Affaire Jubilar

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Affaire Jubilar. L’affaire Delphine Jubillar est une enquête criminelle qui a débuté avec la disparition d’une mère de famille de Cagnac-les-Mines dans le Tarn dans la nuit du 15 décembre 2020.

L’affaire Delphine Jubillar commence par la disparition d’une mère à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Alors qu’elle quittait la maison dans la nuit, son mari affirme qu’elle serait partie avec un duvet blanc. veste et juste son téléphone portable.

Apprenez-en plus sur lui sur :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Delphine_Jubillard

Face aux faits, Jubular Aussaguel, l’épouse de Delphine Aussaguel, est infirmière à la clinique Claude-Bernard d’Albi. Cédric Jubillar, entrepreneur indépendant qui exerce le métier de peintre plâtrier, est son mari depuis juillet 2013. Elle est née le 15 novembre 1987 à Gaillac (81). Ils avaient deux enfants ensemble, un garçon et une fille, qui avaient 6 et 18 mois lorsqu’il a disparu. Un an plus tard, Delphine Jubillar a déclaré qu’elle souhaitait divorcer de son mari depuis sept ans. Son avocat affirme que le divorce a été convenu d’un commun accord. Un appel a été passé à la gendarmerie le 16 décembre 2020, par Cédric Jubillard pour signaler la disparition de son épouse. Il avait envoyé un SMS à 4 heures du matin à une amie de Delphine, leur disant de lui dire de rentrer à la maison. “Non, Delphine n’est pas là”, avait été la réponse de son interlocuteur. Au début, les gendarmes utilisaient une variété d’outils (chiens, drones, hélicoptères) et de personnel pour mener leurs enquêtes (50 gendarmes de réserve). C’est ce qui se passe lorsque vous emportez le téléphone de quelqu’un avec vous. Un rayon de deux milles entourant sa résidence a été coupé de ses émissions le 16 décembre. Un relais proche de la maison, mais pas celui qu’il restreint habituellement lorsque Delphine est à la maison, s’active lorsque son téléphone appelle pour la dernière fois à 10h55. après-midi (avant d’aller sur la messagerie vocale à 7h48). Il n’y avait pas d’éclairage public cette nuit-là et Delphine a disparu sans sa voiture. La lampe de poche de son téléphone n’était pas allumée. Mais le 13 janvier 2021, elle poste une déclaration vide sur sa page Facebook (dont elle est a priori la seule à détenir les codes). Parmi les trois possibilités figurent les bogues logiciels, le piratage ou encore les dysfonctionnements informatiques causés par l’examen par les enquêteurs des appareils électroniques des personnes disparues. Les gendarmes auraient préféré croire à la piraterie comme une possibilité.

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Elle aurait quitté le domicile familial entre 23 heures. et 4 heures du matin, selon son mari, vêtue d’une doudoune blanche et portant juste son téléphone portable.

L’instruction judiciaire de cette affaire s’avère délicate, surtout lorsque le sensationnalisme se heurte à des enquêtes de terrain journalistiques 1 parfois remises en cause par des faits. Jubillar, la 2ème épouse de Delphine Aussaguel, est une infirmière qui travaille à la clinique Claude-Bernard à Albi 3 la nuit. Elle aura 33 ans en décembre 2020, et elle est mariée depuis juillet 2013 à Cédric Jubillar, peintre plâtrier indépendant4. Ils ont eu deux enfants, un garçon et une fille, au moment de son enlèvement, qui étaient 6 et 18 mois.

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Delphine Jubular déclare son intention de divorcer à l’été 2020. Ce divorce semblait s’être fait par consentement mutuel, selon son avocate. Cédric Jubillar téléphone à la gendarmerie dans la matinée du 5 décembre 1620 pour signaler l’enlèvement de sa femme. Il avait envoyé un message à une personne proche de Delphine à 4 heures du matin, disant : « Dites à Delphine de rentrer à la maison. “Non, Delphine n’est pas avec moi 6”, a répondu son interlocuteur. Les gendarmes ont utilisé des moyens variés (chiens, drones, hélicoptères) et des hommes dans leurs premières recherches (50 gendarmes réservistes) 7. Mercredi 23 décembre, un millier de personnes, dont Cédric Jubillar, sillonnent le terrain difficile de la commune à la recherche de Delphine Jubillard. 8. Des objets sont retrouvés (téléphone, couteau, vêtements) 9. Une information judiciaire pour enlèvement et séquestration a été ouverte le même jour, et l’affaire a été confiée à deux juges d’instruction du tribunal de Toulouse 10.

Les enquêteurs ont examiné la maison du couple le lendemain 11. Elle est discutée plus en détail le 6 janvier 2021, notamment par des experts de l’institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale 12.

Cédric Jubillar, le mari de l’infirmière disparue dans le Tarn il y a un an, aurait informé un codétenu que le cadavre de sa femme était enterré dans une propriété de Cagnac-les-Mines. Selon les informations de France Bleu Occitanie, des détectives ont examiné une ferme il y a un an.

