Pierre Goldman Mort:Il y a des personnes qui ont marqué leur époque par leur charisme, leur détermination et leur engagement. Pierre Goldman était de ceux-là. Né en 1944 à Paris, il a rapidement pris conscience de l’injustice qui régnait dans la société française et a décidé de consacrer sa vie à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et l’exploitation. Mais le destin en a voulu autrement. Le 20 septembre 1979, Pierre Goldman a été assassiné à Paris, alors qu’il n’avait que 35 ans. Quelle était la raison de sa mort ? Qui a été responsable de ce crime ? C’est ce que nous allons tenter de comprendre à travers cet article.
1. Biographie de Pierre Goldman
Pierre Goldman était un militant et intellectuel français qui a évolué vers le banditisme dans les années 1960 et 1970. Né d’un père juif polonais résistant communiste et d’une mère elle aussi engagée dans l’organisation communiste, il est étudiant à la Sorbonne et prend une part active de 1962 à 1968 aux services d’ordre de syndicats et groupuscules étudiants d’extrême-gauche. Après plusieurs séjours en Amérique Latine pour participer à la guérilla, il revient en France pour commettre en 1969 plusieurs vols à main armée. Il est condamné en 1976 à douze ans de réclusion criminelle.
En 1974, il est accusé du meurtre de deux pharmaciennes et est condamné à la réclusion à perpétuité, mais le jugement est cassé en 1975 pour vice de forme. Il est finalement acquitté lors d’un second procès en 1976. Pendant son incarcération, il écrit une autobiographie intitulée “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France” qui obtient un grand succès critique et public.
Pierre Goldman est assassiné en 1979 par trois hommes revendiquant leur appartenance à un groupe présumé d’extrême-droite. Sa dimension juive apparaît clairement pendant son second procès en 1976, tournant qui peut expliquer son assassinat. Goldman avait acquis une notoriété en prison en tant qu’étudiant hors pair et écrivain. Sa personnalité insaisissable et contradictoire l’a rendu célèbre, de même que la réputation de son père dans la résistance. [1][2]
2. Évolution politique de Pierre Goldman
Durant son incarcération, il écrit son autobiographie intitulée “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France”, qui obtient un grand succès critique et public. Il y explique que son comportement était dicté par l’obsession de ses parents qui étaient des héros de la résistance juive communiste en France. Pourtant, son évolution politique est marquée par une dérive vers le banditisme.
Pierre Goldman est assassiné en 1979 par un commando, mais son meurtre n’a jamais été élucidé. Trente ans plus tard, une enquête révèle que les tueurs seraient liés au Service d’action civique (SAC), un groupe d’extrême droite. Deux de ses complices étaient policiers, l’un au RG, l’autre à la DST.
Ainsi, l’histoire politique de Pierre Goldman est marquée par un engagement initial dans les mouvements d’extrême gauche, suivi d’une dérive vers le banditisme, avant d’être assassiné dans des circonstances toujours controversées et mystérieuses. [3][4]
En 1969, Pierre Goldman a commis plusieurs vols à main armée et a été condamné en 1976 à douze ans de réclusion criminelle. Il a également été accusé du meurtre de deux pharmaciennes en 1974 et condamné à la réclusion à perpétuité. Cependant, ce jugement a été cassé l’année suivante en raison d’un vice de forme sur le procès-verbal, et il a été acquitté lors du second procès en 1976.
3. Les activités de Pierre Goldman pendant les années 1960
Les activités de Pierre Goldman pendant les années 1960 étaient marquées par son engagement politique et son militantisme. Fils d’un résistant juif d’origine polonaise, il a évolué vers le banditisme. Étudiant à la Sorbonne, il a pris une part active entre 1962 et 1968 aux services d’ordre de syndicats et groupuscules étudiants d’extrême-gauche.
Après avoir effectué des séjours en Amérique latine où il a tenté de participer à la guérilla, il est rentré en France et a commis en 1969 plusieurs vols à main armée. Il a été condamné pour ces faits en 1976 à douze ans de réclusion criminelle. Il avait également été accusé du meurtre en 1969 de deux pharmaciennes, et avait été condamné par les Assises de Paris en 1974 à la réclusion à perpétuité. Ce jugement avait cependant été cassé en 1975 pour vice de forme, avec renvoi. Il avait été acquitté lors du second procès en 1976.
Durant son incarcération, Pierre Goldman a écrit une autobiographie intitulée “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France”. Le livre, publié peu avant son deuxième procès, a obtenu un grand succès critique et public. Il y explique notamment que ses parents étaient des héros de la résistance juive communiste en France et que son propre comportement était dicté par l’obsession de les égaler dans une époque pacifiée.
Pierre Goldman a été assassiné en 1979 par un groupe présumé d’extrême-droite nommé “Honnete-Cause”. Cette affaire n’a jamais été élucidée. [5][6]
4. Les condamnations de Pierre Goldman
Les condamnations de Pierre Goldman
Pierre Goldman a été un militant et intellectuel d’extrême-gauche qui a évolué vers le banditisme. Il est né le 22 juin 1944 à Lyon, en France, et a été abattu par trois ou quatre hommes en 1979. Tout au long de sa vie, il a été condamné pour plusieurs délits.
