Affaire Bletry. Suite à la condamnation de l’agresseur, l’affaire Christelle Blétry est devenue l’affaire Pascal Jardin. Pascal Jardin a poignardé à mort Christelle Blétry, 20 ans, le 28 décembre 1996 à Blanzy, en Saône-et-Loire. Christelle Blétry fréquente le lycée professionnel agricole de Verosvres en tant qu’élève interne.
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Aspirer à devenir puéricultrice est son métier de rêve. C’était
La première rencontre de Christelle avec l’homme qui a tenté de la contraindre à des relations sexuelles à trois avec lui sous la menace d’un couteau après qu’elle l’ait suivi pendant un certain temps.
Lorsque Christelle travaillait comme stagiaire au centre communautaire, elle a été abordée à deux reprises par un rôdeur qui a escaladé la clôture pour s’enfuir2. Christelle n’est pas rentrée chez elle ce soir-là, le 28 décembre 1996, après avoir passé la soirée avec des amis non loin de là.
Ses compagnons insistent pour qu’elle les quitte à minuit et rentre chez elle à pied. Une connaissance, une jeune serveuse, l’a aperçue sur le chemin du retour. Il a fallu près d’une décennie à l’enquête de la police judiciaire de Dijon pour enquêter sur les 27 suspects, mais personne n’a jamais été arrêté. En hommage à sa fille, Marie-Rose crée l’association “Christelle” pour retrouver le responsable de la mort de sa fille.
Plusieurs autres parents dont les filles avaient été retrouvées mortes dans la même région générale depuis le milieu des années 1980, plus précisément un triangle de cent kilomètres entourant l’autoroute, ont rapidement rejoint son mouvement de soutien à l’enquête. A6. Corinne Hermann et Didier Seban, deux avocats parisiens spécialisés dans les cold cases, sont engagés en 2001.
Au commissariat de Bordeaux, il avoue le meurtre de Christelle et pleure en demandant pardon à sa famille, mais quelques semaines plus tard, il a changé son histoire, disant que l’enquêteur lui avait extorqué de l’argent.5
Y a-t-il des leçons à tirer en cinq ans ?
Le 30 octobre 2015, un incendie dévastateur a ravagé une discothèque de Bucarest, brisant le fragile sentiment de sécurité de la Roumanie. Il y avait une ruée parmi les fêtards dans le sous-sol du club Colectiv alors qu’ils se précipitaient pour la seule évasion. Des milliers de personnes sont descendues dans la rue pour critiquer la corruption généralisée dans le pays, qui a conduit à la chute du gouvernement une semaine après la tragédie. Cinq ans plus tard, qu’avons-nous appris de nos erreurs ? C’est l’histoire que nous avons racontée alors que les survivants se battaient pour la justice. On estime qu’au moins 27 personnes ont été tuées dans l’incendie de la discothèque de Bucarest, mais ce chiffre a plus que doublé au cours des semaines et des mois suivants en raison du système de santé obsolète de la Roumanie : hôpitaux sales ; désinfectants réduits par les fabricants pour faire des économies. Des protestations de colère se sont développées contre l’insonorisation inflammable de mauvaise qualité du club, qui a pris feu, et accuse les propriétaires du club d’avoir rogné sur les procédures de sécurité pour économiser de l’argent. Par un froid vendredi soir d’hiver à Beaune (Côte-d’Or), les pubs de la route des Grands Crus sont bondés. Entre potes, Virginie Bluzet, 21 ans, se détend. Une bagarre entre la jeune femme et son petit ami éclate et elle quitte la scène. Son visage était couvert d’un bâillon lorsqu’il a été découvert ligoté et à moitié nu dans la Saône à Verdun-sur-le-Doubs (Saône et Loire) le 17 mars 1997. Le 24 septembre, le parquet de Dijon a demandé le non-lieu dans cette affaire et la clôture de l’enquête. Comme le dit le père de Virginie Bluzet, Michel Buzet, « je ne comprends pas ». Michel Bluzet n’a jamais renoncé à découvrir qui a tué sa fille. C’est comme s’ils étaient prêts à abandonner et à continuer. Que personne ne se souciait de la perte de ma fille, cette proposition se heurtera à l’opposition de l’avocat de la famille Bluzet, Didier Seban, qui comparaîtra mercredi devant le tribunal de Dijon.
Concernant les ressemblances avec le scandale Blétry ?
