Alan Stivell Maladie

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Alan Stivell Maladie : Alain Cochevelou, plus connu sous le nom d’Alan Stivell, a relancé l’intérêt pour la harpe celtique au début des années 1970 (bombarde, grande cornemuse des Highlands, tin sifflet et synthétiseur). En plus de tout cela, il chante dans plusieurs langues : le breton, l’anglais et le français ne sont que quelques exemples.

Apprenez-en plus sur lui sur :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alan_Stivell

Mis à part certains de ses premiers travaux (notamment son album des années 1960 et une grande partie de sa production du début des années 1970), mes albums préférés de lui sont ceux des années 1960 et 1970, donc au lieu d’écrire un article entier sur lui, je pense que je vais me concentrer sur ces albums que j’apprécie et ignore ceux que je n’ai entendus qu’une ou deux fois.

Malgré son lieu de naissance français, son père était breton et il a commencé à jouer de la harpe celtique à un jeune âge. En 1964, à l’âge de vingt-six ans, il sort son premier album sévère. Des airs traditionnels bretons, irlandais et écossais sont inclus dans Telenn geltiek – Harpe celtique. Pour une raison quelconque, je trouve le son de la harpe celtique de Stivell plus approprié comme musique de fond tout en faisant d’autres choses. Je pense que c’est un excellent début pour lui, et la musique est relativement paisible. Après six ans d’attente, Stivell sort enfin son deuxième album ! Côté chant, la voix de Stivell est clairement à la hauteur avec Reflets. Tous les morceaux sont des chansons traditionnelles retravaillées : quelques instrus, une façon anglaise, une chaîne française, et un morceau breton complètent l’album. C’est aussi moins monotone puisque nous sommes exposés à des instruments supplémentaires. En raison de l’inaccessibilité de plusieurs moyens sur youtube, j’envisage de publier l’intégralité de l’album sans espoir d’éviter les problèmes de droits d’auteur. L’album est l’un de ses meilleurs, et je ne peux pas choisir juste quelques favoris.

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Alan Stivell Maladie. Alan Stivell, né Alan Cochevelou le 6 janvier 1944 à Riom, en France, est un auteur-compositeur-interprète et musicien français surtout connu pour sa chanson “Riom”. La langue, la culture et la terre du peuple breton dans leur patrie sont toutes attaquées et il se bat pour les faire reconnaître.

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En plus de jouer du piano et des synthétiseurs, il joue également de plusieurs instruments tels que la flûte irlandaise, la bombardée et la cornemuse écossaise, entre autres. Il est à la fois chanteur et écrivain et travaille dans plusieurs langues. Alan Stivell et son père, Georges Cochevelou, sont à l’origine de la résurgence de la harpe celtique de Bretagne dans les années 1950, grâce aux efforts de son père. Des récitals sont utilisés pour atteindre cet objectif depuis 1953. Alan Stivell a la particularité d’être le premier chanteur breton professionnel à se produire exclusivement en langue bretonne depuis 1966. C’est une formalité (Brezhoneg). Le rock et le folk-song anglo-saxons ont fortement influencé la première renaissance musicale de Breton (l’invention des bagadoù), fortement inspiré du rock et du folk-song anglo-saxon, l’ont fortement influencé.

L’approche musicale d’Alan Stivell en breton a été fortement influencée par son ouverture aux musiques d’autres continents, ainsi qu’aux influences gaéliques et anglo-saxonnes, entre autres. Les avancées technologiques de la fin du XXe siècle sont également abordées. D’autres artistes bretons, à l’exception de Glenmore, s’exprimaient déjà à l’époque, mais leur modernité se limitait à la guitare classique et aux autres instruments traditionnels (à une exception près). C’est lui qui lui donne une nouvelle vie en premier lieu. Seuls deux des divers genres qu’il combine dans sa musique, qu’il a commencé à utiliser en 1979 et qu’il continue d’utiliser depuis 1993, sont la musique bretonne et la musique électronique, pour n’en nommer que quelques-uns. C’est lui qui conçoit, dessine et construit ses propres harpes celtiques électroacoustiques et électriques, sur lesquelles il joue ensuite.

