Jean Pierre Flahaut Bruay En Artois

Jean Pierre Flahaut Bruay En Artois
FRANCE - MARCH 04: Jean pierre Flahaut, accused in the reconstruction in Bruay en Artois, France on March 04, 1974. (Photo by Michel ARTAULT/Gamma-Rapho via Getty Images)
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Jean Pierre Flahaut Bruay En Artois. L’une des énigmes criminelles les plus connues des années 1970 est le scandale Bruay-en-Artois. Elle se déroule aux Houillères, au cœur des bassins houillers, au fur et à mesure que les puits de mine se referment un à un. Brigitte Dewèvre, une jeune fille de 15 ans originaire de Bruay-en-Artois dans le Pas-de-Calais, a été retrouvée morte dans une friche le 6 avril 1972. Elle a été brutalement battue et étranglée, mais elle n’a pas été violée. Pierre Leroy, 37 ans, notaire de Bruay-en-Artois, a été instantanément identifié comme suspect. Son automobile a été aperçue près du lieu de l’accident. Leroy prétend qu’il est allé rencontrer sa maîtresse la nuit du meurtre, mais il est évasif dans ses justifications. Il est accusé, puis emprisonné.

La polémique de Bruay-en-Artois est l’une des intrigues criminelles les plus connues des années 1970. C’est à Houillères, cœur du bassin houiller et berceau des Houillères, que cela se passe. Le 6 avril 1972, le cadavre de Brigitte Dewèvre, 15 ans, originaire de Bruay-en-Artois dans le Pas-de-Calais, est retrouvé dans un terrain vague.

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Malgré ses contusions, elle n’avait pas été violée. Lorsque Pierre Leroy, un notaire de l’Artois, en France, a été amené uniquement pour interrogatoire, il était déjà reconnu comme suspect. Son automobile a été aperçue près du lieu de la collision, ce qui n’est pas inattendu. Malgré les protestations de Leroy à l’effet contraire, il est évasif dans ses raisons pour lesquelles il était parti du site de l’incident. Par la suite, il est accusé et condamné à la prison. Le public est excité par la situation actuelle. C’est la première fois qu’un fait divers est présenté en temps réel à la télévision. Le fondateur du Syndicat de la magistrature et juge d’instruction Henri Pascal, surnommé “le petit juge” par la presse, s’oppose à la confidentialité de l’instruction. Il apparaît régulièrement dans les médias. Des groupes d’extrême gauche cherchent à lire la pièce comme une métaphore de la guerre entre les classes. En tant que notaire reconnue et donc crue coupable et fille d’un mineur du prolétariat, le notaire et la victime sont tous deux en danger. Le 1er mai 1972, le journal maoïste « la cause du peuple » disait : « Et maintenant ils massacrent nos jeunes ». Cependant, le notaire a été libéré faute de preuves et d’accusations précises. Il sera viré bien assez tôt. L’affaire a été confiée par le juge Pascal au profit d’un de ses confrères parisiens. Dans la foulée, Jean-Pierre Flahaut, un délinquant juvénile de Bruay-en-Artois, en France, a revendiqué le crime avant de changer sa précédente allégation. Après avoir passé trois ans en prison, il est traduit devant la cour d’assises.


L’opinion publique est excitée par la situation. Il s’agit de la première diffusion en direct d’une nouvelle d’actualité à la télévision. Henri Pascal, le juge d’instruction et l’un des fondateurs du Syndicat de la magistrature, s’oppose au secret de l’instruction, surnommé “le petit juge” par la presse. Il est un invité fréquent des médias. Des groupes d’extrême gauche tentent d’utiliser la pièce comme métaphore du conflit de classe. D’un côté, il y a le notaire, qui est connu et donc forcément coupable, et de l’autre, il y a la victime, une fille de mineur prolétaire. “Et maintenant, ils massacrent nos jeunes”, a déclaré la publication maoïste “la cause du peuple” le 1er mai 1972.

