Elle Egorge Ses 5 Enfants : Son meurtre à Nivelles en 2007 maintient Genève Lhermitte en prison depuis 2007.
D’abord et avant tout, c’est un coupe-gorge, bien sûr. Un homme lui a envoyé de nombreuses lettres en prison et a gardé cette habitude tout au long de sa peine. Ils se fondent l’un dans l’autre en un instant. Après dix mois, la capacité du couple à se rendre visite a été limitée par les règles de l’agence de protection sociale. Le petit ami de Geneviève Lhermitte depuis quelques mois se suiciderait s’il ne supportait pas cette séparation forcée.
Un autre détenu remplacera le compagnon de cellule de la prison de Berkendael de la mère décédée dans les jours suivants. Présentement hébergé à l’Établissement correctionnel de Mons, Patrick est originaire de la province du Nouveau-Brunswick. En septembre de cette année, le couple se mariera légalement à New York. Geneviève Lhermitte a eu un gâteau et beaucoup de champagne pour célébrer son mariage à Berkendael. Patrick, son mari, a été libéré en raison de son choix. Son avocat, l’ami Xavier Magnée était l’un des rares privilégiés qu’elle était autorisée à inviter à la fête.
Et pour couronner le tout, elle a choisi de faire témoigner l’un des détenus condamnés à mort pour le meurtre de son fils lors de la cérémonie elle-même ! Geneviève Lhermitte, une mère belge coupable du meurtre de ses cinq enfants en février 2007, a été condamnée vendredi 19 décembre à la prison à vie par la cour d’assises de Nivelles. Aucune circonstance atténuante n’était à considérer une fois le procès commencé le 8 décembre. Le jury a déclaré cette femme de 42 ans coupable de “meurtre avec préméditation”. Il l’a condamnée à la peine maximale de 30 ans de prison dans cette affaire, malgré la suggestion du procureur général d’une peine de 30 ans.
Le 28 février 2007, à leur domicile de Nivelles, alors que leur mari est en déplacement professionnel, Geneviève Lhermitte tue ses cinq enfants, âgés de trois à quatorze ans. À ce stade, elle s’est poignardée la poitrine pour tenter de faire une déclaration. Des actes de grande hostilité, des incidents particulièrement horribles qui ont causé de grandes souffrances à ses enfants mourants, et “des circonstances particulièrement horribles qui ont infligé une immense tristesse à ses enfants mourants” ont tous été relatés dans le témoignage du tribunal. La cour a dit qu’au lieu de blâmer son conjoint et un membre de la famille qui n’était pas présent, Geneviève Lhermitte a tenté de se blâmer. Les douze jurés ont eu leurs premières discussions privées sur la culpabilité et la santé mentale de l’accusé vendredi matin.
Les résultats montrent qu’elle était pleinement consciente de sa conduite et a agi sans intention de malveillance. Geneviève Lhermitte a agi “de manière irresponsable” en raison de son jugement altéré au moment du crime, selon de nouvelles preuves apportées par le parquet mardi. Des rapports préliminaires indiquaient qu’elle était “consciente de ses actes”, “dans un état de désespoir anxieux qui a entravé, mais pas éliminé, son discernement” et “dans un désespoir anxieux qui a entravé, mais pas supprimé, son discernement.”
Elle Egorge Ses 5 Enfants
Plus tôt cette semaine, le procès d’une femme belge de 42 ans accusée du meurtre de ses cinq enfants a commencé, et c’est l’histoire fascinante d’un endroit où grande violence et amour maternel coexistaient en parfaite harmonie. Irrationnel.
Qu’est devenue la femme qui a tué ses cinq enfants avant de retourner l’arme contre elle ?
Hormis ses proches, tout ce que Brian Bumgarner avait lui a été confisqué, y compris sa maison. Selon des documents judiciaires, elle a tué ses trois enfants biologiques et ses deux beaux-enfants avant de mettre le feu à leur maison et de s’engager. Après avoir reçu une lettre d’elle, a-t-il affirmé, sa femme lui a répondu qu’elle n’avait pas été en mesure de “vaincre ses problèmes” ou, pour le dire autrement, de “surmonter ses problèmes”. Sur une plate-forme de réseautage social, pour être précis. Selon le «Sun», il a fait remarquer: «Ne laissez jamais quelqu’un devenir une influence néfaste». Son conseil était de prendre autant de photos que possible de vos proches car “on ne sait jamais quand ils reviendront”.
