Affaire Muller – Jean-Louis Muller, un médecin français, a été inculpé du meurtre de sa femme, Brigitte, le 8 novembre 1999, à leur domicile d’Ingwiller, en France, selon la police.
Brigitte Muller a deux frères dont l’un est son mari. Elle a un permis de conduire italien. Elle travaille également comme bibliothécaire dans une école de Strasbourg pendant la moitié de l’année. Aux yeux de beaucoup, elle est une personne d’une dignité calme et d’une sensibilité délicate, ainsi qu’une grande fan de littérature et d’art. Jean-Louis et Brigitte sont les parents de deux fils.
Jean-Louis Muller est l’un des trois frères et sœurs. Fils d’un médecin et d’un ancien militaire de la Wehrmacht, son père était un ultra-autoritaire qui a insisté pour l’enrôlement de son fils malgré l’opposition de Moselle. Sa mère avait un comportement disciplinaire sévère, dont il a hérité. Lorsqu’il atteint l’âge de 18 ans, son père l’informe qu’il deviendra médecin plutôt que militaire. Son père a choisi l’emplacement de sa maison, qui se trouve sur la ferme de son père. Selon lui, Jean-Louis semble réticent à lui verser un loyer. Le lendemain, le père de Jean-Louis arrive pour percevoir le loyer après l’avoir intimidé avec un fusil d’épaule de 22 po.
Il s’est porté volontaire comme pompier pendant son temps libre. En plus d’être professeur à l’université, membre du conseil municipal, membre du club des Vosges, médecin légiste et juriste, le Dr Peterson est également impliqué dans de nombreuses autres activités. Bourru, arrogant, bavard, avide et exubérant dans ses manières, est souvent reconnu comme un bon travailleur de la santé. Deux de ses armes à feu sont des objets de collection et il a divulgué de manière appropriée ses cinq armes sur lui. Son cheval s’appelle Urano et il le monte.
Urano a donné un coup de pied à Brigitte au visage avec un sabot en janvier 1998, lui faisant perdre connaissance. Elle a subi deux opérations et à la suite des traitements, elle a été temporairement défigurée. Sa mâchoire est dans une douleur atroce. Lorsqu’elle arrive au travail, elle rencontre de nombreuses difficultés puisqu’elle est constamment harcelée. Son psychiatre habituel est un expert des problèmes existentiels, et elle lui rend visite régulièrement.
Lors d’un voyage à Strasbourg, en France, en octobre 1999, Brigitte rencontre Hans-Peter, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Ils ont commencé une relation platonique le 5 novembre 1999, après avoir échangé un seul baiser sur un banc public en public. Ils ont réservé quatre rendez-vous entre eux. Selon la conversation téléphonique de Brigitte avec Hans-Peter ce soir-là, il l’a informée qu’elle était “déprimée”. Un psychiatre professionnel fera allusion à un « choix impossible » tout en discutant d’une situation difficile.
Un appel anonyme au centre d’opérations de la gendarmerie de Strasbourg à 21h24. le 8 novembre 1999, a signalé le suicide de sa femme à l’opérateur de la station. Lorsque les gendarmes apprennent le problème, ils envoient immédiatement une équipe sur les lieux. Le corps immobile de Brigitte Muller est découvert allongé sur le dos au sous-sol. Elle avait 42 ans. Le coup a arraché la partie droite de son visage.
Il s’attend à être de retour à sa résidence à 19h40 après avoir assisté à une conférence en plein air. Il s’assit pour souper avec sa femme Brigitte et leur enfant. Le lendemain, après en avoir discuté avec le médecin, il s’est installé devant la télévision pour assister à une détonation, qu’il a soudainement entendue. Il sut qu’il ne pouvait rien faire dès qu’il vit Brigitte allongée sur le dos, les bras croisés.
Affaire Muller
La mort de Brigitte dépasse l’entendement du docteur Muller. Il a dit que sa femme semblait calme à propos de la situation cette nuit-là. Lors de l’autopsie de Brigitte Muller, on a découvert qu’elle avait pris au moins deux antidépresseurs à petites doses. De plus, on ne peut exclure l’idée que la femme de Jean-Louis Muller soit celle qui a appuyé sur la gâchette de l’arme. Le 21 février 2000, la méthode a été officiellement retirée.