Les Enfants Du Temps Vf : Les bovins sont infectés par une maladie dégénérative du système nerveux central. La tremblante causée par les prions est une maladie mortelle qui touche à la fois les moutons et les chèvres. La consommation de bœuf a chuté de façon spectaculaire dans les années 1990 en raison des craintes des clients que l’ESB puisse être transmise aux humains par la consommation de cette viande. Le système nerveux central des bovins est infecté et dégénère dans cette maladie. La tremblante causée par les prions chez les moutons et les chèvres est une maladie mortelle. Entre 1986 et les années 2000, une grande épizootie a frappé le Royaume-Uni et quelques autres pays, infectant environ 190 000 animaux, sans compter ceux qui n’auraient pas été détectés.
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De la farine de viande provenant de carcasses non finies de bovins et d’autres animaux est donnée au bétail, ce qui est à l’origine de l’épidémie. Cette épidémie a pris une tournure nouvelle en 1996 lorsque des chercheurs ont découvert que la grippe aviaire pouvait être transmise aux humains en mangeant de la viande ou de la volaille.
Plus de 220 personnes dans le monde sont décédées des suites de la maladie, dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France – dont 1 présentait des symptômes comparables à la maladie de Creutzfeldt-Jakob, une maladie liée à l’ESB, au 24 janvier 2017.
Les médias ont rendu compte pour la première fois de la situation au grand public en 1996. Ils considèrent à la fois les aspects éthiques et économiques de l’élevage, tels que l’utilisation de l’alimentation animale, jusque-là inconnue des consommateurs, et les coûts des nombreuses actions mises en œuvre.
L’utilisation de farines animales dans l’alimentation du bétail a été interdite, de même que la consommation de produits considérés comme à risque, même de certains animaux (par exemple, les animaux âgés de plus de 30 mois au Royaume-Uni), la détection de maladies dans les abattoirs et la détection systématique l’abattage des troupeaux où un animal malade a été observé. Diverses mesures ont été prises pour endiguer l’épidémie et préserver la santé humaine.
Même si 37 cas bovins étaient encore détectés au Royaume-Uni en 2008, l’épidémie est maintenant presque totalement maîtrisée.
Une nouvelle incidence de la maladie de la vache folle a été découverte dans les Ardennes françaises le 23 mars 2016. Il s’agit de la troisième occurrence de cette forme d’ESB en Europe depuis 2015.
La maladie peut prendre beaucoup de temps à incuber chez l’homme, il pourrait donc y avoir plus de cas à l’avenir. À la suite du problème de la vache folle, les processus d’abattoir ont été améliorés, y compris l’élimination de sections particulières du cadavre lors de la découpe et l’amélioration du suivi des animaux. Cette catastrophe a également renforcé la notion de principe de précaution en santé publique.
Chez les bovins, le cerveau et la moelle épinière peuvent être affectés par l’ESB. « ESB » Au microscope optique, les anomalies d’apparence spongieuse qui sont en corrélation avec les neurones vacuolés peuvent être observées dans les lésions cérébrales. Il y a une perte de neurones et une augmentation des astrocytes et des cellules de la microglie (cellules cérébrales à fonction immunitaire). Il y a moins de plaques amyloïdes dans les EST que dans les autres EST, bien qu’elles se développent encore lorsque les agents pathogènes s’agrègent.
Les animaux de plus de deux ans présentent généralement des signes extérieurs quatre à cinq ans après la découverte de la contamination (généralement entre 3 et 7 ans). Premièrement, le comportement de l’animal change ; donner des coups de pied occasionnels, montrer de la peur et de l’hypersensibilité aux stimuli externes (bruit, toucher, lumière) et s’isoler du reste du troupeau sont autant de signes de cette condition. Généralement, la production de lait et le poids de l’animal atteint diminuent, mais sa faim ne diminue pas. Cela peut prendre de quelques jours à quelques mois pour que la maladie progresse, chaque phase de la maladie ayant une durée différente. Le mouvement de l’animal s’est détérioré au point qu’il n’est plus fonctionnel. Il a tendance à trébucher sur ses propres pieds.