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Le notaire est cependant libéré faute de preuves et d’accusations concrètes. Un licenciement est imminent pour lui. Au profit d’un de ses confrères parisiens, le juge Pascal se dessaisit de l’affaire. Après cela, Jean-Pierre Flahaut, un jeune délinquant de Bruay-en-Artois, s’accuse du crime avant de revenir sur ses aveux. Il est traduit devant la cour d’assises après trois ans derrière les barreaux. Il sera déclaré non coupable des deux chefs d’accusation. Avant que l’affaire ne soit finalement terminée en 2005, l’enquête avait été reportée pendant de nombreuses années.

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Daniel Bourdon (1), un policier à la retraite de Bruay-en-Artois qui avait 13 ans au moment du meurtre, a rouvert son enquête et affirme avoir découvert le véritable assassin de Brigitte. Cependant, ce nouveau suspect, un facteur âgé, ne représente aucune menace, tant qu’il en est le véritable auteur. L’affaire n’est plus passible de poursuites puisqu’elle a dépassé le délai de prescription.

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Le meurtre de Brigitte Dewèvre, une jeune fille de famille modeste, à Bruay-en-Artois (aujourd’hui Bruay-la-Buissière) dans les années 1970 était une affaire pénale française bien connue. Le notaire Pierre Leroy et sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur sont poursuivis et emprisonnés lorsque le cadavre du défunt est découvert le 6 avril 1972, mais le juge d’instruction, Henri Pascal, reconnaît qu’il n’y a aucune preuve substantielle de leur participation au meurtre .

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La Gauche prolétarienne, une organisation d’extrême gauche, utilise le lien de la bourgeoisie avec les deux personnes en cause pour transformer cet incident en un symbole de conflit de classe. Les fermetures de mines de charbon ont eu un impact sur la région. Les accusés ont enfin été libérés. Un collègue de Brigitte Dewèvre se charge plus tard du crime, mais il est déclaré non coupable. Enfin, en 2005, l’infraction a été prescrite.

La mort prématurée d’un adolescent ?

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C’était en 1972 et c’était le printemps. Une jeune femme, fille de mineur, a été retrouvée morte à cette heure du matin. Brigitte Dewèvre est une jeune fille de 15 ans. La fille est caractérisée comme sauvage et, grande, mince. La colonie Pit Four de Bray est l’endroit où elle vit avec ses parents. Elle est allée chez sa grand-mère la veille et n’est jamais revenue. Ce crime a rapidement fait la une des journaux et est devenu un phénomène médiatique. Comme s’il s’agissait d’un roman policier, les médias ont suivi quotidiennement l’évolution de l’enquête. Daniel Bourdon ajoute : “Je l’ai identifiée de vue, car je n’habitais pas loin.”. Il y avait pourtant une forme de partage entre les gosses de la bourgeoisie et les gosses de mineurs. » Comme certains l’ont indiqué, l’affaire dite de Bruay-en-Artois a pris une dimension sociale. la communauté noire du quartier se rallie aux parents de Brigitte pour réclamer sa responsabilité.Quelques jours après l’accident, un reportage fait le point sur la lutte des classes à Bruay.L’arrestation du notaire de Bruay-en-Artois est principalement responsable de l’état actuel des choses, qui a pris une tournure résolument sociale. Il s’appelle Pierre Leroy, il habite un peu plus loin dans un quartier bourgeois. Non loin du lieu du meurtre, son automobile a été récupérée. Il a été appréhendé et condamné à la prison après avoir été reconnu comme l’agresseur par la police en tant que Rotarien qui s’était rendu dans des repaires de prostitution à Lille. Défendant la “justice à ciel ouvert”, le juge Pascal divulgue des aspects de l’enquête telle qu’il se présente devant lui. Il y a des reconstitutions, et les dépositions comportent des incohérences. Néanmoins, le 18 juillet 1972, la cour d’appel d’Amiens annule le verdict du juge Pascal et libère Pierre Leroy pour insuffisance de preuves. Daniel Bourdon, l’auteur du livre, ajoute : “Le notaire ne peut pas techniquement être le coupable, mais cela n’implique pas que tout soit clair dans son récit.”

Dans le monde naturel, qu’est-il arrivé à l’assassin ?