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Outre ses démarches artistiques et ses tournées mondiales, il fait la promotion de la Bretagne et de sa musique en communiquant avec ses nombreux supporters et en profitant de l’effet boule de neige qui en résulte. Catalyseur du développement de la langue bretonne et source de fierté pour le peuple breton, il aura permis à un déluge d’artistes de lui emboîter le pas.

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Défenseur du patrimoine celtique et breton, il s’exprime à travers sa musique. Il ne peut pas imaginer vivre dans un monde où les enseignements humanistes et fraternels ne sont pas diffusés partout dans le monde pour tout le monde. Reflets, un album de 1970 de l’un des premiers pionniers de la musique mondiale, illustre cette ouverture dans ses premiers travaux via la fusion des cultures et des genres musicaux. Reflets a été l’un des premiers pionniers de la musique mondiale, sorti en 1970. Pour découvrir la « musique mondiale », il faut voyager au-delà de l’espace et du temps, ainsi que soutenir des panélistes et un regard égalitaire sur la situation humaine (Human Kelt).

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Le prénom d’Alan Stivell est Alan Cochevelou, et il est originaire des villes de Gourin et Pontivy dans le Morbihan en Bretagne. Il vient d’une famille qui a beaucoup voyagé. Originaire de Gourin et Pontivy, son père est d’origine française et russe, tandis que sa mère est d’origine française et russe (Ukraine et Lituanie). Les frères d’Alan, Épinal et Alan, sont tous deux nés à Paris en 1935 et ont le même âge qu’Alan (1940). Pour sa part, Riom est originaire de la ville française du Puy-de-Dôme en Auvergne, où il est né quelque part entre 39 et 45 ans. Ils rentreront à Paris avant la fin de son mandat de deux ans en tant que président. . S’il a passé une partie de son enfance en Bretagne en vacances en famille, il a passé le reste de son temps à grandir à Belleville puis à Vincennes. Sa maison ancestrale de Langonnet (Langone en breton) est l’endroit où il s’est initialement installé en Bretagne et où il a élevé sa famille.

Avant Colombine, y avait-il un Rennes ?

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Elle et les Transmusicales auront bientôt la trentaine. Les jeunes modernes en combinaisons électriques mènent la charge pour transformer la vie urbaine et la ville elle-même. Le photographe Richard Dumas, Etienne Daho (qui s’appelle toujours Jr.) et les étudiants de Terrapin qui ont lancé un événement musical appelé Transmusicales sont parmi ceux qui ont marqué la ville. Ils aiment traîner autour de l’ancien magasin de Rennes Musique pendant leurs temps morts. Les importations 33 tours de Pere Ubu, The Stooges et Richard Hell sont ce qu’ils recherchent. Le visage de cette nouvelle génération de citoyens français qui ne désirent plus la France tiède des années Giscard ? Le marquis de Sade.

Rennes sera tiré de sa torpeur par deux albums presque sans faute, Danzig Twist (1979) et Rue de Siam (1981), et de nombreuses performances live sous la forme d’un hurlement arty punk primitif, magnifique et brutal comme une œuvre d’Egon Schiele. En ce qui concerne la suite, il ne fait aucun doute que les choses sont un peu mouvementées. Les petits ressentiments, l’anxiété créative, le fonctionnement d’une petite clique d’extrême gauche, la perplexité et l’entêtement envers les règles de l’industrie musicale ont conduit à la rupture. Chanter la douce new wave de Marc Seberg avant de se lancer dans une aventure country blues en tant que Philippe Pascal Blue Train Choir est un amour pour Philippe Pascal, un fan de l’expressionnisme allemand en musique. Frank Darcel, le guitariste de Manchester aux faux airs des petites frappes, créera quant à lui, et l’icône celtique Alan Stivell participera à la fête autonomiste bretonne et se réconciliera occasionnellement avec son amour initial après le punk sur des projets comme Republik. Et que dire du Marquis de Sade ? Pendant plus de 30 ans, la nouvelle vague de Madeleine de Proust est restée intacte. La forte ascension de ce groupe, qui a l’avantage d’être aussi rare dans les médias qu’Etienne Daho, suffisait aux jeunes d’aujourd’hui. Ici. C’était jugé impossible par de nombreux anciens lecteurs d’Actuel et de Rock & Folk quand Marquis de Sade s’est offert cet automne dernier : une reformation 36 ans plus tard, à l’occasion d’un événement musical entre les murs de la grande liberté. Après 36 ans, plus de 3 000 personnes avaient déménagé.