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Depuis son incarcération et son incarcération au centre de détention de Seysses le 18 juin, Cédric Jubillar clame son innocence. Il est inculpé du meurtre de sa femme, dont aucun cadavre ni même trace n’a été découvert depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Selon les aveux du Parisien, le trentenaire aurait réussi à commercer avec un détenu à qui il aurait informé qu’il avait déposé le cadavre de Delphine près d’une ferme à Cagnac-les-Mines, près de leur maison.

Les enquêteurs avaient déjà fouillé une ferme.

France Bleu Occitanie s’y est rendu samedi matin et n’a constaté aucune perturbation inhabituelle en dehors de la présence d’autres journalistes. D’après notre compréhension, des détectives ont enquêté de manière approfondie sur ce site il y a un an. Quelques jours plus tôt, des gendarmes avec des chiens ont également été aperçus à proximité. Le propriétaire de la ferme prétend n’avoir aucun lien avec les Jubillars. Selon les ex-allégations, la ferme du détenu incendiée a été détruite le 15 avril.

A la poursuite du cadavre, de l’ancien compagnon de cellule et de son nouveau compagnon ?

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Malgré son isolement, les confidences de Cédric Jublar auraient donné lieu mercredi à une rafale d’audiences, dont l’arrestation et la détention de Séverine Longhini, la femme qui partage désormais la vie de Cédric Jublar. Après 38 heures d’interrogatoire à la gendarmerie de Gaillac, le quadragénaire a été libéré jeudi soir.

Selon une information du Parisien, validée par la suite par TF1-LCI, Cédric Jubillar aurait exhorté sa co-détenue prochainement libérée à aller découvrir le cadavre de Delphine Jubillar et à le déplacer. Pour l’aider à retrouver cette propriété, la confidente du Tarn aurait fait appel à Séverine Longhini, sa nouvelle compagne, qui l’aurait suivi dans une automobile voisine sans trop s’approcher. En conséquence, leur recherche n’aurait finalement rien donné.

La rencontre de Séverine Longhini avec cette ancienne détenue, et leur voyage ensemble, auraient amené les juges d’instruction à ordonner mercredi le placement en garde à vue de l’habitant de Lescure d’Albigeois. Les enquêteurs ont interrogé le détenu en début de semaine (sans avoir été placé en garde à vue).

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De nombreux aspects de ce récit semblent improbables : Comment Cédric Jubillar parviendrait-il à transmettre des informations aussi détaillées à un codétenu s’il était mis à l’isolement ? Quel intérêt cet individu aurait-il à se rendre sur un lieu de crime après sa sortie de prison? Pourquoi cet ex-compatriote n’aurait-il pas été placé en garde à vue s’il en avait eu connaissance et avait tenté de retrouver le corps ? Cédric Jublar est-il vraiment si brillant de pouvoir influencer autant de monde ?

Pourquoi “elle est apparue joyeuse” a-t-elle été dévoilée dans l’affaire de la disparition de Delphine Jubilar ?

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Sa disparition a été signalée pour la première fois le 15 décembre, lorsque Delphine Jubular a quitté sa maison en pleine nuit pour promener ses chiens. Il semble que l’enquête soit au point mort et qu’aucune nouvelle voie n’ait été explorée pour tenter de la relancer. Retour sur les multiples facettes de cette odieuse saga… Alors qu’elle promenait les chiens en pleine nuit le 15 décembre dernier, Delphine Jubillar aurait disparu sans laisser de trace. Au petit matin, son mari, avec qui elle divorçait, a signalé sa disparition. Il ne semble cependant pas être un suspect dans l’enquête. Cela lui a donné l’idée d’appeler et de demander à Delphine de rentrer chez elle car elle était chez son voisin. Cédric a appelé la police quand elle a dit qu’elle n’était pas à la maison, et ils ont confirmé qu’elle n’y était pas. Lorsqu’on lui demande s’il a téléphoné à la police au milieu de la nuit, l’avocat des cousins ​​et amis de Delphine pense que c’est improbable car il a peut-être utilisé ces heures pour cacher des preuves et attiser la polémique dans l’affaire s’il est lié à la disparition. De plus, malgré leur divorce, il n’y a pas eu de violence conjugale entre les deux partenaires. La veille de sa disparition, l’infirmière était de bonne humeur et avait prévu de prendre un café avec des amis. “Elle avait l’air contente”, raconte l’avocat. Au moment d’écrire ces lignes, l’enquête est si vaste que même si elle est partie librement, sa mère doit être terrifiée. Les conclusions ont été longues à venir. Ce que les enquêteurs soupçonnaient depuis longtemps est désormais confirmé. Dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, à Cognac-les-Mines (Tarn), le mari de Delphine Jubular, Cédric Jubular, a signalé sa disparition ; cette couette, dans laquelle elle dormait, a été saisie quelques heures plus tard. Il n’y a aucune trace de sang. Le 18 juin 2021, l’ancien procureur de Toulouse tenait une conférence de presse où il révélait, entre autres, qu’il y avait une couverture dans la machine à laver. A 4h50 du matin le 16 décembre, les premiers gendarmes sont arrivés et ont immédiatement commencé à nettoyer les dégâts.

