Fanny Cottençon Jeune: L’actrice Fanny Cottençon est née au Gabon le 11 mai 1957. Après avoir étudié au célèbre Atelier International de Théâtre Blanche Salant, la jeune actrice fait ses débuts au cinéma à la fin des années 1970 avec La Nuit de Saint-Germain-des-Prés (1977).
Aperçue pour la première fois dans L’Étoile du Nord (1982), elle devient rapidement l’une des favorites du public et reçoit le César du meilleur second rôle féminin. La carrière de Fanny Cottençon prend son envol à partir de là, avec des films comme “L’Ami de Vincent” (1983), “Tant qu’il y aura des femmes” (1987), “L’Homme idéal” (1997), et “La Chambre des morts” (1999) parmi ses nombreux autres crédits (2007). De même, en 1995, elle a été le personnage principal de la série des films d’Anne Le Guen.
Le curriculum vitae de l’actrice ne cesse de s’étoffer. Première actrice à le faire, elle a reçu un Molière en 2000 pour son interprétation de “On Never Lying Again” des Monologues du vagin. Le Jour des Grenouilles (2011), Deux heures à Paris (2017), Billie en ligne (2019), Les Pieds dans le plat (2012), Papa ou Maman (2018) et Fugueuse (2021) sont quelques-unes de ses prestations cinématographiques ultérieures.
Avant tout, elle est une comédienne de théâtre ; elle a notamment joué dans Petits crimes conjugaux (2016), Pleins four (2017) et Pourvu qu’il soit content (2018). (2019). Elle est l’épouse depuis 10 ans du réalisateur Roger Coggio et la mère de leur fils, Maxime.
Populaire sur les planches, Fanny Cottençon fait ses débuts au cinéma en 1982 avec Pierre Granier-L’Étoile déportée du Nord, pour lequel elle remporte le César du meilleur second rôle féminin. Bien qu’ayant déjà travaillé avec Francis Perrin sur plusieurs films (Tête à claques, Le Roi des cons, Tout le monde peut se tromper), elle incarne Patrick Dewaere dans le film d’Alain Jessua en 1982. Elle montre immédiatement qu’elle a le tempérament idéal pour développer le rôle de leader des femmes autochtones. Les rôles sérieux de Fanny Cottençon dans des films comme A coup de Croix et Femmes de Personne témoignent de sa polyvalence en tant qu’actrice française
(1984). Elle fait ses débuts au cinéma dans L’Homme idéal de Xavier Gélin en 1996, après avoir passé plusieurs années à la télévision.
Après le succès d’Un Repos entre nous (1997), elle joue aux côtés de Catherine Frot, Fanny Ardant et Roschdy Zem dans le drame Change-Moi, Je vie (2001) de Liria Begeja. Elle a collaboré pour la première fois avec Alexandre Arcady en 2004 sur la comédie “Mariage mixte”, puis en 2008 sur le film “On peut garder un secret”. Entre-temps, elle a joué dans des films réalisés par Jean Becker (Dialogue avec mon jardinier, 2007) et Alfred Lot (La
Fanny Cottençon est devenue membre de la Rue Blanche avant de commencer à jouer des rôles importants dans des pièces classiques. Elle fait ses débuts au cinéma dans les années 1980 avec Signé Furax et continue d’apparaître dans des rôles mineurs jusqu’à la fin des années 1970.En 1982, pour sa prestation dans Nord face à Pierre Granier-L’Étoile différée, Fanny Cottençon reçoit son premier César du meilleur second rôle féminin.
En 1982, elle fait également des apparitions dans Tête à claques de Francis Perrin et Paradis pour tous d’Alain Jessua. Un an plus tard, en 1988, on l’aperçoit dans Tant qu’il y aura des dames (écrit par Didier Kaminka) et Les Saisons du plaisir (écrit par Jean-Pierre Mocky). Après avoir été mise au placard pendant un certain temps au début des années 1990, Fanny Cottençon fait un retour triomphal en 2001 avec trois films, dont Change-Moi, et Ma vie de Liria Begeja. Vous devriez venir avec Roger.
Fanny Cottençon, actrice et productrice française, est née le 11 mai 1957 dans la ville gabonaise de Port-Gentil d’un père géologue et d’une mère institutrice. Lorsque la famille rentre finalement en France, elle réside à Versailles, où Fanny reprend ses études.
À 15 ans, Fanny Cottençon s’inscrit au Conservatoire d’art dramatique, puis passe deux ans à l’ENSATT, l’École nationale des arts et techniques du théâtre, également connue sous le nom de La Rue Blanche. Les représentations publiques dans les festivals de toute la France font partie de sa formation et de sa préparation.
C’est dans La Nuit de Saint-Germain-des-Prés de Bob Swain qu’elle apparaît pour la première fois à l’écran en 1977. Les cinéphiles la retrouvent au début des années 1980 avec des films comme Signé Furax, Tête à claques et Le Roi des cons. Elle prend un nouveau départ en 1982 en interprétant le rôle de L’Étoile du Nord.
L’une des plus célèbres actrices françaises de cinéma et de théâtre, Fanny Cottençon, a récemment montré ses talents de comédienne dans la mini-série Fugueuse de TF1. Elle incarne avec brio Michael Youn et Sylvie Testud, qui sont essentiellement les doubles de Romane Jolly dans cette œuvre de fiction.
Fanny Cottençon, qui a une longue filmographie bien qu’elle n’ait fait ses débuts qu’en 1984, était encore une jeune actrice lorsqu’elle s’est fait livrer Télé Star dans son appartement parisien. L’actrice n’est connue du grand public que depuis peu : deux ans auparavant, elle avait joué aux côtés de Simone Signoret et Philippe Noiret dans le film L’Étoile du Nord.
Bien que Fanny Cottençon ait déjà joué dans plusieurs films, dont La Nuit de Saint-Germain-des-Prés, Les Fourberies de Scapin, Le Roi des idiots, Signé Furax et Tête à claques, le réalisateur Pierre Granier-Deferred l’appelle pour la faire jouer dans son prochain film.
On peut supposer que la jeune actrice était très excitée à l’idée de travailler avec des acteurs aussi vénérés que Simone Signoret et Philippe Noiret. Malgré tout, l’actrice accepte sans hésiter l’offre du réalisateur. En tant que nouvelle venue dans l’industrie cinématographique, la perspective de devoir choisir entre des projets concurrents ne m’a pas effleurée.