Arthur Teboul Parents : Arthur Teboul a une nuée de consommateurs satisfaits qui le soutiennent. Lui et ses amis du lycée m’ont nourri dans un appartement de deux chambres au vingtième étage d’un immeuble du 20e arrondissement de Paris, un quartier aisé, pendant dix ans tout en écoutant Led Zeppelin et en appréciant la puissance narrative de Jacques Brel. Mes deux jeunes frères sont actuellement inscrits à l’université. Un propriétaire d’entreprise et opérateur en relations publiques : Quand j’étais jeune, mon père possédait une petite agence de communication visuelle. De plus, il a contribué à la conception de brochures et d’affiches, entre autres. Quand j’avais des présentations ou des papiers à envoyer pour l’école, je pouvais toujours compter sur lui pour travailler à son bureau quand j’en avais besoin. Le point culminant de nos efforts de collaboration est que nous avons produit un magnifique meuble avec une excellente reliure et une couverture en plastique.
De plus, il est peintre depuis son enfance. Du fait de son intérêt pour le sujet, il a travaillé avec mon frère cadet, diplômé des Beaux-Arts, pour créer le packaging de mon dernier album, Palais d’argile. Le poste de chargée de communication était occupé par ma mère alors qu’elle travaillait chez EDF. Immédiatement après 1968, je me suis inscrit dans une école primaire publique expérimentale appelée Vitruvius (une école autogérée), où l’enfant est traité comme un individu autosuffisant. Il y avait des élèves dans la classe qui assumaient le rôle de médiateurs et arbitraient les désaccords entre camarades de classe. Cela a toujours été un endroit particulier dans mon cœur pour me souvenir de ceux qui m’ont enseigné quand j’étais ici. Je considère le CE1 comme un tournant dans mon parcours académique. L’idée de créer une école en ZEP pour les jeunes de mon quartier qui en avaient déjà marre du système scolaire m’a paru une bonne idée quand j’étais en sixième. C’était, à mon avis, l’une des réglementations les plus contraignantes. J’avais besoin de dépendre de l’aide des autres pour m’émanciper.
Je ne me sentais pas gêné de prendre le chemin le moins fréquenté. Suite à une conversation avec un voisin, ma mère a décidé de déposer ma candidature au Lycée Louis-le-Grand en préparation de mon inscription en seconde à l’école. La possibilité de travailler pour une organisation gouvernementale réputée pour sa rigueur intellectuelle a piqué mon intérêt et j’ai postulé avec enthousiasme. Beaucoup de mes camarades acolytes du feu étaient présents, ce qui était super à voir ! Mes amis proches Sébastien, Chatterton et Clément sont tous membres du groupe. Les jours de Louis-le-premier Grand furent remplis d’aléas et de dangers. Cela m’a fait passer d’une 18e année à une 6e année en deuxième année pour passer d’une classe d’enseignement général au collège à la deuxième année. Cependant, ce n’est que par mes efforts que j’ai pu vaincre l’obstacle. Durant cette période, je suis devenu plus amusant pour compenser mes lacunes académiques. Aller à l’école m’a apporté plusieurs avantages. Mes déclassements m’ont permis d’acquérir une certaine mobilité sociale et culturelle grâce à cela. Après avoir terminé mon baccalauréat, j’ai intégré le programme de préparation HEC du Lycée Carnot.
Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi ils ne pouvaient pas se réunir, même s’il était parfois possible de voir la lune pendant les heures quotidiennes. Cela se résumait à une question philosophique. Quand j’avais quatre ans, la première fois que je l’ai entendu, j’ai sauté entre les deux sièges arrière près de l’amplification acoustique. J’aime beaucoup Le Petit Cheval et La Mauvaise Réputation, qui comprennent tous deux la voix et le style de langage uniques de Brassens, ainsi que La Mauvaise Réputation. Au fil du temps, mes camarades de CM2 et moi avons enregistré des versions émotionnelles de nos chansons préférées dans nos booms, que nous avons ensuite utilisées dans nos performances. J’avais 30 CD emballés dans deux importants boîtiers portables quand je suis arrivé. Des voix supplémentaires ont été interprétées, notamment “Should I Leave?” de David Charvet, R. Kelly et 2B3, ainsi que d’autres pièces de R. Kelly et 2B3. Les débutants en douceur ont plus de difficultés que ceux qui démarrent du bon pied. Parce que j’étais trop petit pour mon groupe social, les femelles me taquinaient et se moquaient de moi. Si je vais chanter Titanic de Céline Dion, je vais canaliser mon Leonardo DiCaprio intérieur et chercher le Rose Raft dans le processus.
Arthur Teboul Parents
Rap, Skyrock et Difool étaient le genre de musique que j’écoutais tout au long des premières années de ma carrière universitaire. J’ai appris à chanter les chansons de Tryo quand j’étais jeune, un peu comme beaucoup d’amis. Enfin, dans le quatrième, un dispositif semblable à une bascule est apparu. Ma passion pour la musique a commencé avec Jimi Hendrix dans les années 1970 et s’est poursuivie avec Ben Harper, dont j’ai écouté les CD sans fin sur mon iPod tout en prenant le bus scolaire pour aller et revenir de l’école pendant de nombreuses années.
