affaire bérenger brouns. Lorsque Christelle Leroy, 26 ans, et son petit fils Lucas ont été tués à Paris le 20 février 2005, Bérenger Brouns était le type qui était l’employeur et le petit ami de Christelle au moment du crime. Bérenger Brouns, un grand homme de 43 ans, marié depuis 20 ans au moment des faits, était dans cette situation en 2005.
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En plus de ses deux enfants, il mène une vie de travail et de famille. C’est un type de type “tout le monde”. Il est également propriétaire de plusieurs commerces parisiens, dont il est salarié. Au Marché Saint-Martin, où travaille Christelle Leroy, il est responsable du rayon charcuterie italienne. Les clients aiment travailler avec lui car c’est une personne sympathique et agréable.
Son enfance est marquée par le fait que ses parents ne sont plus ensemble. Cependant, même s’il n’a jamais eu de problèmes, ses proches et ses collègues ont remarqué qu’il peut parfois être irritable.
Quand quelque chose l’irrite au travail, il a du mal à contrôler son tempérament. Lorsqu’il rencontre Christelle Leroy et tombe amoureux d’elle, sa vie prend un tournant inattendu. C’est difficile pour eux de s’entendre, mais ils s’accrochent quand même. Lorsque sa femme apprend sa liaison avec une femme plus jeune, elle l’accepte à condition qu’il n’abandonne pas sa femme et ses deux enfants. Au moment des faits, Christelle Leroy était une jeune fille de 26 ans.
Son fils de 4 ans, Lucas, issu d’une précédente relation, est son seul enfant. Du fait de la relation qu’elle entretient avec son patron et amant, elle vit désormais dans un appartement du 10e arrondissement de Paris. Une femme indisciplinée et déséquilibrée qui vit pleinement sa vie.
Au lieu de poursuivre ses études, elle décroche un CAP pour travailler dans la boucherie et se lance tout de suite dans la vente de charcuterie. Bérenger Brouns l’engage pour travailler dans son magasin du Marché Saint-Martin après avoir essayé plusieurs autres métiers.
DES AFFAIRES QUI ONT ÉTÉ OUBLIÉES L’affaire du boucher de Saint-Martin, dont la mère et le fils ont été égorgés par “passion”, est-elle vraie ?
Chez Liliane Leroy, le 22 février 2005, cette affaire a commencé à s’installer. L’inquiétude de Liliane grandit car il ne reçoit aucune nouvelle de Christelle Leroy, 26 ans, ni de Lucas Leroy, 4 ans, qui devaient lui rendre visite cet après-midi. Elle reçoit alors un appel téléphonique du père de Lucas, son ex-gendre. Parce que Christelle et Lucas devaient assister à un événement deux jours plus tôt mais ne se sont pas présentés, il craint également de ne pas pouvoir la contacter. Pour déposer une main courante, Liliane se rend au commissariat. Cependant, les agents la rassurent que Christelle ne doit pas être loin. Le lendemain, Élodie Leroy, la sœur de Christelle, reçoit un appel. Vers la fin, l’amant et employeur de Christelle, Bérenger Brouns, est interloqué par son absence au travail. Pour la première fois, la famille de Christelle a des raisons de croire qu’elle et son fils ont disparu. Son enquête est reprise par Nicolas Deliez du New Detective, un journaliste qu’elle rencontre en cours de route. Arrivé au domicile de la jeune femme, un chroniqueur remarque des taches de sang sur la porte. Bérenger Brouns, le dernier à avoir vu Christelle vivante, est interrogé par l’équipe de recherche des personnes disparues. À 2 heures de l’après-midi. le 22 février, le boucher-traiteur du marché de Saint Martin a parlé une dernière fois à Christelle avant qu’elle ne disparaisse, raconte-t-il. Pas la moindre preuve ne peut être trouvée contre lui… jusqu’à ce que les flics soient appelés. Lui et sa maîtresse de 26 ans, Christelle Leroy, se sont disputés dimanche en début d’après-midi le 20 février 2005. Un avortement a déjà a eu lieu, et elle n’a pas l’intention d’avoir un enfant avec lui plus jamais. Il la gifle, elle l’étouffe, et Bérenger étrangle son fils de 4 ans, Lucas, tout cela en même temps ! Puis il étouffe Mabelle, leur chienne. Vers 16 heures, Bérenger part à la recherche de sa femme comme si de rien n’était. Il suggère qu’il a vu quelque chose dans le quartier de Bercy, mais il admet qu’il était hébété et ne pouvait pas se souvenir de ce qu’il avait vu à l’époque. Au marché Saint-Martin à Paris, Bérenger Brouns était un traiteur italien qui servait une cuisine italienne. En 2005, il a tué sa maîtresse, qui était aussi une de ses employées, son fils et son chien. Alors que l’avocat de Bérenger Brouns a pu insister pour plaider coupable d’un crime passionnel, il a été condamné à trente ans de prison en 2007.
entreprise, qui a été oubliée. Il y a eu un incident où un boucher de Saint-Martin a massacré une mère et son fils par « passion ?
