Affaire Alain Schmitt. L’entraîneur de judo Alain Schmitt a été relaxé vendredi par la cour d’appel de Paris après avoir été accusé d’agressions domestiques contre la médaillée d’or olympique Margaux Pinot. Suite à cette décision, la décision de première instance est maintenue.
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Alain Schmitt a été libéré pour la deuxième fois. Un appel de la joueuse de judo Margaux Pinot devant la cour d’appel de Paris a été rejeté vendredi dernier pour des allégations de violence domestique commises par son ancien partenaire et entraîneur de judo en novembre 2021. Ce procès en appel a entendu des arguments en avril.
Le tribunal correctionnel de Bobigny avait auparavant acquitté Alain Schmitt en première instance, et le parquet avait recommandé à son encontre un an de prison avec sursis.
Alain Schmitt devrait donner une conférence de presse le lundi 13 juin, à l’issue de la réunion, où il devrait être relocalisé. Une affaire de violences conjugales au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) qui apparaissait d’abord comme un cas typique de violences conjugales, qui a été immédiatement jugée au tribunal de Bobigny tard dans la nuit, s’est avérée être une affaire beaucoup plus opaque que prévu, qui a pris une couverture médiatique et une coloration sociétale inattendues.
En fin d’année dernière, la libération judiciaire d’un ancien membre de l’équipe de France, suivie de la publication par Margaux Pinot d’une photo de sa tête abîmée sur les réseaux sociaux, ont déclenché un tollé contre les violences faites aux femmes. Pendant des jours, les ex-amants ont répété le procès devant des journalistes et des caméras de télévision.
Certaines des personnalités sportives et politiques les plus en vue au monde, telles que Roxana Maracineanu et Teddy Riner, ont ouvertement soutenu le médaillé d’or de 27 ans de l’équipe de France mixte qui a été brusquement propulsé aux yeux du public comme un symbole de violence domestique. Ils ont tous deux eu de nombreuses ecchymoses le 28 novembre 2021, mais leurs récits des événements étaient si différents qu’ils ne pouvaient pas être réconciliés.
Une affaire extrêmement médiatisée ?
Même si le procès du Blanc-Mesnil (Seine-Saint Denis) était au départ un cas d’école de violences conjugales, une comparaison instantanée au tribunal de Bobigny a conduit à un jugement plus nuancé qu’anticipé, avec une forte présence médiatique et une contexte sociétal imprévu. La récente publication d’une photo de la tête de Margaux Pinot couverte de fureur sur les réseaux sociaux a suscité un tollé après le renvoi du tribunal d’un ancien membre de l’équipe de France accusé de violences conjugales. Le procès avait été raconté à plusieurs reprises par les ex-petits amis lors de conférences de presse et sur des plateformes médiatiques diffusées au fil des jours qui s’étaient écoulés. Le soutien public au médaillé d’or de 27 ans aux derniers Jeux olympiques est venu d’un certain nombre d’athlètes et de politiciens de haut niveau, dont Teddy Riner et Roxana Maracineanu. Les deux personnages principaux, qui auront chacun plusieurs ecchymoses, livreront des récits diamétralement opposés de ce qui s’est passé dans la nuit du 28 novembre 2021. S’apprêtant à embarquer dans un avion pour Israël cette même nuit, le médaillé de bronze de la Coupe du monde 2013 (-81 kg) Sa prise de position pour démissionner du club White-Mesnil va entraîner le développement d’un lien affectif qui sera plus tard qualifié de “poison”. Il avait rejoint les judokas à son appartement après quelques verres avec ses copains. Vers 2 heures du matin, le couple s’est séparé. Dans son déni de toute blessure à son ami, Alain Schmitt, 38 ans, a affirmé qu’il ne l’avait pas frappé. À l’âge tendre de 28 ans, Margaux Pinot s’est identifiée comme quelqu’un qui nie toute implication dans des actes violents. La Fédération israélienne de judo a annulé un partenariat prévu avec Alain Schmitt après cet incident. Ce dernier accueille désormais les élections nationales pour les hommes et les femmes en Bulgarie. Margaux Pinot a décroché le bronze aux Championnats d’Europe de judo à Sofia, en Bulgarie, fin avril.
