Le système éducatif français est extrêmement centralisé, avec plusieurs branches. [1] L’enseignement primaire (enseignement primaire), l’enseignement secondaire (enseignement secondaire) et l’enseignement supérieur (enseignement supérieur) sont les trois phases. En France, l’âge moyen auquel un enfant entre à l’école est de trois ans. L’école maternelle est l’endroit où les enfants de trois ans commencent leur éducation plutôt que l’école primaire. Après cela, à l’âge de six ans, un enfant en France commence l’école primaire et progresse rapidement dans les classes jusqu’à ce qu’il obtienne son diplôme.
Le Processus de Bologne (reconnaissance UE) reconnaît les diplômes suivants dans l’enseignement supérieur français : Licence et Licence Professionnelle, ainsi que les diplômes de Master et de Doctorat.
Le Programme international pour le suivi des acquis des élèves de l’OCDE place désormais les Français de 15 ans au 26e rang mondial en lecture, mathématiques et sciences, bien en deçà de la moyenne de l’OCDE de 493.
[2] La performance moyenne de l’OCDE des jeunes français de 15 ans en sciences et en mathématiques a diminué, mais le pourcentage de mauvais élèves en lecture, en mathématiques et en sciences a considérablement augmenté.
[3] La proportion des meilleurs élèves en mathématiques et en sciences en France a également diminué.
[4] Dans l’étude Tendances des mathématiques et des sciences internationales de 1995, la performance de la France en mathématiques et en sciences au niveau du collège a été classée 23e.
[5] La France n’a participé à aucune recherche ultérieure du TIMSS.
[6] Napoléon a créé les établissements d’enseignement universitaire et secondaire en France. Le système de base a été établi par Guizot. Il y a eu des débats houleux sur la question de savoir si l’Église catholique devrait avoir un rôle dominant. A la fin du XIXe siècle commence l’ère moderne de l’éducation française. Jules Ferry, ministre de l’Instruction publique en 1841, est largement crédité de la fondation de l’école moderne (l’école républicaine), qui exigeait que tous les garçons et filles âgés de 6 à 12 ans soient scolarisés. De plus, il rend l’instruction publique obligatoire, gratuite et laïque (laque). La Troisième République a supprimé une grande partie des lois Falloux de 1850-1851, ce qui a donné au clergé une position de premier plan, avec ces lois, connues sous le nom de lois françaises Lubbers, Jules Ferry et autres. [7] Les œuvres d’auteurs français du patrimoine européen ont été fortement mises en valeur dans le programme français. La littérature, selon Ferry et d’autres, est le ciment qui maintient l’identité française. La diversité ethnique et culturelle de la population étudiante n’a eu aucun effet sur l’effort de leur inculquer une « culture partagée ». [8] L’enseignement de l’histoire, comme la littérature, est considéré comme crucial pour façonner l’identité des jeunes et intégrer les immigrés dans la culture française. Les idées de Ferry sont toujours influentes aujourd’hui. Selon des études du ministère, la responsabilité des écoles dans l’établissement d’une « culture partagée » devient de plus en plus importante à mesure que la diversité des élèves augmente. Selon le gouvernement, l’enseignement de l’histoire en France a permis « l’intégration d’enfants d’Italiens, de Polonais, d’Africains et de Portugais » au cours d’un siècle. [9] Le ministère de l’Éducation nationale (anciennement appelé ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associatif) supervise tous les programmes éducatifs en France. Le ministre de l’Éducation nationale est en charge du ministère.
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Les fonctionnaires de l’État embauchent tous les enseignants des écoles primaires et secondaires publiques, faisant du ministère le plus gros employeur du pays. Le gouvernement emploie des professeurs et des chercheurs dans les universités françaises. Aux niveaux élémentaire et secondaire, tous les élèves français d’une année donnée, que ce soit dans les écoles publiques, semi-publiques ou subventionnées, suivent le même programme d’études. Il existe cependant des sections spécialisées et un certain nombre de possibilités parmi lesquelles les étudiants peuvent choisir. La référence pour tous les éducateurs français est le Bulletin officiel de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche (B.O.), qui répertorie tous les programmes et directives d’enseignement en vigueur. Chaque année, il est mis à jour plusieurs fois. [dix]