Hans Jürgen Soehring Fils: Otto Soehring était le fils du diplomate. Hans Jürgen Soehring, né à Istanbul le 23 juillet 1908 et mort en République du Congo le 9 octobre 1960, était un officier, diplomate et écrivain allemand. Il était membre de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale et avait un lien avec l’actrice française Arletty.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Hans_J%C3%BCrgen_Soehring
Né à Istanbul, il a fait ses études à Berlin, Leipzig, Grenoble, Clermont, Paris et Londres. Il a terminé ses études de sciences juridiques et politiques et a tenté en vain de créer une entreprise en Amérique du Sud.
Il était membre du parti nazi, mais il a rejoint la cour, où il a servi fidèlement mais sans fanatisme. La Légion Condor le nomma conseiller juridique (Rechtsberater) en Espagne lorsqu’il s’enrôla dans la Waffen-SS en 1937.
Il a été promu lieutenant-colonel dans la Luftwaffe et affecté comme juge militaire ( Feldrichter ) à Paris, où il était en réalité l’un des hommes les plus fiables de Goering. En mars 1941, la fille de Pierre Laval, Josée de Chambrun, le présente à l’actrice Arletty, avec qui il entretient une relation jusqu’en 1949.
En raison de sa relation avec Arletty, il est rétrogradé au grade de sous-officier en 1943. Avant de retourner en Allemagne, il sert de couverture aérienne pour la 10e armée allemande en Italie lors de la bataille de Monte Cassino en mai 1944. 5 ( Reichskriegsgericht).
Soehring ne sera pas concerné alors qu’Arletty est suspendue deux ans et interdite de séjour à Paris pendant trois ans. Il se tourne vers l’écriture et rejoint le collectif littéraire « Groupe 47 » avec Hans Werner Richter.
Son autobiographie, L’Esprit de Saint-Louis ( Mein Flug über den Ozean , 1956), a été traduite en allemand alors qu’il résidait en Argentine à l’époque.
“Fauna” est l’histoire d’amour d’Arletty et Hans Jürgen Soehring ?
Arletty, actrice française bien connue des années 1930 et 1940, n’a pas hésité à s’exprimer à l’écran. Soehring, un commandant allemand de 10 ans plus jeune qu’Hermann Goering, a été placé à proximité de lui pendant l’Occupation.
L’actrice entretient une relation intense avec l’homme dont elle est amoureuse. Malgré sa popularité grandissante, elle apparaît comme une représentante de l’opposition, sans vergogne.
La “coopération horizontale” d’Arletty va lui attirer des ennuis à la Libération. En 1938, elle fait sa première apparition dans un film de Marcel Carné, Hôtel du Nord, dans lequel elle incarne Mme Raymonde et tient le flambeau du célèbre acteur de l’époque, Louis Jouvet, dans le rôle de Mme Raymonde.
Sur le canal Saint-Martin, elle prononce les mots immortels : “Ambiance ! Ambiance !” Non, je n’ai pas une bouchée d’atmosphère dans mon système. Avec Marcel Carné, Arletty poursuit le plus beau chapitre de sa carrière – et l’un des plus beaux du cinéma français – en tournant Le jour se lève en 1939, Les Visiteurs du Soir en 1942, et enfin Les enfants du Paradis, tous interprétés par Jacques Prévert. .
D’autre part, Arletty vit avec un lieutenant allemand nommé Hans-Jürgen Soehring, dont elle est profondément amoureuse. Les opposants à l’oppression allemande sont indignés par cette histoire largement acceptée dans les sphères de la coopération et de la vie sociale. La carrière d’Arletty est ruinée lorsqu’il est emprisonné dans la tristement célèbre station de libération.
Sa relation avec Soehring, qui a survécu à la dévastation de la Seconde Guerre mondiale, se poursuivra lorsqu’elle se fera un nom dans le monde du cinéma et du théâtre. L’histoire de leur relation peut être reconstituée grâce aux lettres que les deux personnes ont échangées.
Je suppose qu’il siège actuellement à la Chambre des députés. Est-ce qu’on refuserait des gens ?
Nous avons découvert une merveilleuse interview d’Arletty dans les archives de l’INA de 1958 pour l’émission RTF “Gros plan”, dont nous avons repris la citation en haut du post, dans laquelle elle évoque les qualités qu’elle apprécie chez une bonne actrice.
