Affaire Jean Yves Morel : Selon les autorités françaises, Marie-Lou Roussey, 17 ans, et Élisabeth Griffin, étudiante en sciences de 17 ans, ont été tuées dans leur maison de La Frénaye le 5 avril 1996 et le 26 juin 1997. Les assassins ont été identifiés comme Jean -Yves Morel, un technicien de laboratoire qui travaillait à l’époque.
Marylène Roussey, une lycéenne normande de 17 ans portée disparue en avril 1996 au Havre, a été portée disparue de sa famille. Elle était bien connue dans sa jeunesse pour son attitude optimiste et son mécontentement envers ses parents.
Le père attend quatre jours avant d’informer les gendarmes de Notre-Dame-de-Gravenchon de la disparition de son fils. Pendant ce temps, il spécule que son enfant a disparu. “Elle est sortie déjeuner avec elle vendredi près de son lycée”, a déclaré sa sœur Nadine, et elle allait bien “, selon Nadine. ‘ Nadine a quitté la maison pour faire le ménage après sa jeune sœur alors qu’elle se rendait au travail. Son sort reste un mystère.
Malgré cela, elle laisse un mot sur le bureau pour la réceptionniste. “Je suis désolé de ne pas t’avoir vu plus tôt,” je t’ai dit la dernière fois que je t’ai vu. “Je te verrai de l’autre côté, mais pas avant mardi.”
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L’enquête sur la disparition de Marylène a pris fin en décembre, huit mois après qu’elle a atteint l’âge légal de la majorité aux États-Unis.
En juin 1997, un étudiant en chimie de Rouen est porté disparu lors d’une sortie scolaire. Elisabeth Griffin est un exemple d’étudiante parfaite qui serait partie en milieu de semestre. La section recherche des gendarmes du Havre est chargée d’enquêter sur cette disparition insolite, qui fait désormais l’objet d’une enquête.
Dix jours après, elle a disparu avant que son automobile ne soit découverte dans un parking de Lillebonne le 3 juillet 1997. La portière de la voiture était ouverte, le moteur était allumé et son portefeuille était toujours à l’intérieur du véhicule.
Affaire Jean Yves Morel
Etant donné que l’un était lié à Jean-Yves Morel par un lien familial, et l’autre ayant effectué un stage au laboratoire pharmaceutique Bayer de Lillebonne, il y avait des parallèles entre les deux disparitions en termes de circonstances. Enfin, la ressemblance étonnante entre les deux filles a piqué l’intérêt des enquêteurs. Jeanne-Yves Morel, technicienne de laboratoire, et sa fille de 17 ans Marylène Roussey ont été assassinées le 5 avril 1996 à leur domicile de La Frénaye. Le 26 juin 1997, il assassine Élisabeth Griffin, collégienne et stagiaire sur son lieu de travail. Disparue depuis avril 1996, Marylène Roussey était une lycéenne normande de 17 ans qui avait disparu de son domicile et avait été vue pour la dernière fois au Havre. D’une manière générale, elle est considérée comme gaie et énergique, mais elle semble également en désaccord avec ses parents, selon le rez-de-chaussée.
Tout en présumant d’abord que son fils s’était enfui, le père du garçon a attendu quatre jours avant de prévenir les autorités de la disparition de son fils. Vendredi, elle est sortie déjeuner avec sa sœur, Nadine, dans le quartier où se situe son lycée ; d’après Nadine, elle avait l’air d’aller bien… Quand Nadine est allée travailler, sa sœur a dû nettoyer le bazar qu’elle avait laissé derrière elle. Depuis lors, elle n’a plus été revue ni entendue. Pour le reste de la fête, elle place une note spéciale sur la table en leur honneur. “S’il vous plaît, ne vous inquiétez pas pour moi puisque je pars, mais nous ne nous reverrons pas avant mardi prochain.”
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En décembre, l’enquête sur la disparition de Marylène était officiellement close, huit mois après sa disparition en juillet. Selon la loi, Marylène est désormais considérée comme majeure.
Au cours de l’été 1997, un étudiant en chimie de Rouen est porté disparu et son corps n’est jamais retrouvé. Une prétendue étudiante modèle absente appelée Elisabeth Griffin est vue sur cette photographie, qui aurait disparu au milieu d’un semestre. L’enquête sur la disparition, vécue comme une situation difficile, est menée par les gendarmes de la division recherche du Havre.
Est-ce un braquage ?
Dix jours plus tard, sa voiture a été localisée à Lillebonne, en France, avec son sac à main toujours à l’intérieur et la porte déverrouillée. Elle avait disparu deux fois durant cette période.
Jean-Yves Morel a été impliqué dans les deux disparitions, en tant que stagiaire de laboratoire et en tant que beau-frère. Jean-Yves Morel a travaillé pour Bayer à Lillebonne. Les autorités ne pouvaient ignorer les parallèles entre les deux femmes et ont lancé une enquête. Le 2 juillet 1997, le docteur John Griffin entre à la gendarmerie du Havre. Elizabeth, étudiante en chimie de 23 ans à Rouen, avait été kidnappée. Elle est inquiète car elle n’a pas de nouvelles d’elle. On dit qu’Elisabeth vit à Rouen, bien qu’elle n’y ait pas été vue. Elle a manqué le cours, personne ne l’a remarqué, et elle n’a pas répondu à son téléphone lorsqu’elle a été mise en attente. Sa famille est inquiète.