L’un des hommes les plus ordinaires que j’aie jamais rencontrés était également l’un des artisans les plus prospères. Il avait certes une mèche courte, mais personne n’est parfait. Autre exemple, Christelle Leroy, une de ses employées qu’il adorait. Elle et Lucas, son fils de 4 ans, ont tous deux été assassinés par lui. Il les a démembrés tous les deux et a jeté les morceaux dans des sacs en plastique. Je pense que je l’ai parfaitement fait. Même si les enquêteurs pensent que Christelle et Lucas sont partis, ils ont du mal à trouver des preuves qui soutiennent l’idée de leur mort. Lorsque Bérenger Brouns a assassiné ses victimes puis les a hachées pour les manger dans sa charcuterie, il n’a laissé aucune preuve. Les avocats, les enquêteurs et les proches des victimes qui sont suspects ou coupables sont quelques-unes des personnes qui composent les Voices of Crime. Nos juristes, Nathalie Renoux, Amandine Bégot, Jérôme Florin et Jean-Alphonse Richard, ont auditionné ces témoins. Ils (ou ils) sont des avocats, des enquêteurs ou des proches de personnes soupçonnées d’être victimes ou coupables. “Les voix du crime” sont ce qu’elles (ou elles) sont. Diane Douzillé, Jérôme Florin, Nathalie Renoux, Jean-Alphonse Richard, Patrick Tejero et nos experts en affaires juridiques ont le privilège d’interroger ces témoins clés dans leur vie privée. Toutes les deux semaines, l’une de ces voix du crime nous raconte comment elle a fait basculer ou rebondir une affaire pénale à sa manière. Un témoignage qui éclaire la justice et la justice pénale d’aujourd’hui Avant de les conduire dans son arrière-boutique du marché Saint-Martin, Bérenger Brouns a enveloppé leurs restes dans de grands sacs de voyage avant de les déposer dans le coffre de sa voiture. À l’aide d’un tablier de boucher et d’une variété d’outils de coupe, il décapite les deux victimes. Après quatre jours d’élimination au coup par coup, il en sera enfin débarrassé. Du ciment est versé sur les têtes avant qu’elles ne soient jetées dans les poubelles du Marché Saint-Martin par Bérenger Brouns. Mabelle, leur cocker, est la seule à avoir de leurs nouvelles.
Le témoignage bouleversant de la femme du tueur en série dans l’affaire Grelé ?
Avant de devenir policier, il ne faut avoir aucune expérience préalable. Le corps de François Vérove, un habitant du Grau-du-Roi dans le Gard, a été découvert le 29 septembre 2021. Les gendarmes sont choqués d’apprendre que ce père de 59 ans est “le Grelé”, un tueur en série recherché depuis plus de 35 ans pour meurtre, enlèvement et viol. Les gendarmes ne savent pas comment ils sont arrivés à cette conclusion. Dans le cadre du podcast Code Source syndiqué par Le Parisien, nous revisitons cette affaire froide résolue après trois décennies de mystère et obtenons la réponse de l’épouse du tueur, Valérie Vérove, le 16 décembre 2021. En apprenant le suicide de son mari en septembre, l’état de choc de cette mère est palpable. Elle a déclaré aux enquêteurs que son mari avait toutes les qualités d’un père de famille idéal et qu’il n’aurait jamais fait de mal à personne. Pendant 37 ans, Valérie Vérove n’a eu aucun soupçon. C’était un individu naturellement doux et modeste. Pour lui, la cuisine était une forme d’art “basée sur ce qu’elle leur disait”. Le Parisien poursuit : “Elle décrit un homme qui n’est ni violent ni téméraire, un homme d’humeur égale.” François Vérove a développé une dépression sévère en 1996, qui a duré plusieurs années. Elle raconte : “Les pompiers sont arrivés à la maison”, selon la femme de son mari. Un mois à l’hôpital sera suivi par une flopée de psychologues. Le jour de son suicide, le tueur en série a écrit une lettre dans laquelle il affirmait que cette psychothérapie avait “brisé [son] instinct de mort”. La nuit où elle a disparu, elle a composé 22h16. heure locale. Il y a aussi des objets appartenant à Christelle dans le hangar du Marché Saint-Martin, ainsi qu’un bout de papier montrant que la jeune femme avait un rendez-vous gynécologique fin février. Lorsque Bérenger Brouns est placé en garde à vue, il finit par parler. Après qu’elle lui ait dit qu’elle le quittait et qu’elle avortait le bébé qu’elle portait, il l’a étranglée à mort le 20 février 2005. Il l’admet. En plus de tuer le chien de la petite famille, Mabelle, et d’étrangler leur fils, Lucas, il dit qu’il a fait d’autres actes sales pour s’assurer qu’il n’y aurait pas de témoins. L’horreur, cependant, ne s’arrête pas là. Il prétend avoir démembré les corps dans son arrière-salle après les meurtres. Il a ensuite jeté les parties du corps dans des poubelles aléatoires et a dissous les têtes dans du ciment rapide avant de les jeter hors d’un véhicule en mouvement.