique aux enfants.
Apprenez-en plus à partir d’ici :
https://www.decitre.fr/livre-pod/la-france-est-une-chance-9782374802022.html
Par exemple, avec le mouvement des “gilets jaunes”, nous sommes confrontés à une crise du consentement à l’autorité, à la fiscalité et au processus démocratique. La méfiance à l’égard des politiciens, l’abstention de voter et la violence contre les élus sont également répandues. Ce livre est également fortement axé sur les questions d’identité, de sécurité nationale et de laïcité. La citoyenneté doit être repensée et les politiques doivent écouter les Français.
La science change constamment et se contredit parfois, ce qui signifie que la politique et la société doivent être prudentes lorsqu’elles parlent de ces choses,
Nous ne pouvons être d’accord que sur quelque chose que nous comprenons. Depuis que la France fait face à l’épidémie de COVID-19, il n’a jamais été aussi vrai que maintenant que les lois de notre législation doivent être temporairement modifiées pour y faire face. Alors même qu’une commission paritaire a approuvé la semaine dernière un projet de loi visant à étendre l’utilisation du laissez-passer santé et à rendre les vaccinations obligatoires pour les personnels de santé, un nouveau week-end de mobilisation “anti” s’annonce : le pays connaît l’un des principaux symptômes de la crise du consentement il a traversé pendant de nombreuses années sans le savoir.
Face à la découverte de la variété Delta et à un nombre toujours croissant de contaminants, l’été 2021 ressemblera à l’année dernière. Les gouvernements et les législateurs devraient suivre cette voie : agir de manière proportionnée et réaliste tout en rendant leurs actions intelligibles à l’ensemble de la nation. Le discours sur la pandémie et sa crédibilité ont été considérablement affaiblis, de la théorie croissante du port du masque au dépistage et à la vaccination des plus sensibles à celle de la communauté en général. Lorsqu’il s’agit d’une science en constante évolution, le discours politique doit être modeste et la société doit être réaliste quant à sa compréhension du sujet.
L’été est un moment critique pour le gouvernement et les législateurs pour éviter de réagir de manière excessive et mettre en œuvre des mesures raisonnables, pratiques et, surtout, compréhensibles pour la nation.
Cependant, d’un point de vue juridique et judiciaire, chacun devra se rendre compte que l’exercice est beaucoup plus compliqué. La semaine dernière, l’Assemblée nationale et le Sénat ont débattu de la huitième mesure en 18 mois traitant de l’état d’urgence sanitaire et des dispositions liées à la pandémie. Pourtant, les législateurs ont une tâche au-dessus de toutes les autres : adopter une législation lisible, compréhensible et applicable.
Les efforts territorialisés pour arrêter la propagation du virus dans le pays peuvent conduire à des politiques contradictoires, voire contradictoires, selon l’endroit où vous vous trouvez dans le pays. Le gouvernement et son peuple sont mis à l’épreuve. Il y a un risque qu’après de nombreux sacrifices, la grande majorité des citoyens ont accepté dans un esprit de responsabilité et de solidarité, que face à des mesures dures dont l’ingéniosité théorique est certaine mais dont l’applicabilité serait irréaliste, face à trop de variétés de mesures qui rendraient illisible une stratégie nationale, les citoyens s’orientent vers la désobéissance civile.
La plupart des Français ne sont ni anti-science, ni anti-complot, ni anti-anti-vax. Le public doit continuer à réagir face à ceux qui remettent en cause nos connaissances et notre ouverture en investissant dans l’expertise et la transparence, alors que d’autres nous doivent un niveau de clarté. Il y a une crise sociale du consentement aux États-Unis depuis les années 2000. Par sa brutalité symbolique et les limites qu’elle impose, la pandémie a rendu cette crise plus visible.
Luttons-nous pour la restauration de ce qui est vrai et de ce qui n’est pas vrai ?
Supposons que nous comprenions que la grande majorité des Français ne sont pas des « antivax », des « théoriciens du complot » ou des antiscientifiques. Dans ce cas, il faut être conscient de la diffusion d’un discours sociétal qui incite à tout remettre en question. Comment pouvons-nous développer une société pacifique à l’avenir si nous ne pouvons pas nous mettre d’accord sur ce qui est authentique et ce qui ne l’est pas ? Si nous devons nous battre pour établir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas avant d’argumenter nos croyances, comment pouvons-nous avoir des points de vue communs ?
Au milieu de la grave crise du consentement de notre nation, qui a des raisons logiques à l’appui, ce discours s’accroche, amplifié par défaut ou par des marchands de désinformation ou des dirigeants politiques en quête de faveur. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles nos dirigeants sont en difficulté.
Est-ce le signe d’un changement significatif dans l’histoire de notre nation ?
Il est important de rappeler que malgré tout, les allusions indignes à la Shoah et au système d’apartheid en Afrique du Sud entre 1948 et 1991 utilisées pour s’opposer à l’extension du pass santé de notre pays ne peuvent être justifiées, expliquées ou légitimées sous aucun prétexte. Ces chapitres tragiques de notre histoire ont été réunis pour signaler une importante erreur de jugement à laquelle nous devons tous faire face. Déclarer que la France deviendrait une dictature aux yeux du reste du monde est un acte d’orgueil sauvage et d’individualité débridée. Se moquer de l’Holocauste ou de l’apartheid pour expliquer l’épidémie actuelle est impoli envers les personnes touchées par ces choses, alors ne le faites pas !
Les gens qui ont le sentiment de sauvegarder la démocratie insufflent du populisme dans le système. Notre devoir de citoyens est de faire face à cet effort de sape des institutions et de la République, qui fait de l’État de droit un problème plutôt qu’une solution en se nourrissant des angoisses et des réticences de certaines couches de la société. Celle de réparer les faits et de restaurer l’intégrité de la réalité. Le populisme est un épiphénomène, et les démocrates du pays ont l’obligation morale de le contenir pour leur saine diversité.
Les couples hétérosexuels français ont-ils recours à la maternité de substitution plus de 60 % du temps ?
Pensez-vous qu’il est difficile d’être dans une relation homosexuelle et d’avoir un enfant de substitution en même temps ? Pour Christophe Beaugrand, le principal obstacle à la GPA pour les familles est l’argent. La maternité de substitution aux États-Unis peut coûter entre 30 000 et 150 000 euros, alors je suis consciente d’avoir de la chance. De nos jours, de nombreux couples homosexuels empruntent de l’argent à des proches ou vendent leur maison et retournent vivre chez leurs parents pour mener à bien leurs projets. Je connais des connaissances qui ont fait toutes ces choses. Plus de 60% des mères porteuses sont des hommes et des femmes hétérosexuels dont les mariages sont infertiles en France.
Dans cette affaire, deux femmes ont été impliquées : une donneuse d’ovules et une mère porteuse, qui portera l’embryon créé par FIV. Il n’y a pas de relation génétique entre la mère porteuse et le bébé pour empêcher la mère porteuse de s’attacher émotionnellement à l’enfant. Cependant, la base de données des “parents d’intention”, comme on nous appelle, semble être un site de rencontres. Selon Christophe Beaugrand, « mesdames, contactez-nous et venez nous chercher ».