Jean Pierre Flahaut Bruay En Artois
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Il mène une enquête supplémentaire et arrive cette fois à la même conclusion : il a le sentiment de savoir qui est le tueur. “Un pseudonyme a été utilisé, mais tout le monde pourra le découvrir grâce à l’enquête. Inconnu du public, il est issu d’une bonne maison. En tant que gardien d’église, il a développé un grand intérêt pour la religion”, raconte l’ex -officier de police. Le jeune gamin en difficulté, selon l’auteur, s’est enfui dans les bois au lendemain de l’interpellation de Jean-Pierre Flahaut. Non, je ne le vois pas. C’est ce que pense Daniel Bourdon, même si l’on suppose qu’il est simplement parti en retraite religieuse. Dans l’intervalle, “il n’a pas été découvert”. Daniel Bourdon s’est renommé ainsi que les personnes qu’il conteste pour se protéger légalement. C’est en réalité un livre. Un roman avec une suite en préparation. “Plusieurs personnes m’ont contacté pour apporter leur version des faits depuis la sortie du livre”, raconte l’auteur. En tant que spectatrice, Brigitte Dewèvre est devenue une victime du système Bruay. C’est le système qu’il compte décrire dans un nouveau livre, toujours selon lui et avec le soutien de sa famille. « Le but de ce travail n’était pas tant de rappeler des faits que de faire émerger de nouveaux témoignages », écrit Daniel Bourdon. Le magasin de Bray aura un auteur dédicace vendredi. De plus, vous pouvez acheter son livre sur Internet. Les délits et les crimes ont des délais de prescription distincts. Elle est théoriquement de dix ans, même si l’allongement des délais pour les délits contre les enfants est envisageable. Un crime comme Bruay-en-Artois a été instauré en 2005 puisque le délai de prescription standard en matière civile était de 30 ans avant 2008.

Lorsque le premier livre a été publié, quelle a été la réaction des lecteurs ?

Jean Pierre Flahaut Bruay En Artois
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En utilisant les réseaux sociaux, j’ai reçu des encouragements. Les gens semblaient tirer pour moi. Les experts du domaine qui ont lu mon travail m’ont également apporté leur soutien et leurs encouragements. je sens que je suis proche de la vérité; J’ai pu disposer les personnes avec précision sur l’échiquier. La recherche et l’écriture d’un nouvel opus sont toujours entre mes mains. Cela n’a pas d’importance; Je ne crée pas une trilogie pour gagner de l’argent. En raison des choses que je présente, je peux faire avancer l’enquête. Pour démêler cette énigme, le seul choix est celui-ci. “L’affaire Grégory” est l’une des plus importantes en France. C’est une immense obligation d’entrer dans cette histoire. Beaucoup de gens comptent sur moi pour les nommer. Ce qui est essentiel, cependant, c’est comment Brigitte a été tuée. Malgré les innombrables épisodes consacrés à l’affaire, nous avons toujours été un peu flous. Je ne suis pas un flic surhumain qui peut guérir tous vos problèmes ! Je ne serais pas là où je suis aujourd’hui si je n’avais pas été absorbé par cette carrière depuis l’âge de 18 ans. Même si certains lecteurs peuvent reconnaître l’assassin, je n’entre pas dans les détails à son sujet dans ce conte. Comme je n’ai pas encore terminé mon enquête, je pourrai peut-être trouver de nouvelles preuves. Je pourrais aller voir cet homme et dire que je sais qui il est si vous me donnez des faits supplémentaires à son sujet. Il n’a personne d’autre à s’inquiéter que moi. Encore une fois, ce n’est qu’un petit souci.

Comme je suis de Bruay, j’ai peut-être eu des avis plus favorables. Je suis perplexe. Même si les faits sortent de l’ordinaire, je les vérifie dès que je trouve quelqu’un qui a éventuellement l’expertise à partager avec moi. Non, je ne vais critiquer personne qui a critiqué les enquêteurs à l’époque. Pour moi, c’était une aventure qui m’a amené dans des contrées inattendues. L’assassinat n’est pas le seul élément dans cette situation.

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