Eric Bruyas Décès: Quatre membres de la famille Bébien ont été mutilés à mort dans leur maison de Saint-Andéol-le-Château, France, le 30 mai 1995. Odette, la mère, et deux de leurs trois enfants, Vincent Jr. (21 ans) et Aline (22 ans), aurait eu accès à environ 22 armes à feu, selon les estimations (16).
Un membre de la famille Beaubien, Bruyas, est né le 10 janvier 1968; il affirme que ses parents ont été assassinés par des hommes masqués portant des masques de ski. Bien qu’il n’ait jamais fourni de raison directe, il a affirmé par la suite qu’il l’avait tuée pour lui éviter une “douleur psychologique”.
Aline, 16 ans, fait également partie des victimes du drame. Le meurtrier a fui les lieux en allumant des bougies et en remplissant des bidons d’essence avant d’y mettre le feu, ce qui a provoqué une énorme explosion qui a anéanti la maison à un étage.
Eric Bruyas, aujourd’hui âgé de 50 ans et désireux de reprendre sa quête de liberté après avoir été au secret pendant 20 ans, est prêt à affronter ses accusateurs. En 1999, un jury de Lyon l’a reconnu coupable du meurtre des parents et des frères et sœurs de sa femme et l’a condamné à la réclusion à perpétuité.
Le juge a décidé qu’il devait purger sa peine de prison. Eric Bruyas ne semble pas capable de ressentir ou d’exprimer des émotions. une apparence étonnante dissimulée par un comportement sévère. C’est vraiment simple de toutes les manières imaginables.
Le lundi 18 octobre, il a comparu devant le tribunal pour « meurtre » et « dommages par le feu », et si vous l’avez vu, vous savez qu’il a l’air d’un cow-boy, arrogant et un peu prétentieux. Les gendarmes en charge de l’affaire ont prudemment poursuivi les pistes même les plus improbables.
Il y aura des crimes à caractère sexuel, puis des suicides de masse rappelant le Temple solaire, et enfin, le mal atteindra de nouveaux sommets. Toute cette tentative avait été vaine. Mises à l’épreuve, ses explications échouent, suscitant les soupçons des autorités chargées de l’enquête.
L’apathie apparente de Bruyas face à la mort de sa mère, de son père et de sa sœur ressort encore plus. Si vous racontez une histoire un million de fois, la première fois, elle semble moins plausible à chaque fois.
Le 5 octobre 1999, un tribunal espagnol a déclaré Bruyas coupable d’avoir tué ses parents pour gagner leur fortune. Le jury n’a eu aucun scrupule à lui infliger une peine d’emprisonnement à perpétuité avec possibilité de libération après 22 ans.
En 1999, un jury de la cour d’assises du Rhône a reconnu Bruyas coupable d’avoir tué sa belle-famille afin qu’il puisse hériter de leur fortune. En 2011, il n’y avait aucune nouvelle preuve qui aurait pu changer sa condamnation, de sorte que l’appel a été rejeté.
Dans les années qui ont suivi sa sortie de prison en 2017, Eric Bruyas s’est vu refuser à plusieurs reprises la libération conditionnelle. Sa santé a continué de décliner et le 25 octobre 2021, sa peine a été commuée.
encore plus si l’on considère le manque d’attention manifeste d’Eric Bruyas face à la récente crise de sa belle-famille. Lorsqu’un conte est révisé et réédité, il se surpasse continuellement en termes d’éléments incroyables.
Après qu’un jury l’ait reconnu coupable, il a été condamné à la prison à vie, avec un minimum obligatoire de 22 ans d’isolement. Après que toute sa famille ait été tuée en 1993 dans l’Ain et le Jura, un faux médecin du nom de Jean-Claude Romand s’est suicidé en s’immolant par le feu en l’an 2000.
Contrairement à Romand, Bruyas a utilisé deux options juridiques – les permis de sortie et les demandes conditionnelles – bien avant la fin de la période de statut de réfugié.
Un individu se décrivant comme “nord-africain” a tiré et assassiné la famille Debian avant de retourner le pistolet contre lui-même. Le lendemain du meurtre de la famille Bébien, le cadavre, l’arme et les munitions auraient tous été jetés.
Malgré l’abondance de preuves qui pointent dans sa direction, il soutient que ce qui a été révélé à son sujet n’est pas le fruit de son imagination. Les enquêteurs ont tout examiné, y compris les crimes sexuels, les suicides de masse au Temple du Soleil et les crimes commis par des promeneurs.
Dans ce chapitre, on apprend qu’Odette, Vincent Salvador et les parents d’Aline ont tous été tués. Une enquête criminelle est actuellement en cours. Les Bébiens, dit le coroner, ont été abattus avant même que l’incendie ne se déclare.
Après enquête, la police pense avoir compris que le meurtrier connaissait la routine familiale. Pour commencer, il se tient responsable de la mort de sa femme et de ses deux garçons, qui vivaient tous dans la maison au moment de l’incendie. Il a évité de dire à sa femme la “terrible vérité” par crainte d’un suicide collectif. Lorsqu’on lui demande d’expliquer ses incohérences, il invente constamment des excuses.