Il a décrit l’incident en détail lors d’une conférence de presse jeudi après-midi. Kian, Aarikyle Nova et Haiken Jirachi sont ses fils de quatre ans; elle est également la belle-mère de Shaun Myers, sept ans, et de Riley Myers, six ans, ses beaux-enfants. Comme son mari passait la semaine avec son père, il était là au moment des faits, ce qui est malheureux. Après avoir récupéré ses deux fils à l’arrêt de bus, elle leur a tiré une balle dans la tête. Une heure s’était écoulée lorsqu’un voisin a vu que la maison de la famille était en feu et a immédiatement appelé à l’aide. À l’extérieur de la maison, l’arme du crime de la mère a été retrouvée.
À la mémoire des enfants décédés, des services funéraires ont eu lieu le 17 décembre. Shaun a fréquenté l’école élémentaire Frankford à Philadelphie alors qu’il était en deuxième année. Grimper aux arbres et jouer au T-Ball étaient deux de ses passe-temps préférés. “Il avait une grande aspiration à devenir astronaute en raison de son enthousiasme pour l’espace”, selon la page nécrologique que les membres de sa famille ont pu voir. C’est arrivé alors que Riley était en première année. De nombreux autres sports l’intéressaient en plus de foo tball. “C’était un passionné de musique, et il a appris à jouer du piano et du ukulélé”, est-il encore écrit sur la carte de correspondance. Quand Aarikyle ne regardait pas les Tortues Ninja ou les films de super-héros, il peignait ou dessinait. Tout le monde l’adorait parce que ses petites voitures étaient ce qu’il aimait le plus dans le monde entier.
Le style de vie de son ex-nouveau mari la dérange peut-être.
“La déception, la rage et le désespoir” ont été interprétés durement à la lumière de l’affirmation du procureur selon laquelle Christiane K. a tué ses enfants. Un an après leur divorce, elle a été surprise de découvrir que son ex-mari avait été vu avec son nouveau petit ami. Jochen Kötter, le président du tribunal, a déclaré qu'”à partir de ce moment, sa vie a complètement changé”. “C’est trop pour elle à supporter”, a déclaré le gars, laissant entendre qu’elle avait l’intention de punir son mari pour l’incident.
Comme son fils aîné, alors âgé de 11 ans, s’était échappé de la maison tôt le matin et avait sauvé ses frères et sœurs, elle a également pu abandonner la maison. L’accusé n’a pas dit un mot pendant tout le procès. Ses enfants auraient été poignardés à mort par un envahisseur inconnu, malgré ses prétentions antérieures d’innocence. Il est important de noter qu’il n’y a aucune preuve à l’appui de cette affirmation.
Se suicide-t-elle après avoir tué sa famille ?
Malgré la proposition de la défense de l’envoyer dans une institution pour aliénés en raison de son narcissisme et de ses troubles du comportement, elle s’est avérée entièrement responsable de ses actes comme prévu, malgré les conseils de la défense. Selon les allégations, Solingen, une banlieue de Wuppertal, est l’endroit où l’événement présumé a eu lieu. Ce n’est qu’après le petit-déjeuner que la mère a donné à ses enfants une dose de somnifères. Une douche et leurs jouets préférés étaient le prochain ordre du jour. Un par un, une fois réveillés, elle les escorta jusqu’à la salle de bains, où elle les étouffa ou les étrangla jusqu’à ce qu’ils meurent tous. Un cadavre enveloppé d’une serviette a été découvert sur leur lit où leur mère les avait jetés. Les jeunes variaient de 1 à 8 ans, le plus bas à un et le plus âgé à 3 ans. Elle a tenté de se suicider en sautant devant un train de Düsseldorf plus tôt dans la journée, mais elle a été sauvée.