Affaire Jambert: Le policier français Christian Jambert, né le 26 novembre 1940 à Fourchambault dans la Nièvre et retrouvé mort le 4 août 1997 à Auxerre, était membre des forces de l’ordre. Il a joué un rôle essentiel dans l’enquête sur les disparitions dans l’Yonne qui a conduit à sa promotion au poste d’inspecteur général.
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En plus de son héritage étrange, il a été retrouvé mort dans des circonstances assez bizarres. Des viols et des meurtres de jeunes femmes handicapées mentales légères âgées de 16 à 27 ans ont été commis à Auxerre et ses environs entre 1977 et 1979. Alors qu’il enquête sur le cas des disparus de l’Yonne, le détective Jambert commence à soupçonner Émile Louis d’être responsable de ces disparitions en 1979. Le 20 février 1980, il est chargé de l’enquête. Reconnu coupable d’avoir tué Sylviane Lesage, Émile Louis a quitté le tribunal en 1984 malgré sa relation étroite avec la victime, comme l’a démontré le gendarme Jambert, qui a témoigné devant le tribunal. Bien que le gendarme Jambert ait une nouvelle fois démontré des liens entre Émile Louis et l’ensemble des disparus de l’Yonne, l’enquête sur leurs disparitions est close.
Lorsque Christian Jambert demande l’autorisation de poursuivre l’enquête sur les personnes disparues à Daniel Stilinovic, substitut du procureur d’Auxerre, il le fait l’année suivante. René Meyer, son patron et un collègue procureur, est d’accord. Daniel Stilinovic a été exclu de la direction de la DDAS pour faute grave dans cette affaire, mais a ensuite été innocenté et placé en préretraite. Malgré l’absence de preuves, le procureur de la République René Meyer a demandé au gendarme de poursuivre l’enquête de manière informelle. Le rapport a été égaré et ne sera retrouvé qu’en 1996. Émile Louis est finalement arrêté, condamné en appel en 2006 à Paris à la réclusion à perpétuité avec 18 ans de sûreté, et incarcéré jusqu’à sa mort en 2013. Il a été accepté par toutes les personnes impliquées. dans le cas où Christian Jambert a apporté une contribution significative à la détention d’Émile Louis. « Enquêteur hors pair, modèle professionnel et personnalité remarquable », c’est ainsi que les gendarmes ont décrit Émile Louis lors de son procès.
Remonter à l’étrange mort du gendarme Jambert, qui enquêtait sur les disparus dans l’Yonne ?
Selon la police, Christian Jambert a été retrouvé mort à Auxerre le 4 août 1997. L’idée qu’il se soit suicidé n’a aucune emprise sur ses proches. Face au nouveau juge d’instruction dans l’affaire des disparus de l’Yonne, pourquoi le gendarme se tuerait-il en se tirant deux balles ? Louis? Le mystérieux suicide de Christian Jambert est relaté dans le documentaire “Le Mystérieux Suicide de Christian Jambert”. À Rouvray, en France, en 1981, le corps presque décomposé d’une jeune femme a été retrouvé dans une cabane isolée. Sylviane Lesage, 23 ans, membre de la DDASS, a été victime d’un braquage aux mains de l’adjudant Jambert lors de sa première affectation (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales).
Au fur et à mesure de l’enquête de Christian Jambert, elle apprend que le chauffeur connaissait six autres jeunes femmes handicapées disparues quelques années plus tôt et est bien décidé à les retrouver. Jacqueline Weiss, Chantal Gras, Madeleine Dejust, Françoise et Bernadette Lemoine et Martine Renault étaient également membres de la DDASS lors de leur comparution. Le film de Thierry Fournet “Le Mystérieux Suicide de Christian Jambert” est une enquête minutieuse. Il y a beaucoup de contradictions et de rebondissements dans l’histoire entourant la mort de l’ex-gendarme de la mort, qu’il examine en consultant divers experts (médecin légiste, balistique, etc.).
Le corps du gendarme Christian Jambert a été découvert à son domicile en août 1997. Avant tout le monde dans cette fameuse affaire, il avait établi un premier lien entre Emile Louis et le disparu de l’Yonne. Mais une contre-expertise médico-légale réalisée à Paris en 2002 a trouvé des preuves de meurtre, pas de suicide, même si les premiers rapports disaient le contraire.
La mort de l’agent Jambert est-elle un suicide ou un meurtre ?
