Affaire Hennequin – Jean-Baptiste Hennequin, né le 16 juin 1935 à Fresnoy-le-Grand, a assassiné le Grand Hôtel de Saint-Quentin (Aisne) en janvier 1997. Les pompiers de Saint-Quentin ont été informés d’un incendie au Grand Hôtel, un hôtel de fin dans le coeur historique de la ville au no. 6 rue Zachery. Lorsque les pompiers arrivent, ils trouvent Léo Roupioz et sa compagne Gisèle Kunstler morts. Très probablement, des couteaux ont été utilisés pour tuer et tuer les victimes. Ils sont accusés d’un double meurtre dans une note anonyme découverte sur leur dos.
Quand les flics arrivent, il n’y a ni groom, ni réceptionniste, ni veilleur de nuit.
Les pompiers sont appelés dans un studio de la rue de l’Est qui a pris feu. La zone est en désordre, avec de multiples incendies suspects suggérant une activité criminelle. Ils apprennent que le studio appartient à Jean-Baptiste Hennequin, le veilleur de nuit du Grand Hôtel. Cette coïncidence a incité la police à rechercher Hennequin tandis que d’autres ont fouillé l’hôtel à la recherche d’indices.
Ils localisent le marié, Philippe Bertrand, dans le sous-sol de l’hôtel. Il a été incarcéré par le veilleur de nuit Jean-Baptiste Hennequin pour une suspicion de fuite d’eau au sous-sol ; il les informe alors qu’il est immobilisé. Selon le rapport de police du jeune groom, Hennequin lui aurait dit avoir tué ses deux patrons et la jeune femme et l’aurait menacé avec son arme. L’enquêteur a découvert Michèle Fabris, 25 ans, morte dans la cave à vin de l’hôtel.
Michèle Fabris et Gisèle Kunstler ont toutes deux reçu une balle dans l’oreille gauche et ont été brutalement tuées à coups de couteau, selon les rapports d’autopsie. Cependant, Léo Roupioz a été attaqué à cinq reprises à la hache et a survécu.
Selon Philippe Bertrand, le marié, le veilleur de nuit est soupçonné du triple meurtre, qui a affirmé que Jean-Baptiste Hennequin a tué la réceptionniste. « Manque définitif d’intérêt », a déclaré Jean-Baptiste Hennequin, qui avait repris la recette de l’hôtel et l’avait laissée à M me Fabris. Jean-Baptiste Hennequin s’entendait bien avec le réalisateur mais pas avec Giselle Kunstler. De plus, Hennequin détestait Michele Fabris, qui lui aurait confié tout ce que I Kunstler lui avait révélé.
Moins d’une semaine après le triple homicide, la police a découvert la Volkswagen Polo III noire volée par Michèle Fabris. Le meurtrier a quitté Saint-Quentin et a pris un train hors de la ville. Réfugié au Royaume-Uni, Jean-Baptiste Hennequin parle anglais et connaît bien le Royaume-Uni. Ils soupçonnent qu’il s’est enfui à Amiens ou a rejoint la pègre parisienne.
Un mandat d’arrêt européen a été émis contre Jean-Baptiste Hennequin, ciblant la France et le Royaume-Uni.
Lorsque le chef cuisinier d’un hôtel du 10e arrondissement de Paris a appris que toute sa recette avait été volée, il a appelé le commissariat local. Il a blâmé un client. La police parisienne retrouve une arme, des munitions et des coupures de journaux sur le “triple Quentin assassiner du Grand Hôtel” quelques mois plus tôt1. Ainsi, « M. Dampierre » peut garder un pistolet et des munitions dans sa chambre ; il dit qu’il vient d’être attaqué. Sans hésiter, la police l’a capturé et a utilisé une carte orange pour déterminer qu’il était recherché pour le triple meurtre au Grand Hôtel de Saint-Quentin quelques mois auparavant.
Affaire Hennequin
Jean-Baptiste Hennequin a été enlevé des chaussures et transféré à Amiens (Somme). En moins d’une semaine, il a été inculpé de meurtre et placé en détention.