Cécile Bloch était une jeune fille française de 11 ans qui a été tuée par le policier François Vérove dans le 19e arrondissement de Paris, France (également écrit Verove). Le meurtre faisait partie d’une série de crimes odieux qui ont secoué Paris de 1986 à 1994. [1] Fin septembre 2021, l’ancien policier français François Vérove a avoué le meurtre de 1986 ainsi que les autres meurtres de Le Grêlé (le type grêlé) dans une lettre de suicide. [2] [3] [4] Le meurtre était lié à deux meurtres précédents et à six viols par ADN recueilli sur le site. La mère de Bloch, Suzanne, a contacté le téléphone fixe de la famille juste après midi le 5 mai 1986, pour confirmer que Bloch était arrivé à la maison pour le déjeuner. Suzanne a contacté l’école de sa fille lorsque Bloch n’a pas répondu et a appris qu’elle ne s’était pas présentée en classe ce jour-là. Suzanne et son mari Jean-Pierre préviennent l’agent de sécurité de leur immeuble et se mettent à la recherche de leur fille.
[7] [8] Le cadavre de Bloch a été découvert à moitié nu dans le sous-sol sous un vieux tapis. [7] Elle a été violée avant d’être étranglée et poignardée. Bloch avait été étranglé et poignardé à la poitrine, selon les enquêteurs. [10] Son corps était à moitié nu et du sperme était présent, indiquant qu’elle avait été violée. [7] La police a construit un composite de visage du meurtrier en série soupçonné d’avoir tué Bloch en 1986 en utilisant l’ADN et les déclarations de témoins. [6] Fin septembre 2021, François Vérove, 59 ans, a revendiqué les crimes après que les autorités ont commencé à enquêter sur lui et qu’il devait faire un don d’ADN à la police. Il a été découvert mort dans la ville balnéaire du Grau-du-Roi près de Montpellier, en Occitanie, après s’être commis et avoir laissé une note de suicide revendiquant la responsabilité du meurtre et des viols et meurtres précédents. Le Grêlé, aussi connu sous le nom de François Vérove, a passé les dernières années de sa vie dans l’Hérault à La Grande-Motte. Pour la première fois, sa femme évoque les heures qui ont précédé sa mort, au Grau-du-Roi, dans un résumé de l’interrogatoire obtenu par Le Parisien.
La longue recherche de Hail, qui a dupé des dizaines de personnes avec son secret depuis plus de 35 ans, s’est achevée le 29 septembre au Grau-du-Roi. Il était bon voisin et père de famille à Montpellier lorsqu’il travaillait au commissariat central, à Prades-le-Lez lorsqu’il devint conseiller municipal, et même à La Grande-Motte lorsqu’il était bon voisin et père de une famille.
François Vérove a vécu ses dernières années en tant que chef de famille décent dans la célèbre station balnéaire de l’Hérault. Il est à des années-lumière de ses actes odieux. Ce sera une douche froide pour la famille de François Vérove lorsque DNA prend la parole le 29 septembre et que les détectives découvrent le lien entre lui et Le Grêlé. Pour la première fois, sa femme décrit les dernières heures du tueur en série, son départ de chez lui et ses derniers propos.
Affaire Le Grelé
Sa femme, avec qui il était marié depuis 1985, décrit les jours qui ont précédé son suicide dans un article obtenu par Le Parisien. “Il m’a embrassée et m’a dit au revoir, chérie”, dit-elle. La date est le 27 septembre, et François Vérove enfourche son vélo et s’éloigne de leur domicile de La Grande-Motte ce jour-là.