Ceci est une liste des technologies de l’information pour la cybersécurité. La cybersécurité est l’application de la sécurité aux technologies de l’information. Les ordinateurs, les réseaux de données et les autres équipements liés ou inclus dans les réseaux, tels que les routeurs et les commutateurs, sont tous des exemples de technologies qui stockent, manipulent ou transportent des données. Tous les équipements et installations informatiques doivent être protégés contre les accès illégaux, les abus et le vandalisme. Les utilisateurs des technologies de l’information doivent également être protégés contre le vol d’actifs, l’extorsion, le vol d’identité, la perte de la vie privée et de la confidentialité des informations personnelles, les méfaits malveillants, les dommages matériels, la compromission des processus commerciaux et le comportement général des cybercriminels. Les actes de cyberterrorisme, tels que le piratage ou la perte du système d’alimentation électrique, doivent être cachés au public.
Le secteur informatique met beaucoup d’efforts dans la cybersécurité. Pour la formation et l’expérience en cybersécurité, une variété de certifications professionnelles sont disponibles. [1] Malgré les milliards de dollars dépensés chaque année pour la cybersécurité, aucun ordinateur ou réseau n’est totalement sûr ou à l’abri des menaces. Le ver de messagerie ILOVEYOU ou Love Bug, qui a causé environ 8,7 milliards de dollars en 2000, a été la perte la plus coûteuse due à une faille de cybersécurité. [2]
Cette page vise à fournir une liste complète de tous les articles Wikipédia pertinents sur la cybersécurité. Un certain nombre d’articles plus petits peuvent être trouvés en suivant les liens dans les articles répertoriés. TousAntiCovid est une application mobile de suivi des contacts qui a d’abord été utilisée dans le cadre de la pandémie de Covid-19 en France pour avertir d’une probable transmission avec une personne infectée. Pour détecter les contacts, le logiciel utilise le Bluetooth basse consommation des téléphones portables compatibles. L’initiative a été initiée par le gouvernement français et est administrée par l’équipe Privatics d’Inria. Il s’agit d’une révision de l’application originale StopCovid, qui a été achevée le 22 octobre 20201, 2, 3, 4.
Fin mai 2021, le gouvernement y a ajouté un autre élément clé : l’enregistrement du pass sanitaire français, qui permet de traverser les frontières intérieures européennes et d’assister à certains grands événements.
Plusieurs dizaines de millions de personnes ont téléchargé l’application.
La première expérience a rencontré une résistance au concept de recherche des contacts, ce qui a suscité des inquiétudes concernant un manque de surveillance médicale, des doutes sur l’utilisation des données obtenues et des critiques sur l’exécution et les risques impliqués.
En plus des plans de santé nationaux, la Corée du Sud, la Chine et Singapour mettront en œuvre des applications de suivi des contacts mobiles en février et mars 2020 dans le cadre de la pandémie de Covid-19. 5. Le secrétariat d’État au numérique en France a d’abord indiqué qu’il n’était pas engagé sur un projet de traçage fin mars 2020. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, le défend en disant : « Ce n’est pas dans la culture française 6 .”
La préparation à la sortie de détention le 11 mai 2020 conduit à des discussions sur la manière d’éviter une nouvelle poussée de la maladie. 7. Le suivi des contacts est souvent décrit comme une précaution nécessaire, avec 30 000 personnes nécessaires, selon Jean-François Delfraissy, président du comité scientifique Covid-19. Ce groupe serait chargé d’éduquer, de recommander des options de confinement appropriées et d’examiner les relations de la personne. Seules les enquêtes bénéficieraient d’une application mobile. 8. Le Conseil national du numérique, dans son rapport du 24 avril 2020, a un point de vue similaire, déclarant que « les applications de type StopCovid ne sont qu’une partie de la réponse sanitaire, dont l’efficacité dépendra sans aucun doute davantage des mesures de distanciation physique et de la disponibilité. des tests.” Dix. Le concept d’autoriser d’autres exceptions de confinement aux personnes qui ont téléchargé l’application sur leur téléphone a également été rapidement ignoré 10.
StopCovid, la première application, a été autorisée par l’Assemblée nationale et le Sénat le 27 mai 2020, et fait partie des mesures de déconfinement du 11 mai 2020. TousAntiCovid est une nouvelle version qui prend effet juste avant le nouveau confinement du 30 octobre 2020. TousAntiCovid intègre l’usage d’un pass santé à partir de mai 2021, en plus de ses capacités de base pour identifier les interactions dangereuses.