L’idée de composer de nouvelles chansons ensemble est une possibilité ?

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C’est là. Encore faut-il esquiver les huées du groupe de quinquagénaires voire sexagénaires qui profitent de leur mauvaise réputation pour passer du bon temps en ville. Les réformes ne sont pas toujours simples. C’est soit ça, soit vous sortez d’ici. Personne ne peut dire ça. J’aurais ri devant la reformation du marquis de Sade en février 2017 si quelqu’un m’avait dit ça. Nous monterons sur scène ensemble, Franck Darcel et moi. Ce conte n’est pas faisable, j’en ai peur. Notre communication s’était complètement tarie. Mais il faisait encore assez frais. Nous ne pouvions pas exprimer que nous étions contrariés. Nous ne pouvons pas arrêter de nous regarder. Lors d’un rassemblement hier soir, même si je ne sais pas non plus qui c’est, Tiersen. D’après ce que j’ai vu, c’est une personne douée. Ma mémoire me dit que j’ai déjà entendu sa musique, mais je ne l’ai pas rencontré. Le même, Miossec 🙂 Enfant, j’avais écouté son premier album, sorti en 1992 ; J’ai trouvé que c’était un morceau de musique excellent et unique. Le Triangle à Rennes m’a permis d’animer des soirées “poésie” où j’invitais des musiciens que j’admirais à jouer et à lire leurs poèmes. J’ai également sollicité l’aide de poètes et d’auteurs pour produire de nouvelles œuvres musicales. En tout cas, c’est à ce moment-là que j’ai fait la connaissance de Dominique A.” Il a eu cette idée astucieuse en tête lorsque nous avons pris un taxi pour retourner ensemble au centre-ville après la nuit. Quelle expérience incroyable, je n’ai jamais été aussi proche de Chanteur du marquis de Sade avant ! Malgré son extérieur rugueux, il y a une simplicité trompeuse chez cette personne. Un petit pourcentage de la population est tout simplement imparable.

L’Ubu de Rennes organisera une after-party pour la prestation de votre groupe le 16 septembre, réunissant de nombreuses personnalités venues au spectacle grâce à votre crew. Avez-vous des projets pour le lendemain ?

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C’est devenu la norme. Mon esprit s’était égaré. De la même manière. Peut-être trop de bruit, de sollicitation, de démonstration d’affection… C’est quelque chose d’entièrement nouveau pour moi. Cette soirée ressemblait à des retrouvailles avec mon histoire comme si nous vivions enfin le troisième album avec Marquis de Sade qu’on aurait dû enregistrer si on ne s’était pas fait voler la tête après le deuxième… Voir des visages familiers après trois décennies était aussi un régal . Christophe Nick, l’un des premiers journalistes en France à avoir défendu Marquis de Sade dans les pages de Rock & Folk et Actuel, et Jérôme, qui a travaillé comme éclairagiste avec moi pendant quelques années, étaient tous les deux ravissants à revoir. Si j’avais pu rentrer chez moi et rejouer les événements de la journée par la suite, je l’aurais fait. Et puis, d’autres auraient pu dire : « Il n’a pas changé, Philippe. Il est toujours aussi taciturne et élitiste qu’avant. Si vous allez faire un voyage d’ego une fois dans votre vie, c’était le moment parfait. Nos chemins ont dû se rencontrer à un moment donné, que ce soit un concert ou une fête, mais notre amitié actuelle ne date que de quelques années. Quand je vivais à Paris il y a une dizaine d’années, il travaillait avec une actrice connue sur un projet. Il s’agissait en fait d’Isabelle Adjani. Et il voulait faire un album concept avec pas mal de chanteurs qu’il admirait : Daniel Darc, Pete Murphy, le chanteur du Bauhaus, Christophe, David Sylvian, Youssou N’Dour… Vous imaginez le film basé sur tous les castings de lui et Adjani. Pascal Obispo a voulu que l’album soit l’aboutissement de ses influences musicales préférées. Fan du Marquis de Sade, il souhaite collaborer avec le chanteur des chansons du Marquis de Sade. Sauf qu’Adjani ne voulait plus faire l’album, et donc il n’a jamais été enregistré. Bon. Honte. Cependant, nous avons maintenu le contact après l’annulation du projet.

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