Arletty, actrice française légendaire des années 1930 et 1940, n’a pas hésité à dire ce qu’elle pensait. Elle a rencontré Hans Jürgen Soehring, un officier allemand de 10 ans son cadet qui était lié à Hermann Goering, l’un des hommes les plus puissants du Troisième Reich.
L’actrice entretient une relation intense avec l’homme dont elle est amoureuse. Malgré sa grande notoriété, elle agit insouciante lorsqu’elle est confrontée à l’envoyé d’un adversaire. Arletty va avoir du fil à retordre avec ce “travail d’équipe horizontal” au moment de la libération…
Si je devais commencer aujourd’hui, sachant quels attributs il faut absolument avoir dès le début, je pense que je serais un peu terrifié.
Une initiation à la santé Il faut des poumons bizarres si l’on veut représenter La Dame aux Camélias pendant vingt ans. longtemps sur scène. Ensuite, une voix, amusante ou déchirante. Un personnage serait utile si possible.
Enfin, tout dépend de la capacité à performer. Le talent, d’autre part, doit être gagné par le travail acharné et le dévouement à la carrière choisie. Et tout cela prend des années. En matière de compétences, je ne suis pas coupé en deux. Je suis enchanté par la nature. En tant que marchand de châtaignes, vous devez pouvoir faire bouger la nature.
Voici une illustration de ce que je veux dire. Dans la chambre, imaginez Rému. Les gens seraient rejetés. Les voix de Pierre Fresnay, Charles Boyer et, bien sûr, notre national Maurice [Chevalier, NDLR] sont toutes séduisantes. La voix est le facteur le plus important. Car il ne reste que quelques intonations d’un film.
Par contre, les variations tonales sont assez inhabituelles. Des choses comme l’apparence n’ont aucune importance. Les théâtres ne doivent pas être utilisés comme une cour des merveilles. Nous le disons une fois à propos d’une actrice magnifique, mais nous le répétons toute la nuit à quel point elle est stupide. Et encore une fois, je suis courtois…
“Hélas, Arletty-Soehring, je t’adore.” L’amour faustien ?
Son livre La Défense précise qu’elle est née « dans un rez-de-chaussée sombre éclairé par les sourires de mes parents » à Courbevoie, 33, rue de Paris (ça ne s’invente pas !), et qu’elle y a grandi.
Michel Bathiat, ajusteur tourneur pour les tramways parisiens, et Marie Marguerite Philomène Dautreix, ouvrière de laverie, sont ses parents. Dans son livre La Défense, Léonie Marie Julia Bathiat affirme être née “dans un rez-de-chaussée sombre éclairé par le sourire de mes parents” à Courbevoie au 33, rue de Paris.
Ses grands-parents, Michel Bathiat, tourneur monteur des tramways parisiens, et Marie Marguerite Philomène Dautreix, lingère, sont ses arrière-grands-parents.
Elle a eu des problèmes respiratoires dans sa jeunesse pendant des années. Ensuite, elle se destine à une carrière dans le domaine du secrétariat… L’une des rares sorties « honorables », selon elle, pour une femme qui travaille. Avec ce jeune homme, elle développe une forte affection pour un autre jeune homme qu’elle appelle “Ciel” à cause de la couleur de ses yeux.
Il a cependant été tué pendant la Grande Guerre en 1914 et la jeune femme a juré de ne plus jamais se marier.
Elle n’a pas l’intention de devenir veuve de guerre. Enfant, elle souffrait de problèmes respiratoires. Ensuite, elle se destine à une carrière dans le domaine du secrétariat… Une des rares sorties « honorables » pour une femme qui a besoin de travailler. Elle tombe également amoureuse d’un jeune homme qu’elle appelle “Cel” à cause de la couleur de ses yeux.
Mais il a été tué pendant la Première Guerre mondiale et la jeune femme a juré qu’elle ne se remarierait plus jamais. Elle n’a pas l’intention de devenir veuve de guerre. Malgré son admiration pour les Allemands qui lui ont décerné des récompenses, Arletty se méfie de ses contemporains mondains comme Cocteau et Guitry, qui défilent avec les lauréats du vernissage les fesses pincées.
Soehring et elle sont d’accord sur l’importance des sentiments et l’intensité du quotidien, mais le temps la rattrape inévitablement. Elle se méfie des extrêmes, bien qu’elle avoue avoir lu les « triomphes de libraire » antisémites de Céline, Morand et Rebatet, qu’elle qualifie de « sombres ». Dans un sens, je suis une fashionista.