Le judo bulgare dit qu’il est acceptable d’embaucher un entraîneur français qui a été impliqué dans une violente dispute domestique ?
Bien qu’il ait été accusé de violence conjugale par son ancienne petite amie, Margaux Pinot, Alain Schmitt, entraîneur et judoka, a été disculpé après avoir remporté un appel. Un arrêt qui confirme l’arrêt d’avril du tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis), rendu en première instance. La justice était d’accord avec Alain Schmitt. En raison de son rôle de professeur de judo dans l’affaire de violence conjugale contre son ex-épouse, Margaux Pinot, la cour d’appel de Paris l’a libéré. similaire à la décision rendue en avril de cette année. En décembre 2021, il y avait beaucoup de buzz autour de cette affaire. La star du judo Margaux Pinot a partagé une photo de son visage blessé sur les réseaux sociaux. Après avoir été victime d’une agression contre la maison de son fils par son entraîneur, elle s’est rendue sur Twitter pour expliquer son calvaire. Avais-tu peur? C’était un niveau de sauvagerie que je n’avais jamais vu auparavant. “Même si je pratique un sport violent”, lors d’un témoignage devant les autorités, la judoka a déclaré qu’elle était allongée dans son lit lorsque sa colocataire, qui était rentrée chez elle ivre après un verre d’adieu, s’est mise à dire “des choses méchantes”. Pour la renverser, attrapez-la par les cheveux et claquez-lui la tête contre le sol. Montez sur elle et continuez à la frapper jusqu’à ce qu’elle s’effondre. Avant qu’elle ne puisse partir, il aurait tenté de l’étrangler dans une autre pièce. “J’aurais péri s’ils n’avaient pas été là”, a-t-elle affirmé. De nombreuses personnes se sont prononcées en faveur d’Alain Schmitt après sa libération : la championne française de judo Clarisse Agbégnénou s’est dite « choquée » par la décision du tribunal ; Teddy Riner s’est interrogé : « Que faut-il faire pour garantir que les victimes soient entendues ? Amandine Buchard a déclaré: “Aujourd’hui, c’est difficile à dire, mais tant qu’il n’y a pas de mort à la fin, ça reste 50/50.” Pour faire tomber la justice, qu’attend-elle pour “… punir” ?
Y a-t-il un problème?
Après s’être rencontrés au club de l’Étoile Sportive du Blanc-Mesnil, Alain Schmitt et Margaux Pinot entretiennent depuis une relation secrète. Au cours de leurs deux essais, le différend Blanc-Mesnil n’a été modifié par aucun des athlètes de cette manière. Malgré le fait qu’il devait partir en Israël dans quelques heures pour assumer le poste d’entraîneur-chef de l’équipe nationale féminine, le technicien s’est disputé avec Margaux Pinot en pleine nuit. Il raconte une dame enragée par l’envie et la fureur qui l’attaque comme une “tornade”, en s’appuyant sur des techniques de judo. Selon leur histoire, les deux causent souvent des dommages à la propriété en se cognant contre les murs et autres meubles. Selon lui, tout ce qu’il a livré est une seule frappe à son ami. Lorsque Margaux Pinot se souvient de l’incident, elle décrit une explosion violente de son ancien instructeur, notamment des cheveux tirés, des coups au visage et une tentative d’étranglement. “Il m’a cogné la tête contre le sol deux ou trois fois.” À plusieurs reprises, elle a décrit comment il avait procédé pour l’étrangler. Le judo “m’a définitivement sauvée”, a-t-elle déclaré au bar par la suite. Les jours suivants ont révélé des ecchymoses importantes sur chacun des personnages principaux. Le troisième événement d’escalade dans ce différend juridique n’est pas connu. Alain Schmitt a été libéré pour la deuxième fois. La judoka Margaux Pinot avait accusé son ex-compagnon, le professeur de judo, d’activités de violence conjugale en novembre 2021, mais la cour d’appel de Paris l’a rejetée vendredi dernier. Cet appel a été entendu par un panel de juges en avril. Après qu’Alain Schmitt a été déclaré non coupable par le tribunal correctionnel de Bobigny, le parquet a requis un an de prison avec sursis.