Lorsque les gendarmes ont appris son enlèvement, ils se précipita à son secours. Aucune ambulance, hôpital ou médecin n’a été appelé pour aider Elisabeth Griffin, dont la voiture a disparu. Le 3 juillet, la police a localisé le siège de la dame disparue à Ibiza, à une heure de Rouen. Une serrure n’empêchera pas les portes de s’ouvrir. Ses clés et sa carte d’identité avaient disparu. Il porte également un téléphone et un morceau de papier plié avec l’inscription “Fred le 24 à 10h00”. La jeune femme a peut-être disparu le 24 juin…
Le docteur Griffin a poussé la porte de la gendarmerie du Havre tôt avant le lever du jour le 2 juillet 1997. Elisabeth, une étudiante de 23 ans originaire de Rouen, est partie. Son père, flic, est venu la dénoncer. Il ne l’a pas contactée depuis 10 jours. Non, Elisabeth n’est pas dans son atelier au cœur de Rouen. Elle ne s’est pas présentée en classe la semaine dernière, et elle n’a pas répondu au téléphone quand on l’a appelée.
Parce qu’elle était une étudiante engagée qui est partie au milieu de sa dernière année et n’a jamais fait preuve de confusion, les gendarmes s’inquiètent de sa disparition.
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Un autre corps dans le jardin ?
Il a tué ma soeur, et je le tiens coupable. C’est une expérience unique et inoubliable. Ce lien m’a apporté une fille de trois ans. Elle était sur le même bateau que nous à l’époque. Enfin, je ne sais pas ce que son avenir lui réserve, mais j’espère qu’elle l’aura. Malgré ses larmes, Nadine Morel, 30 ans, lui adresse des mots d’encouragement lors d’une “épreuve” qui a “brisé” toute sa famille. Marylène Roussey, une lycéenne de 17 ans, tuée le 5 avril 1996, nous a dit que son mari « vient de mentir, il a menti ». L’accusé prétend désormais être “la cause de la mort de Marylène”, comme il l’avait fait pour l’étudiante Elisabeth Griffin en juin 1997 mais nie toute responsabilité. Comme il le précise dans sa lettre d’adieu à son épouse, lue par le président Jean Reynaud et rendue publique, Marylène n’a pas été une « simple expérience ». Pire, Marylène a menacé de dire à sa sœur s’il cherchait à mettre fin à leur liaison. Elle serait tombée au sol lorsque Jean-Yves Morel l’a repoussée, sa tête heurtant un meuble. Il a enterré le cadavre dans sa cour pour faire pousser un pommier.
Ses collants endommagés ont été découverts debout le 4 mai 1998. Nadine Morel n’est pas convaincue malgré l’aveu de sa sœur d’une liaison avec son mari. Je crois qu’il avait l’intention de la maltraiter mais qu’il avait peur qu’elle me le dise, alors il l’a assassinée. La cour d’assises enquête sur le décès d’Elisabeth, rencontrée par le prévenu alors qu’elle était stagiaire à l’usine Bayer où il travaillait hier soir.
L’accusé avait invité Elisabeth chez lui un an avant le procès pour discuter de “l’épouvantable pièce”. Le désir de la jeune femme de le “dénoncer” se serait soldé par une querelle et un faisceau lui atteignant la tête. Selon une histoire, il l’a violée puis assassinée de coups répétés à la tête, que les gendarmes ont retrouvés peu après avoir exhumé son cadavre.
La Frénaye est sa ville natale (Seine-Maritime). L’identité de la victime était inconnue vendredi soir.
Il a tenté de s’interner dans sa cellule de la prison de Rouen durant le week-end. Il y a deux ans, les gendarmes l’ont trouvé en train de leur parler de ses lois sur l’assassinat de sa sœur. Le 5 avril 1996, la Mise en scène Marylène laisse un mot à sa sœur après avoir terminé son repassage : « Détendez-vous. Je reviens mardi. de dénégations, il a finalement révélé son rôle dans la mort de la jeune fille.
Un mur de bâche bleue a été créé autour de la maison de La Frénaye pour garder les enquêteurs cachés.
Morel est venu avec un imposant cortège de gendarmes vers 16h30. Une excavatrice est arrivée en quelques secondes. Les techniciens géo-radar de Nantes avaient remarqué des “anomalies” à deux endroits. Le garage de Lesser et un abri de jardin abritent le premier. Pour localiser le corps de Marylène Roussey, des gendarmes en combinaison blanche ont creusé profondément. A 18h30, ils ont trouvé des ossements non identifiés à cet endroit.
Elisabeth Griffin, étudiante partie travailler pour Jean-Yves Morel, était portée disparue depuis le mois de juin. Le suspect a ensuite nié, disant aux flics qu’ils avaient perdu leur temps. Il a même dormi devant les flics pendant qu’ils creusaient. L’enfant de 18 mois de Nadine, Nadine lui a dit : “Tu ne l’as pas fait. “Ils sont fâchés contre toi”, a ajouté son beau-père. N’ayez crainte, je n’en ai aucune idée. Il a fallu plus d’un mètre de creuser et de casser béton pour retrouver le tibia. Lorsque Jean-Yves Morel n’a pas pu récupérer Elisabeth Griffin, il a avoué son viol. Lorsque Jean-Yves Morel, élève au lycée de Lillebonne et parfois assistant de Marylène, a disparu, les gendarmes l’ont soupçonné d’avoir informations sur l’affaire. Elle pourrait aussi refuser ses avances.
