Sylvain Tesson Taille: Sylvain Tesson, écrivain et explorateur français né en 1972, fascine les lecteurs par ses récits du monde depuis plus de 20 ans. Il est aussi à l’aise pour écrire de la fiction que de la non-fiction, dans lesquelles il dépeint le monde avec poésie et précision. Après des centaines de kilomètres de voyage, il parvient tout de même à choquer ses followers.
Sylvain Tesson est né à Paris le 26 avril 1972. En grandissant, il est entouré de créateurs, dont ses deux sœurs remarquables, l’actrice Stéphanie Tesson et la journaliste artistique Daphné Tesson, qui sont les enfants des journalistes Philippe et Marie-Claude. Tesson-Millet. Il a fréquenté le prestigieux lycée parisien Passy-Buzenval, où il a développé une profonde appréciation pour les peintures d’Alexandre Poussin.
Son premier goût de l’aventure est venu quand il avait 19 ans, et il a fait du vélo dans le désert central du Sri Lanka avant de passer à l’exploration de grottes à Bornéo. De retour en France, il termine sa formation en géographie au niveau doctoral. En 1993, lui et son pote Alexandre Poussin partent en vélo à travers le monde.
Ensemble, ils ont documenté leur premier voyage dans “We Rolled on Earth”, un titre approprié pour leur récit de voyage commun (1996). Un an après la sortie de ce livre, les deux partent pour une autre expédition, cette fois dans l’Himalaya, parcourant plus de 5 000 kilomètres à travers la région (dont un récit peut être trouvé dans The Walk in the Sky, 1998).
Sylvain Tesson et son amie aventurière Priscilla Telmon ont traversé à cheval les steppes d’Asie centrale à la fin des années 1990. Même si leur voyage a mis fin à leur idylle, il a inspiré deux livres : La Chevauchée des steppes (2001) et Carnets de steppes (2002, tous deux en français).
Sylvain Tesson n’a plus jamais été dans un groupe depuis cette époque. Ce voyage épique, qu’il raconte dans L’Axe du loup et l’album photo Sous l’étoile de la liberté, a été entrepris par lui et Thomas Goisque de mai 2003 à janvier 2004 à la poursuite des évadés des prisons sibériennes. Après cela, il a fait un voyage en moto d’Irkoutsk à Pékin en 2007, a passé un an en reclus sur les plages du lac Baïkal en 2010 et a suivi les traces de Napoléon en conduisant sa moto sur le chemin emprunté par l’armée russe en retraite cette année-là. en 2012.
Cependant, le 20 août 2014, cette existence intéressante a été brutalement interrompue. L’auteur, turophile depuis sa jeunesse, s’est cassé le bras en tentant d’escalader l’extérieur de la maison de son ami Jean-Christophe Rufin à Chamonix. Placé artificiellement dans le coma pendant huit jours, Sylvain Tesson s’est réveillé de sa blessure avec une paralysie faciale et un sentiment de paix. Il a pris moins de risques et a passé plus de temps à écrire récemment.
Sylvain Tesson n’a jamais eu à dépendre de personne d’autre que lui-même pour une aide financière lors de ses déplacements ; il vit du produit de ses écrits, qui comprend ses récits de voyage. Le voyageur intrépide est, en effet, le créateur de nombreux contes, d’innombrables articles, et même de quelques aphorismes et composantes lexicales. Son approche est universellement reconnue pour être à la fois lyrique et coupante.
Dans ses essais, le véritable compétiteur Sylvain Tesson examine avec scepticisme la culture contemporaine. Son écriture est engageante et transmet les sentiments et les personnages que l’exploratrice rencontre, même si elle peut parfois être sarcastique et dure. Sylvain Tesson a un don des mots qui lui permet de transporter le lecteur dans un nouveau monde dans chacun de ses livres.
Le travail de Sylvain Tesson continue d’impressionner les critiques et lui a valu le Prix Spécial Jeune Critique de l’IGN pour son premier roman, On Aroul Sur la Terre. Il a reçu le prix Goncourt de la fiction en 2009 pour son œuvre “Une vie qui dort dehors”. Après sa tentative dans le désert sibérien, il a reçu le prix d’essai Médicis qu’il poursuivait depuis deux ans. Bérézina, son roman, lui a valu les prix Page 112 et Hussard en 2015.
Sylvain Tesson, remarquable voyageur, écrivain et journaliste, est né en 1972. Après un tour du monde à deux roues, il a découvert l’Asie centrale où son cœur de cycliste appartenait, et il l’explore avec acharnement depuis 1997. En 2004, [il partage le prix de la personnalité singulière avec les Editions de La Loupe], son nom se fait largement connaître grâce à son étonnant journal de voyage, L’axe du loup (Robert Laffont). Gallimard a publié Une vie qui dort dehors, qui a reçu le prix Goncourt 2009 du meilleur roman. Il a également co-écrit Haute tension pour les Éditions Gallimard avec Thomas Goisque et Bertrand de Miollis.
Sylvain Tesson, journaliste et magnat de l’édition, est né à Paris le 26 avril 1972. Il est le fils d’un certain Philippe Tesson et l’auteur de récits de voyage et d’autoréflexions. Il a trouvé l’excitation lors d’un voyage à vélo à travers l’île principale en 1991. Son livre de 2009, “La vie sans sommeil”, lui a valu le prestigieux prix Goncourt de littérature cette année-là. France Inter a proposé de faire une série capsule intitulée “Un mois d’août avec Rimbaud” qui sortirait en 2020.
Le 2 aoûtLe 0, Sylvain Tesson chute d’une hauteur de 10 mètres en tentant de sauter du toit d’une cabane. Le journaliste est resté dans le coma pendant une semaine entière. Mais, a-t-il répondu, “ça va beaucoup mieux”, puis il a abandonné l’analogie : “Je suis en plein projet de rénovation, et tout devrait être parfait dans quelques mois.”
Malgré cela, il entend renoncer à “l’alpinisme”, puisqu’il escaladait souvent l’extérieur des immeubles de ses amis pour entrer par une fenêtre. Lundi, vous pourrez voir le journaliste sur Europe 1, et son livre, Bérézina, sur son voyage de Moscou à Paris à bord d’un side-car digne de “La Grande Vadrouille”, sortira.