La tachycardie et le manque de température sont détectés physiologiquement. Bien que ces symptômes puissent indiquer la présence de l’ESB, ils ne constituent pas une preuve concluante. Étant donné que les anomalies locomotrices, telles que la tétanie des graminées, sont courantes chez les bovins, il peut être difficile de les diagnostiquer.
Qu’est-ce qui cause la maladie de la vache folle chez les bovins?
Quelle est la chance d’un homme de l’attraper? La consommation de viande malade peut transmettre l’ESB aux humains. Le neurologue explique que “quelques cas inhabituels de transmission après une transfusion sanguine d’un donneur infecté ont également été observés”. Une maladie dégénérative de la moelle épinière et du cerveau connue sous le nom de “maladie de la vache folle” (ESB) affecte les bovins. Par exemple, la crise de la vache folle des années 1990 a été causée par une maladie animale qui peut être transmise aux humains et entraîner une « version de la maladie de Creutzfeldt Jakob ». Les tremblements sont le symptôme le plus courant. L’ESB est causée par un « prion », et non par un agent infectieux typique comme un virus ou une bactérie. (Only Particle of Proteinaceous Infectious Nature) Cette dernière est une protéine qui a une forme étrange. Jusqu’à présent, il n’y a pas eu plus de 232 cas dans le monde, dont environ 80 % au Royaume-Uni seulement, selon le Dr Emmanuel Cognat, spécialiste des maladies infectieuses. t à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses.
Y a-t-il un moyen de savoir si vous avez la maladie de la vache folle ?
Lorsqu’un animal meurt de l’ESB, on parle de “maladie de la vache folle”, une expression qui fait référence aux anomalies comportementales et locomotrices de l’animal, ainsi qu’à sa perte d’équilibre et à son hyperexcitabilité (au niveau du son, du toucher et de la lumière) (démarche …24) Après cinq ans, la France a confirmé son premier cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) dans les Ardennes. En 1986, la maladie a été découverte au Royaume-Uni. Comme le montrent les symptômes de l’animal dans les derniers stades de la maladie : perte d’équilibre, troubles du comportement (nervosité, agressivité), hyperexcitabilité (au bruit, au toucher, à la lumière), locomotion irrégulière, l’ESB est souvent qualifiée de « vache folle ». maladie” (démarche bancale).
Le temps d’incubation typique est de cinq ans. Les bovins sont infectés par l’encéphalopathie spongiforme (ESB) lorsque leur alimentation comprend un repas à base de cadavres et d’abats d’animaux infectés par la maladie. Il a également contribué à stopper la propagation de la peste bovine britannique en interdisant l’utilisation de certaines farines. Les trois cas de contamination découverts en Europe en 2015 n’avaient pas de source connue.
Comment soigner la maladie de la vache folle ?
Pour l’ESB, la MCJ ou la vMCJ, il n’y a pas de remède, de thérapie ou de vaccination. Nous évitons les maladies en évitant les aliments d’origine animale et en détruisant tous les animaux malades. Connue familièrement sous le nom de « maladie de la vache folle », l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie mortelle qui affecte le système neural du bétail.
Les maladies à prions, y compris l’ESB, sont observées chez les animaux et les humains. Les variantes animales les plus courantes sont la maladie débilitante chronique chez le cerf, la tremblante du mouton et la maladie de la vache folle. La maladie de Creutzfeldt-Jacob (MCJ), également connue sous le nom de MCJ sporadique (MCJs), le syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker (GSS) et l’insomnie familiale mortelle (IFF) sont toutes des maladies à prion chez l’homme. La variante de la MCJ a été identifiée pour la première fois comme un nouveau type de MCJ en 1996. (vMCJ). Il a été lié à la consommation de viandes infectées par l’ESB.
Pour l’instant, il n’existe aucun remède ni vaccin contre l’ESB. Les animaux infectés présentent un large éventail de signes neurologiques avant de succomber à leur maladie.
Les animaux présentant des signes apparents d’ESB peuvent vivre entre deux semaines et six mois, même s’ils sont infectés depuis huit ans. Après l’infection, l’ESB peut prendre de 30 mois à 8 ans avant que les symptômes n’apparaissent, ce qui rend le diagnostic difficile.