Où avez-vous passé votre enfance et dans quel environnement ?
Quand j’avais des présentations à l’école ou des devoirs à rendre, je savais qu’il serait à son bureau en train de travailler. Nos efforts ont abouti à un magnifique meuble avec une magnifique reliure et une couverture en plastique.
Il peint depuis qu’il est tout petit. Il a travaillé avec mon jeuneeuh mon frère, diplômé des Beaux-Arts, pour développer le packaging de mon nouvel album, Palais d’argile. Ma mère travaillait à EDF comme communicante. Puis en 1968, je suis allé dans une école primaire publique expérimentale nommée Vitruvius (une école autogérée). Certains élèves de la classe ont joué le rôle de médiateurs, résolvant les disputes. Les gens qui m’ont enseigné pendant que j’étais là-bas me seront toujours chers. Le CE1 a changé mon parcours universitaire. Quand j’étais en sixième, je pensais que ce serait une excellente idée de créer une école en ZEP pour les jeunes de mon quartier qui en avaient marre de l’école. C’était l’une des lois les plus strictes. Pour être libre, j’avais besoin de l’aide des autres. Cela ne me dérangeait pas de suivre mon propre chemin. Après en avoir parlé avec une voisine, ma mère a décidé de postuler au lycée Louis-le-Grand pour mon inscription en seconde. Travailler pour une organisation gouvernementale réputée pour sa rigueur intellectuelle m’attirait. Beaucoup de mes acolytes du feu étaient là ! Mes potes Sébastien, Chatterton et Clément. Les jours de Louis-le-premier Grand sont difficiles.
Le couple Arthur Teboul ?
D’une classe d’enseignement général au collège jusqu’au CE1, je suis passé de la 18ème à la 6ème. Malgré mes efforts, j’ai réussi à vaincre l’obstacle. Je suis devenu plus spirituel pour compenser mes lacunes académiques pendant cette période. L’école m’a beaucoup apporté. Suite à mes déclassements, j’ai acquis une mobilité sociale et culturelle. Après mon bac, j’ai intégré la préparation HEC du Lycée Carnot.
Je ne voyais pas pourquoi ils ne pouvaient pas se rencontrer, même s’ils pouvaient voir la lune pendant la journée. Is es una teori Quand j’avais quatre ans, je bondis entre les deux sièges arrière près de l’amplification acoustique. Le Petit Cheval et La Mauvaise Réputation sont mes pièces préférées de Brassens. Mes amis CM2 et moi avons commencé à enregistrer des interprétations émouvantes de nos chansons préférées pour notre boom. Quand je suis arrivé, j’ai apporté 30 CD dans deux énormes caisses. Les autres chansons interprétées étaient David Charvet, R. Kelly et “Should I Leave?” de 2B3. Les démarreurs progressifs ont plus de mal que les démarreurs solides. Les filles m’ont taquiné parce que j’étais trop petit pour mon groupe de pairs. Si je chante Titanic de Céline Dion, je chercherai le Rose Raft.
Pendant ma première année de fac, j’ai préféré le rap, le Skyrock et le Difool. Comme beaucoup de mes contemporains, j’ai appris à chanter Tryo étant enfant. Dans le quatrième, un mécanisme en forme de balançoire a fait ses débuts de Jimi Hendrix dans les années 1970 à Ben Harper, dont j’ai écouté les CD sans fin sur mon iPod en prenant le bus scolaire.
L’âge d’Arthur Teboul ?
Nous discuterons des difficultés soulevées par les étudiants cette semaine mercredi prochain et tenterons de trouver une solution. Nous acquérons notre liberté parce que nous agissons. Cette formation m’a fait aimer les voyages en groupe. Cela vient après une visite instructive de L’Amiral des mots de Pierre Aroneanu, adapté pour les étudiants locaux. Il pleut beaucoup pendant que nous avançons. C’était bien de ne pas dormir dans un dortoir. Nous étions cachés derrière un immense rideau en forme de U juste avant le début du spectacle. Après mon discours, j’ai été le premier à sortir du bâtiment. A chaque fois, j’ai ressenti une poussée d’adrénaline. Mon père est un peu dramatique. Je le connais bien et passe beaucoup de temps avec lui. Sa capacité à me tenter d’aller à la bibliothèque et d’écouter de la musique sans me faire sentir obligée est belle. Il aimait la pop française. A mon arrivée, j’ai trouvé une platine vinyle et une collection de disques de Georges Brassens et de Charles Trenet dans la chambre de mon père et de mon oncle avec ma grand-mère.
Des liens inexplicables le liaient à Barbara le dimanche matin. Mais nous n’écoutons pas seulement de la musique dans la voiture. Nous partons en croisière de vacances en Espagne. Nous voulons vous aider avec un classificateur de CD. Les petits matins commençaient toujours avec Harvest de Neil Young résonnant dans les haut-parleurs du véhicule au lever du soleil. Nous avons obtenu le catalogue Polnareff d’un service de station de radio car nous avions perdu notre classificateur. On a entendu ça dans nos têtes tout l’été.