Lorsque le corps de Christian Jambert a été retrouvé dans le garage de sa maison près d’Auxerre le 4 août 1997, il avait un fusil de 22 à ses pieds et une note de suicide à la main. Depuis 20 ans, Emile Louis, chauffeur de bus obsédé sexuel et abusant des jeunes filles qu’il transportait, faisait l’objet d’une enquête par un enquêteur de la section de recherche d’Auxerre. Sept jeunes filles avaient disparu sans laisser de trace entre 1975 et 1980, et Jambert avait enquêté sur leurs disparitions.
On sait aujourd’hui que Christian Jambert n’a pas réussi à convaincre les juges d’Auxerre ou ses propres confrères de la véracité d’une affaire que l’on sait aujourd’hui être l’une des affaires pénales les plus importantes du XXe siècle. Des gendarmes à la retraite, dont Christian Jambert, qui s’était penché sur l’affaire Yonne des disparus, sont retrouvés morts dans leur garage près d’Auxerre le 4 août 1997. Trouvé sur place : une lettre d’adieu Le médecin chargé de l’examen du corps se termine par un suicide par arme à feu.
Aucune autopsie ne sera pratiquée dans ce cas. La fille d’un ancien adjudant a demandé le rapport en 2004, sept ans après les événements. La théorie du crime est soutenue par les experts dans cette affaire. L’exhumation du corps de la fille du gendarme, troublée par des rumeurs selon lesquelles son père avait été assassiné, a été obtenue par ses avocats en 2004, grâce au soutien qu’elle a reçu de la justice. Comme le révèle l’autopsie, Christian Jambert a été tué de deux balles qui ne partageaient pas une pathologie commune ! Ici, avec nos invités, nous vous parlerons de la lutte en cours entre deux équipes de médecins légistes. Stephen Munka est journaliste et expert en droit pénal. Maître Corinne Herrmann, avocat au barreau de Paris, avocat de la famille Jambert, Pierre Monnoir, président de l’Association des Disparus de l’Yonne. Cela fait plus de deux décennies qu’il a été inauguré.
Le profil ADN de la personne qui ressuscite cette enquête est-il évocateur d’une personne ?
Car même s’il a toujours clamé son innocence, Omar Raddad est toujours officiellement reconnu coupable de meurtre. En d’autres termes, une grâce présidentielle ne fait pas disparaître un crime. L’ADN d’Omar Raddad a été retrouvé dans le sang de la victime, mais ce n’est pas celui de Raddad. Au total, 30 traces ADN appartenant à un homme ont été retrouvées dans ce rapport publié en 2019.
Ce qui pourrait non seulement relancer l’affaire mais aussi ouvrir un nouveau procès pour réexamen de celle-ci. Le média français France Inter a rapporté en juin que l’avocate de la défense d’Omar Raddad, Me Sylvie Noachovitch, avait interjeté appel. Les affaires d’homicide non résolues ou prolongées ne seront plus traitées de la même manière par le juge d’instruction. Les trois magistrats de cette juridiction pourront se consacrer à une pratique spécialisée puisqu’ils n’auront plus à traiter l’ensemble des problématiques d’actualité dont sont actuellement saisis les cabinets des juges d’instruction.
Outre les meurtres, les viols, les enlèvements, les séquestrations et les disparitions, ils enquêtent également sur d’autres crimes. En conséquence, ils pourront se concentrer sur des domaines d’expertise spécifiques et faire avancer les choses plus rapidement et plus efficacement. De plus, ils seront mis à disposition. Leur date de sortie viendra à un moment précis dans le futur.
Le traitement des autres types de délinquance s’est également libéré et du coup, ce temps pourrait être consacré uniquement aux dossiers de ces détenus, à mon avis. Bien que son premier appel ait été rejeté en 2002, selon Le Figaro, “des éléments nouveaux et cruciaux font douter de sa culpabilité” cette fois-ci, selon son avocat. Chantal, Christine, Jacqueline, Madeleine, Françoise, Bernadette et Martine étaient les noms des filles. Entre 1977 et 1979, sept enfants présentant un retard mental léger ont disparu à Auxerre et dans ses environs, tous suivis par la Ddass. Marta Renault, 16 ans, est portée disparue en décembre 1979. Son chauffeur de bus, Emile Louis, qui avait la triste réputation d’avoir des “mains vagabondes”, était chargé d’en transporter la majeure partie. Enfin, l’accusation tenant toujours sa théorie d’une affaire en fuite, l’affaire est classée.