Le terme « huître » désigne les mollusques qui sont des bivalves marins appartenant à la famille des Ostreidae et, plus généralement, à la superfamille des Ostreoidea. Les huîtres sont présentes dans tous les océans et n’existent que dans les eaux salines ou saumâtres. Ces mollusques sessiles sont fixés en permanence à un substrat rocheux.
Des animaux d’ingénierie capables de construire des mini-récifs biogéniques, de véritables oasis de biodiversité, et d’offrir une variété de services écosystémiques en s’installant sur le fond et en créant un foyer approprié pour de nombreuses autres créatures vivantes. Depuis l’humanité ancienne, ces récifs ont dominé les estuaires du monde entier, alimentant les industries et les civilisations côtières. Les récifs naturels, cependant, sont au bord de l’extinction en raison de décennies d’exploitation et d’érosion côtière. 1. Il existe quelques efforts de restauration des récifs d’huîtres. 2 L’huître a une anatomie et une coquille constituées d’aragonite et de protéines comme la conchyoline, toutes deux courantes chez les lamellibranches.
La valve gauche, normalement convexe, concave, dont l’extrémité antérieure est plus ou moins redressée en forme de crochet, maintient en place cette grosse coquille asymétrique. 3, et la vanne de droite est ouverte (dans le langage courant, on parle de vannes inférieure et supérieure car dans la nature la première repose sur le sol). En conséquence, l’extrémité antérieure de la coquille est l’endroit où les valves sont jointes par le ligament, tandis que l’extrémité postérieure est la limite opposée des valves. La couleur des coquilles varie considérablement d’une espèce à l’autre et même au sein d’une même espèce. 4. Le manteau est le corps mou de la structure extérieure de l’huître. Percée ou saupoudrée de citron, elle correspond à la membrane qui se rétracte. Les deux valves de la coquille sont sécrétées par les deux côtés du manteau. La cavité du manteau dans la section ventrale de l’animal est définie par les deux lobes, qui sont unis 5 avec les viscères dans la zone dorsale.
Les branchies occupent une grande partie de l’intérieur de l’huître, divisant la cavité palléale en deux chambres : la chambre d’inhalation ventrale et la chambre d’expiration dorsale. Deux paires de lobes triangulaires, les palpes labiaux, prolongent ces branchies en avant, démontrant leurs rôles respiratoire et nutritionnel. En effet, les cils situés dans l’axe de l’épithélium replié des branchies génèrent une circulation d’eau qui permet le transport des particules nutritives dont se nourrit l’animal vers les palpes labiaux et la bouche. 6ème.
L’huître, comme les autres lamellibranches, n’a pas de tête. Malgré le fait qu’il n’ait pas d’oreille, il a une capacité auditive de 7 à 8. L’ouverture de la coquille est contrôlée par un gros muscle adducteur. Ce muscle est chargé de maintenir l’huître fermée et doit être sectionné lorsque l’animal est ouvert. La larve (phase dimyar) contient deux muscles inégaux, mais l’adulte (phase mononomyar) n’en a qu’un. L’énorme tridacne (Tridacna gigas) est le plus grand mollusque bivalve du monde 1. Parce qu’il est en danger d’extinction, cette espèce comestible est protégée.
Le plus grand aspect distinctif de cette espèce est sa taille, qui varie de 1 à 1,4 m de long 2 et peut contenir une personne dans certaines situations. Les spécimens plus petits, en revanche, peuvent être difficiles à distinguer des autres espèces de palourdes. Ils sont identifiés par divers traits, dont une grosse coquille cannelée asymétrique en vue latérale avec 4 ou 5 côtes bien prononcées et pas d’écailles fines, une fermeture mal ajustée (l’animal ne se ferme presque jamais complètement), une minuscule entrée byssale et pas de tentacules sur le siphon d’inhalation. Le manteau charnu est assez varié, parfois de couleur vive mais souvent fade, s’étendant bien au-delà de la coquille ou étant limité 3.
Parce que c’est le plus connu du genre, son nom est parfois appliqué à tort à toutes les énormes palourdes.
Le terme « perle 1 » ou « nacroculture » fait référence à la pratique humaine de cultiver des huîtres perlières, ou de les élever à maturité et de les entretenir afin d’obtenir des perles de haute qualité.
Les Chinois inséraient des statuettes de Bouddha à l’intérieur des huîtres comme noyaux, et les Araméens de petites sculptures en argile représentant des animaux [réf. obligatoire]. Des tests ont été menés par un Suédois et un Français, mais ce sont les Japonais To Kichi Nishikawa, Tatsuhei Mise, et notamment Mikimoto Kkichi (1858-1954) qui ont perfectionné le procédé et en ont fait un business.
Après le repiquage, environ 10 % des huîtres meurent immédiatement et 10 % meurent dans les deux ans. La nacre produite par la greffe génère un keshi (graine de pavot en japonais), sorte de perle manquante, lorsqu’un tiers des huîtres rejettent le noyau. Seulement 1% des huîtres greffées génèrent des perles inutiles, et seulement 1% des trente pour cent de greffons qui produisent des perles utilisables produisent des perles impeccables.
Taille Plus Grande Huitre
Un noyau est posé contre la coquille de certaines variétés d’huîtres : c’est le mabé, une demi-perle sertie dans la nacre. Ces mabés “populaires”, montés en boucles d’oreilles, ont été créés par Coco Chanel. Une étude récente a abouti à la création des icônes de Tahiti, un cultivar mabe avec un noyau sculpté. Ces diamants sont développés en un temps record de 3 à 4 mois, avec un taux de réussite de 80 %.