Jean Paul Bertrand Demanes Fils: Aujourd’hui âgé de 70 ans, l’ancien gardien du FC Nantes et de l’équipe de France raconte son courageux combat contre le cancer de l’œsophage dans “Stade 4, le match de ma vie”.
L’étape 4 de Jean-Paul Bertrand-Demanes, “Le match de ma vie”, publié aux éditions Max Milo, est un mémoire émouvant qui tisse ses expériences de sportif professionnel et de patient hospitalisé.
“Il m’a fallu deux ans pour amener cet arbuste là où il est maintenant”, se lamente-t-il. Il a été diagnostiqué d’un cancer de l’œsophage en mai 2010 après avoir joué pour le FC Nantes dans 11 sélections nationales. Il a depuis vaincu la maladie. Il prévoit de faire don de tous les bénéfices de son “ode à la vie” au Western Cancer Institute. Entre 1969 et 1987, il a amassé plus de 650 matchs joués pour le club.
Le quadruple champion de France de football en titre a accordé un entretien de deux heures à l’ACT Nantes le 11 octobre 2022. L’existence de Jean-Paul Bertrand-Versaille est une œuvre de Dieu. Il affirme plutôt son statut de « privilégié ». Le Big, comme il a été affectueusement surnommé par les locaux alors qu’il gardait les cages des îles Canaries, a été là et l’a fait. Une mâchoire fracturée ne devrait pas freiner l’enthousiasme pour une carrière exceptionnelle.
Perte de deux enfants : Elodie, un nouveau-né décédé en 1977, et Reynald, un jeune homme qui avait 20 ans lorsqu’il est décédé dans un accident d’entraînement au RC Ancenis.
Le passé de l’ex-gardien tragique lui a donné une solide réputation. Soyez fidèle à votre promesse et n’abandonnez jamais.
Ce trait l’a aidé à endurer de longues procédures médicales et des médicaments toxiques. le conflit constant, j’ai terminé chacun d’eux avec brio. Jean-Paul Bertrand-Demanes, aujourd’hui âgé de 70 ans, affirme qu’il n’était “pas aussi programmé que Serena Williams”. Quand je me fixe un objectif, je fais toujours de mon mieux.
En raison de la rivalité et de la compétitivité intenses que je rencontre régulièrement, je peux garder cette attitude positive. En juillet, je faisais du vélo lorsque je suis tombé et me suis brisé le fémur à deux endroits. Il y avait un banc de l’autre côté de la rue. Après avoir pris cette décision, je me suis dirigé directement vers la banque la plus proche.Les médecins ont juste refusé de l’accepter comme vrai. Cela résume parfaitement mon.
Dans la quatrième étape, le discours sort enfin de l’ombre de son succès et de sa notoriété. Pas grand-chose, sauf peut-être que j’étais un peu meilleur pour bloquer les tirs que les autres joueurs. Les Nantais étaient déçus parce que je n’ai pas sauvé le monde en jouant au football professionnel.
Je considérerais mon livre comme un succès s’il encourageait ne serait-ce qu’un seul patient à se battre face à la maladie, aux traitements et à la fatigue. Bien qu’il ne puisse pas guérir le cancer, les thérapies qu’il propose peuvent améliorer la qualité de vie des patients. Jean-Paul Bertrand-Demanes, dont le couperet venait de tomber, avait lancé un défi. grande taille il ou elle est assez grand.
Dans le temps imparti, il s’engage à faire un triathlon qui consiste à nager trois kilomètres, à parcourir 180 kilomètres et à courir un marathon. En juin 2014, le challenge aura lieu à Nice. Vivre dans l’éternel maintenant, c’est vivre dans un moment qui dure pour toujours. Il se souvient de l’incroyable expérience émotionnelle et de la façon dont cela l’a profondément secoué.
A ce moment, je suis à un mètre de la ligne d’arrivée, et j’ai reconnu l’orateur qui disait au revoir à ma famille. Ils ont saisi la gravité de la situation. Partout où nous avons regardé, il y avait des larmes. Nous nous sommes enfoncés dans les bras l’un de l’autre.
Les enjeux étaient élevés pour chaque personne, mais la réponse appartenait au groupe dans son ensemble. Jean-Paul Bertrand-Demanes a persisté dans ce plan d’action malgré sa maladie. Il est crucial de continuer à respirer malgré la maladie.
Mon groupe de copains et moi nous sommes forcés à sortir et à dévorer une dizaine de hamburgers. Je pouvais lire des messages d’encouragement dans leurs yeux. L’ancien athlète professionnel a épuisé toutes ses ressources matérielles malgré un diagnostic initialement lamentable.
Il n’y a pas de cinquième et dernière phase. Je suis donc prêt à affronter un ennemi courageux. Lors de sa seule visite à La Baule, il a eu l’idée fugitive de se suicider alors qu’il était à vélo. Les idées moins que positives ont été rapidement rejetées. Le soutien de sa famille a aidé “le grand homme” à maintenir son attitude positive.
comme dans sa deuxième amante, “Mimi” (Micheline) à partir de 1988. A son décès, Mathieu, son fils, prendra les rênes de l’entreprise. Les praticiens des arts médicaux ne sont pas exclus. Parmi eux, Franck Duteille, Olivier Malard, Frédéric Rolland, et Étienne Bardet, radiothérapeute au Centre de cancérologie de Saint-Herblain. -Demanes dit dans le récit.
J’ai tenté de l’encourager en lui disant de “monter” et de “comba ttre le bon combat” maintenant que la maladie s’était propagée. C’est vrai, monsieur Demanes ; Je me souviens toujours de toi dès le matin.
Vous êtes venu me voir après avoir perdu 20 livres à la dure et m’avez dit que vous ne pouviez pas marcher, mais m’avez assuré : “Ne vous inquiétez pas docteur, je vais vous réparer et vous allez courir un Ironman.”
Quand nous avons eu fini tEn parlant, il m’a informé que je devais témoigner. Une idée a germé de la graine plantée. J’ai l’intention de donner au Centre Gauducheau le plus gros chèque que je puisse faire en raison de l’importance que j’accorde à leur mission.