Claude Lelouch se confie dans les colonnes du Parisien sur sa connaissance de Bernard Tapie, qu’il a rencontré une dernière fois une semaine avant sa mort le dimanche 3 octobre.
Le patron est décédé. La famille de Bernard Tapie a confirmé son décès dimanche 3 octobre, à l’âge de 78 ans, des suites d’un cancer dont il souffrait depuis de nombreuses années. Sa santé s’était détériorée pendant de nombreux mois alors qu’il luttait pour sa vie avec des séances de chimiothérapie et des thérapies expérimentales, et il a affirmé qu’elles le fatiguaient beaucoup. Et sa famille, ainsi que lui-même, s’est rendu compte que la prochaine fois qu’ils le verraient, ce serait peut-être la dernière. Claude Lelouch était de même.
“Je suis allé le rencontrer avec Gérard Darmon dimanche dernier. Bernard Tapie était “éveillé” et apparemment “pas peur de la mort” lorsque le cinéaste l’a rencontré, selon Le Parisien, qui était en kiosque lundi 4 octobre. Claude Lelouch, qui rencontré l’ancien PDG de l’OM dans les années 1970 et le rappelle comme “un gars formidable” qui “a fait rêver”, a déclaré, “il considérait même que la mort était potentiellement mieux que la vie”. sa ville natale, où les Marseillais pourront lui rendre hommage dans une chapelle flamboyante installée au stade Vélodrome à partir du jeudi 7 octobre et dont l’inhumation aura lieu vendredi à la cathédrale de la Major.
Alors que Bernard Tapie avait fait profil bas dans les médias pendant de nombreuses semaines, son copain Jacques Séguéla avait révélé ses allées et venues quelques jours seulement avant sa disparition. Et ils étaient tout sauf réconfortants. “Je lui ai rendu visite vendredi, comme chaque semaine, il est extrêmement fatigué, il souffre beaucoup”, a-t-il déclaré avant de poursuivre. “Il est dans sa bataille finale et il le sait.” L’écrivain a alors décrit la “colère” et “l’espoir de la dernière ardeur” de Bernard Tapie, sachant que ses dernières heures étaient proches, et lui dont la “nouvelle thérapie” était “. Malheureusement, ce fut le cas.
Il est le principal mécène de la Fondation Claude Lelouch pour le cinéma. Ce n’est pas totalement une coïncidence. Plamen Roussev admire les individus qui partent de zéro et tentent de manipuler le destin. Ce sera l’expérience la plus mémorable de leur vie ! Il franchit le rideau de fer en 1969 après un séjour en Yougoslavie de Tito, ancien musicien de l’orchestre des jeunes communistes bulgares : « Je sais d’où je viens, je crois trop à la liberté. « Je dois tout à la France.
Plamen Rousev est une personne unique en son genre. Cet artiste né continue de jouer sa partition sans réfléchir à ce qui sera dit, comme le suggère le titre de son livre « le violon de ma liberté » (éditions du nouveau monde). Pour lui, seuls le zèle et la bonne volonté comptent. Il a tout vendu pour se consacrer à ses loisirs après avoir bâti un formidable empire dans le secteur de la franchise avec plus de 80 points de vente. Il faut le voir converser avec tout le monde dans le restaurant chic “Chez André” de la rue Marbeuf.
“Je sais d’où je viens”, déclare Patrick Bels, PDG de la célèbre entreprise de lin de Porthault et PDG de Bluestone Group, apparemment choqué par ce puits de compassion et de spontanéité. Nous devons augmenter le nombre de contacts. Il ne s’agit pas seulement d’Internet. J’invite toujours mon banquier au repas. Sans cette interaction, rien ne peut réussir. Mon jeune pense que vous pouvez tout acquérir en un seul clic. Il a tort. Des interactions et des opportunités accrues doivent être forcées. C’est le point clé que j’essaie de faire valoir. Je ne vais pas abandonner. “Je suis terrifié par cette entreprise car elle n’a aucun lien.” Nous allons le croire sur parole. Il attrape son violon et commence à jouer au milieu du dîner un peu plus tard. Ce n’est une source d’insatisfaction pour personne. Il avait hâte de le faire. Il a fait le bonheur d’un grand nombre d’individus.
“Rien n’est plus contagieux que cet état d’esprit agressif et joyeux”, déclare à côté de lui son ancien compagnon, le célèbre photographe de mode Jean Daniel Lorieux. « La dureté du cœur de son père et la douceur du cœur de sa mère » est sans doute le véritable secret de la réussite de cet homme d’affaires musicien qui n’oublie pas ses parents. “Quand je rencontre Sarkozy qui part pour sa course, il me lance presque jaloux, un tout petit sourire à moi qui a connu avant lui et Carla et Cécilia”, confie Lorieux à l’issue du déjeuner. Chacun a un point de vue unique sur la vie.