Pour Me Seban et sa collègue, Me Corinne Herrmann, la recherche de la vérité concernant la mort de Virginie Bluzet prend plusieurs directions. Pour le meurtre de Christelle Blétry, survenu quelques semaines seulement avant la disparition de Virginie et perpétré à moins de soixante kilomètres de Beaune, on dit que la piste revient à Pascal Jardin. Il a été condamné à la prison à vie en 2017 puis à nouveau en 2018 après un appel. Christelle Blétry était une jeune femme au joli visage, un peu comme Virginie Buzet. Elle a disparu dans les airs alors qu’elle sortait avec des copains, dont Virginie Bluzet. Le repaire de Pascal Jardin à Torcy, le Tropicana, était aussi à l’époque le lieu de prédilection de Christelle Blétry et Virginie Bluzet.
Ce sexagénaire au profil inquiétant a tellement de composantes que les avocats de la famille Bluzet demandent des investigations complémentaires. Daniel Zagury, un psychiatre qui a témoigné lors du procès de Jardin, a évoqué les “tendances psychopathes” de Jardin et a comparé sa conduite à celle des “délinquants sexuels et des meurtres en série” lors de son témoignage. Selon le médecin, la méthode de l’assassin était également “compatible avec la conduite d’autres crimes”. “
L’assassin qui a assassiné Christelle Blétry a également montré un côté sinistre dans ses deux procès. Interrogé sur la mort de la jeune femme, il a déclaré qu’elle avait frappé à la vitre de son véhicule, qu’ils avaient eu des rapports sexuels et qu’elle avait disparu. Il a informé le tribunal que le scénario n’était pas unique et avait un souvenir clair d’un événement comparable. Selon Mes Didier Seban et Corinne Herrmann, “la justice n’a jamais fait correspondre l’ADN de Pascal Jardin avec l’ADN des sceaux de Buzet”. Elle n’a également jamais tenté de vérifier les actions et le parcours de Pascal Jardin à la mort de Virginia. Des sources proches de l’enquête ont déclaré que “rien ne semble vraiment le lier à cette affaire”. Le meurtre de Virginie Bluzet, proche de sa personnalité et de sa localisation, nécessite une enquête plus approfondie”, déclare-t-il. Le deuxième procès revient à Michel Fourniret, qui doit faire l’objet d’une enquête plus approfondie. Selon les avocats de Michel Bluzet, numismate à Dijon, le tueur en série “a fait rage à plusieurs reprises” et “s’est souvent rendu à Dijon pour échanger de l’or avec un numismate”. L’ex-femme Monique Olivier a également déclaré lors d’un interrogatoire que le couple était responsable d’un “meurtre perpétré en 1997”. Il n’y a jamais eu de cas où ces propos ont été liés à une condamnation pénale.
Patients atteints de schizophrénie : effets de l’aripiprazole sur l’occupation des récepteurs D2, 5-HT2 et 5-HT 1A : une étude TEP triple traceur ?
En même temps, l’aripiprazole a un profil pharmacologique qui comprend un agonisme partiel au niveau des récepteurs D2, un antagonisme au niveau des récepteurs 5-HT2 et un agonisme partiel au niveau des récepteurs 5-HT1A. Les chercheurs ont utilisé des TEP pour étudier les effets de l’Aripiprazole sur les récepteurs D 2, 5-HT 2 et 5-HT 1A simultanément chez des personnes atteintes de schizophrénie ou de schizophrénie-trouble schizo-affectif. Dans cette étude, 12 patients qui avaient déjà reçu des antipsychotiques ont été randomisés pour recevoir de l’aripiprazole à des doses de 10 mg, 15 mg, 20 mg ou 30 mg. Le [11 C]raclopride, le [18 F]setoperone et le [11 C]WAY100635 ont été utilisés dans des TEP à haute résolution après au moins 14 jours de traitement. L’occupation structurelle des récepteurs D 2 était de 87 % dans le putamen, 93 % dans le caudé, 93 % dans le striatum ventral et 91 % dans le caudé. L’occupation des deux récepteurs 5-HT variait de 54 % à 60 %, tandis que l’occupation des récepteurs 5-HT 1A variait de 52 % à 60 %. (16 pour cent). Les niveaux d’occupation D 2 étaient fortement associés aux concentrations plasmatiques de médicament, et même la dose la plus faible (10 mg) entraînait une occupation de 86 %. Seuls deux des quatre sujets avec des taux d’occupation supérieurs à 90% ont eu des effets secondaires extrapyramidaux. L’aripiprazole a un profil d’occupation distinct par rapport aux autres antipsychotiques conventionnels et atypiques. Des effets secondaires extrapyramidaux excessifs semblent rares même à des occupations au-delà du seuil traditionnel de 80 % pour les effets secondaires extrapyramidaux, et l’occupation 5-HT 2 est inférieure à l’occupation D 2 . Le mécanisme d’action de l’Aripiprazole est exploré.