‘Corcho’ Rodriguez De Vido a été accusé de corruption par Odebrecht ?

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D’anciens membres du cabinet de Cristina Fernández de Kirchner ont été inculpés par un tribunal chargé d’enquêter sur les liens de l’Argentine avec le scandale de corruption d’Odebrecht. Le groupe comprenait également Julio de Vido, un ancien ministre du Plan. Le juge fédéral Sebastián Casanello a inculpé l’ancien ministre en disgrâce pour avoir prétendument accepté des pots-de-vin pour remporter des appels d’offres de travaux publics pour l’usine d’eau d’Aysa. Parmi les autres participants accusés à l’accord louche figurent l’homme d’affaires Jorge “Corcho” Rodriguez et les membres du cabinet Cristina Fernandez de Kirchner, Roberto Baratta et José López, ainsi que les cadres de formation d’Aysa, Carlos Ben et Raul Binacuzzo. Ministère de la Planification de de Vido. À la suite d’enquêtes distinctes sur la corruption, les trois personnes ont été placées en détention préventive. Le 21 décembre 2016, l’affaire dite « Lava Jato » ou « Car Wash » est devenue la plus grande enquête sur la corruption de l’histoire de l’Amérique latine lorsque des documents du ministère de la Justice des États-Unis, dont le contenu a été publié en Argentine par Perfil, ont révélé les aveux de six dirigeants de la plus grande entreprise de construction du Brésil. Plus de 439 millions de dollars de fonds non affectés, dont 599 millions de dollars de fonds brésiliens, ont été mis à la disposition des fonctionnaires de 12 pays d’Amérique latine et d’Afrique à la suite du procès. « L’ingérence dans la justice des autorités politiques risque de porter atteinte à l’indépendance du pays et d’instaurer un sentiment d’impunité. l’approvisionnement et la passation de marchés, et la conduite contraire à l’éthique des représentants du gouvernement », a-t-il conclu. La note la plus mauvaise de l’Argentine depuis 2012, avec seulement 32 points sur 100, et elle occupe désormais la 107e place, la position la plus basse qu’elle occupe depuis 2012. Avec 45 points et un classement de 66e, c’est sa plus haute depuis 2012, selon le classement (30 places au-dessus de ce dernier indice).

Qu’est-il arrivé à la femme du Français six mois avant qu’il ne soit accusé de son meurtre ?

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Lorsque le mari d’une infirmière française a été accusé vendredi de son meurtre après sa disparition en décembre, son avocat a affirmé qu’il avait échappé aux soupçons pendant six mois. Au départ, Cédric Jubillar, un peintre-décorateur qui vit près d’Albi dans le sud-est de la France, n’était pas considéré comme suspect dans la disparition de sa femme, Delphine. Son avocat, Jean-Baptiste Alary, a critiqué la décision “incohérente” d’inculper Jubular de meurtre après seulement deux jours de prison et l’a qualifiée de décision “absurde”. Les deux enfants du couple avaient deux et six ans au moment de leur divorce. Jubilee a informé les autorités que sa femme avait quitté la maison vers 23 heures. le 15 décembre pour promener les deux chiens de la famille et qu’elle est rentrée chez elle plus tard dans la nuit sans elle. Il a affirmé qu’elle avait été portée disparue à 4 heures du matin lorsqu’il a été réveillé par sa fille, et il a téléphoné à ses amis puis à la police. Pendant six mois, les autorités ont semblé disposées à croire le récit des événements de Jubillar, mais mercredi, elles l’ont détenu après avoir constaté de multiples incohérences dans son récit. Une personne proche de l’enquête a déclaré que l’interrogatoire de Jubillar avait duré plusieurs heures et s’était terminé tôt vendredi matin. Même si Jubillar avait déjà été interrogé par des juges qui enquêtaient sur l’affaire comme si elle incluait un enlèvement, il était toujours considéré comme une partie lésée plutôt que comme un suspect à l’époque. Un responsable du parquet de Toulouse a salué mercredi les efforts de la police et a déclaré qu’ils avaient abouti à “six mois d’enquêtes rigoureuses, multiformes et difficiles”. Dominique Alzeari Jubillar a récemment commencé à télécharger des images de lui-même et de sa nouvelle petite amie sur son compte Facebook. Il y a une indignation publique croissante en France face au nombre croissant de femmes qui sont assassinées chaque année par leur petit ami ou ex-amant. Les autorités corses ont rejeté une enquête pour comportement menaçant contre un homme qui a tué la mère de ses deux enfants sur l’île de Corse en mars de cette année, quelques jours seulement avant qu’il ne la tue.

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