Jeune Fille Tuee A Paris: La jeune femme dont le comportement étrange a été signalé le 19 fait partie des nombreuses personnes placées en garde à vue. Elle a été examinée par des médecins mais n’a pas encore été interrogée par les flics. Ce que les hommes qui étaient enfermés avec elle étaient censés faire.
Un sans-abri, pour des raisons encore inconnues, a découvert le cadavre d’une petite fille dans une boîte dans la cour de l’immeuble vers 23 heures un vendredi et a immédiatement appelé la police. Lola, une collégienne, était très discrète sur son corps. À côté de la boîte se trouvaient deux petites valises.
Le coffre a été découvert dans un entrepôt en sous-sol où le père de la jeune fille avait travaillé comme concierge. Les parents de la victime se sont inquiétés vers 15 heures lorsqu’ils n’avaient toujours pas vu leur fille rentrer du collège situé à proximité de leur appartement dans le 19e arrondissement de Paris.
Après avoir appris l’enlèvement de son fils, un père désemparé a demandé à sa femme de déposer une plainte pour disparition auprès de la police. L’étape suivante consiste à déposer un rapport de disparition. Vendredi après-midi, la mère a publié une description de sa fille et un appel à témoins sur Facebook.
La femme était connue sous son pseudonyme, Lola. Jeune parisienne de 12 ans, elle rentrait à pied des écoles du 19e arrondissement. Son cadavre a été retrouvé dans une malle en plastique devant son immeuble de la rue Manin dans la soirée du vendredi 15 octobre. Un SDF trouve le cadavre d’un jeune homme dans une boîte vers 23 heures.
Opaque à la porte arrière de sa maison de la rue d’Hautpoul ; le père de l’homme est gardien. La journée était déjà bien avancée, et elle n’était toujours pas rentrée chez elle. Selon les sources de l’AFP, il y avait deux bagages de taille cabine à proximité.
Les inspecteurs ont pu immédiatement réduire le nombre de suspects après avoir découvert des objets liés à l’enlèvement (scotch, cutter) dans le sous-sol de l’immeuble. Notre fille Lola a été enlevée vers 15h20, nous avons été alertés immédiatement.
Une dame que nous ne connaissons pas est à notre appartement, a déclaré la mère de Lola sur Facebook. Le sweat-shirt et les leggings blancs complètent le sac gris qu’elle tient. La photo d’une belle jeune femme aux cheveux dorés et au sourire contagieux accompagnait l’appel. Elle s’appelle Lola.
L’un des habitants qui a vu la dame tenter de porter la malle a donné une interview à BFMTV. Nous l’avons suivie pendant un petit moment jusqu’à ce que nous la voyions entrer dans le bâtiment toute seule. Une demi-heure plus tard, nous l’avons vue se promener avec une malle, en bavardant avec les autres.
Ils avaient des invités qui “semblaient un peu sauvages, un peu bizarres”, dit-il. De plus, explique-t-elle, “nous n’aurions jamais pensé qu’il y avait un corps, sinon nous l’aurions immédiatement arrêtée.” Le parquet de Paris a envoyé sa division d’enquête criminelle pour se pencher sur cette affaire.
Meurtre d’un mineur de moins de 15 ans. Une femme figure parmi les six personnes interpellées tôt samedi à Bois-Colombes (Hauts-de-Seine). L’autopsie de la petite Lola a été pratiquée samedi 15 octobre pour déterminer les causes de sa disparition prématurée.
Elle est probablement morte par étouffement, selon les éléments recueillis. La victime présentait des blessures visibles au niveau du cou et de la gorge, même si l’agression a vraisemblablement eu lieu alors que le corps avait déjà été découvert. Selon BFMTV, il a été ligoté aux poignets et aux chevilles et du ruban adhésif a été placé sur sa tête.
Les chiffres “1” et “0” ont également été “placés” sur le corps, bien que leur signification ne soit pas claire. Le corps d’un enfant de 12 ans a été découvert dans un coffre vendredi soir à Paris, et depuis lors, la police mène une enquête. Dimanche 16 octobre, quatre suspects étaient toujours en garde à vue.
Témoignages et preuves de l’accusation sur la télévision française. Le principal suspect et quatre autres personnes ont été placés en garde à vue tôt samedi près de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine). Disons que nous sommes vendredi soir à 23 heures. Pour deux, un individu sans domicile fixe dans le 19e arrondissement de Paris.
Pas du parc des Buttes-Chaumont, est tombée sur le corps du jeune assassiné lové dans une malle au pied de son immeuble. D’après ce qu’on a pu voir, elle avait un terrible mal de gorge. Le parquet de Paris a indiqué à franceinfo que l’autopsie pratiquée samedi a montré qu’elle était morte par asphyxie.
Ses parents, qui sont également les gardiens de l’immeuble, avaient signalé sa disparition quelques heures plus tôt. La mère avait déjà mis en ligne vendredi soir sur Facebook une photo de leur fille avec la légende “alerte enlèvement”. C’est là que notre fille Lola a été vue pour la dernière fois.
Une dame que nous ne connaissons pas vient chez nous à 3h20. La photo de la fille a également été obtenue à partir d’une caméra de surveillance voisine. Tôt samedi, un suspect né en 1998 a été capturé près de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine). Apparemment, de nouvelles informations ont été données par une source proche de la situation, comme le rapporte la télévision française.
Selon les premiers éléments de l’enquête, elle avait demandé de l’aide alors qu’elle tentait de retirer un énorme coffre de sa voiture. Samedi, le rectorat de Paris a annoncé que Gea annoncé que l’université Georges Brassens, où la victime étudiait, allait installer des “cellules de soutien psychologique pour les étudiants et les salariés.”
La brigade criminelle de la police judiciaire de Paris a été chargée d’enquêter sur le “meurtre d’un jeune de moins de 15 ans” par le parquet de Paris. On ne sait toujours pas ce qui a poussé le meurtrier à appuyer sur la gâchette.
Dans ce billet, il a inclus non pas une, mais deux photos de lui. Samedi, une autopsie a été pratiquée sur le défunt pour aider à comprendre ce qui s’est passé. L’autopsie a permis de déterminer que la jeune fille était morte par asphyxie. Accusation de l’accusation et d’un témoin interrogé.