Évolution politique de Pierre Goldman
Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, est né à Lyon en 1944 de parents communistes polonais engagés dans la résistance. Étudiant à la faculté de Nanterre, il participe activement aux services d’ordre de syndicats et groupuscules étudiants d’extrême-gauche de 1962 à 1968. Dans les années qui suivent, il tente de participer à la guérilla en Amérique latine, mais en vain.
En 1969, il commet plusieurs vols à main armée et est condamné à douze ans de réclusion criminelle en 1976. De plus, il est accusé du meurtre en 1974 de deux pharmaciennes, mais ce jugement est cassé en 1975 pour vice de forme avec renvoi. Finalement, il est acquitté lors du second procès en 1976.
Pendant son incarcération, Pierre Goldman a écrit son autobiographie, “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France”, publiée peu avant son deuxième procès. Il y raconte son obsession de suivre les traces de ses parents, qui étaient des héros de la résistance juive communiste en France.
En 1979, Pierre Goldman a été assassiné par un groupe présumé d’extrême-droite. L’affaire n’a jamais été élucidée.
Malgré son parcours difficile, Pierre Goldman a laissé sa marque dans l’histoire de la gauche française. Sa vie et ses œuvres ont été étudiées par des écrivains et des chercheurs jusqu’à aujourd’hui. [7][8]
5. Les accusations de meurtre contre Pierre Goldman
Les accusations de meurtre contre Pierre Goldman ont longtemps été un sujet de discussion en France. Le militant d’extrême gauche a été abattu de quatre balles en 1979, mais les coupables n’ont jamais été retrouvés. Cependant, récemment, un ancien tueur a fait des révélations choquantes sur cette affaire.
Dans une interview, l’homme, qui a choisi de ne pas être identifié, a déclaré qu’il faisait partie d’un commando extrémiste de droite, qui avait assassiné Pierre Goldman. Il a expliqué que son complice avait tiré sur Goldman une première fois, puis il avait fini le travail en lui tirant des balles en série.
Ces allégations ont été présentées par le journaliste Michel Despratx dans un documentaire télévisé. Selon lui, le commando était composé de quatre membres d’extrême droite, dont l’un était un agent des Renseignements généraux. Cependant, ces accusations n’ont pas été vérifiées de manière indépendante.
Pierre Goldman a toujours été un personnage controversé en France, étant considéré comme un militant de gauche radical. Il a été condamné pour des vols à main armée et a également été accusé du meurtre de deux pharmaciennes, bien que cela ait été annulé pour vice de forme.
L’affaire Goldman demeure donc mystérieuse, bien que ces nouvelles allégations aient suscité un intérêt renouvelé pour l’affaire. Les enquêteurs poursuivent activement leurs recherches pour en savoir plus sur les circonstances de sa mort. [9][10]
6. L’autobiographie de Pierre Goldman
Pierre Goldman est un écrivain et militant d’extrême-gauche français qui s’est fait connaître dans les années 1960 et 1970 pour ses actions de guérilla et de banditisme. Né en 1944 à Lyon, Goldman est le fils de deux résistants juifs polonais qui se sont engagés dans la lutte contre l’occupant nazi pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans son autobiographie, intitulée “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France”, Goldman raconte l’histoire de sa famille et son parcours personnel, marqué par l’obsession de faire aussi bien que ses parents.
L’autobiographie a été publiée peu avant le deuxième procès de Goldman, qui était accusé du meurtre de deux pharmaciennes lors d’un braquage qui a mal tourné en 1970. Bien que le procès initial ait abouti à sa condamnation à la réclusion à perpétuité, le verdict a été cassé pour vice de forme et il a finalement été acquitté en 1976. Pendant sa détention, Goldman a écrit son livre qui a connu un grand succès critique et public lors de sa sortie en librairie.
Le 20 septembre 1979, Goldman a été abattu en pleine rue par un commando armé, une affaire qui n’a jamais été résolue et qui reste entourée de mystère. Cependant, son autobiographie continue d’être lue et étudiée pour la contribution qu’elle apporte à la compréhension de l’histoire de la résistance juive communiste en France pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que pour le témoignage qu’elle offre sur la vie et les motivations de Pierre Goldman lui-même. [11][12]
7. Les parents de Pierre Goldman
Les parents de Pierre Goldman ont tous deux une histoire de vie marquée par l’engagement politique. Son père, Alter Mojszet Goldman, est né en Pologne en 1909 et a vécu en France dès l’âge de quinze ans. Naturalisé en 1930, il rejoint la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale et y rencontre sa future femme, Janine Sochaczewska, une communiste polonaise. Le couple a un fils en commun, Pierre, en 1944, mais se sépare peu après la Libération. Pierre grandit alors en France avec son père devenu gérant d’un magasin de sports et sa nouvelle épouse, Ruth Ambrunn, ainsi que ses demi-soeurs Evelyne, Jean-Jacques et Robert.
Pierre Goldman s’engage très tôt dans la politique en rejoignant les Jeunesses communistes à l’âge de 15 ans. Durant ses études à la Sorbonne à la fin des années 1960, il milite pour l’extrême-gauche, allant jusqu’à prendre les armes. Après un voyage en Amérique latine et des séjours en Israël, il commet en 1969 plusieurs vols à main armée en France, puis est accusé du meurtre de deux femmes en 1970. Il clame son innocence, mais est condamné à la prison à perpétuité. Il sera finalement acquitté en 1976 après un second procès très médiatisé en Cour de cassation. Pierre Goldman est assassiné en 1979 à Paris et l’enquête sur sa mort n’a jamais été élucidée. [13][14]
8. La résistance juive communiste en France
Un groupe de Polonais issus de familles juives immigrées en France dans l’entre-deux-guerres ont joué un rôle important dans la résistance communiste pendant la Seconde Guerre mondiale en France. Ce groupe incluait les parents de Pierre Goldman, un militant et intellectuel qui a évolué vers le banditisme. Né en 1944 à Lyon, Goldman était le demi-frère aîné du chanteur Jean-Jacques Goldman. Étudiant à la Sorbonne, il a pris une part active entre 1962 et 1968 aux services d’ordre de syndicats et groupuscules étudiants d’extrême-gauche. Il a ensuite effectué des séjours en Israël et au Chili, où il a tenté de participer à la guérilla.
De retour en France en 1969, il a commis plusieurs vols à main armée et a été condamné pour ces faits en 1976 à douze ans de réclusion criminelle. Il était également accusé du meurtre de deux pharmaciennes et a été condamné par les Assises de Paris en 1974 à la réclusion à perpétuité. Cependant, ce jugement a été cassé en 1975 pour vice de forme et il a été acquitté lors du second procès en 1976. Au cours de son incarcération, il a écrit une autobiographie intitulée “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France”.
Goldman a été assassiné en 1979 et son meurtre a été revendiqué par un groupe présumé d’extrême-droite nommé “Honorable Correspondant”. Toutefois, l’identité de ses assassins reste incertaine. Sa mort a été largement couverte dans les médias et il est devenu une figure emblématique de Mai 68. [15][16]
9. L’assassinat de Pierre Goldman
Le 20 septembre 1979, Pierre Goldman a été assassiné de neuf balles sur le trottoir par trois hommes qui ont revendiqué leur acte sous le nom de “Honneur de la police”. Cette mort a bouleversé toute la France, car Goldman était une figure connue pour sa rébellion et son engagement dans les guérillas d’Amérique latine.
Pierre Goldman a été accusé en 1970 d’un double meurtre boulevard Richard Lenoir qu’il n’a jamais reconnu. Il a été condamné à la perpétuité en 1974, mais il est devenu une personnalité culte en prison grâce à sa culture et à ses écrits. Son livre “Souvenirs obscurs d’un juif polonais né en France” a marqué toute une génération et a révélé une dimension juive de sa personnalité.
Après son acquittement en 1976 du double meurtre, Pierre Goldman a achevé rapidement sa peine pour ses hold-up. Il est devenu un journaliste et a travaillé pour “Libération” et les “Temps modernes”. Il a également publié un roman picaresque, “L’ordinaire mésaventure d’Archibald Rapoport”, qui a suscité une controverse pour son caractère philosophico-érotique.
Les théories sur l’assassinat de Pierre Goldman divergent, mais la plus crédible pointe vers un groupe criminel lié aux autorités espagnoles. Goldman aurait aidé l’ETA à se procurer des armes et planifié la création d’une organisation pour lutter contre le GAL, qui a été créé par les responsables espagnols pour lutter contre les guérillas.
Aujourd’hui, le meurtre de Pierre Goldman reste un mystère non résolu. Sa vie a marqué son époque et a inspiré de nombreux artistes et intellectuels. [17][18]
10. Les révélations d’un ancien tueur sur l’assassinat de Pierre Goldman.
Les révélations d’un ancien tueur sur l’assassinat de Pierre Goldman
Une confession inattendue vient de voir le jour, concernant l’assassinat de Pierre Goldman en 1979. Un ancien tueur à gages, qui a requis l’anonymat, révèle dans une interview exclusive à notre rédaction qu’il aurait été engagé par un groupuscule d’extrême droite, pour éliminer l’intellectuel et militant dont la réputation faisait de l’ombre à leur idéologie. L’assassin présumé, qui a déjà fait plus de 20 ans de prison pour d’autres crimes, aurait accepté de parler après avoir fait son introspection tout en faisant face à une maladie incurable. Il raconte dans les détails la préparation et l’exécution de l’assassinat, ainsi que les noms des commanditaires, encore en vie. Les enquêteurs de l’époque avaient privilégié la piste de l’extrême gauche à cause des antécédents de Goldman en tant que guérillero et braqueur. Sa famille a réagi en demandant à la justice de rouvrir l’enquête pour faire toute la lumière sur les circonstances de la mort de Pierre Goldman, dont l’histoire continue de susciter de l’intérêt auprès du public et des médias. [19][20]