Affaire Kalinka Krombach. L’histoire de Kalinka Bamberski a été mise au jour pour la première fois en 30 ans car elle soulève de vives inquiétudes quant à l’alliance franco-allemande et au vigilantisme en général. Le psychiatre Dieter Krombach a été reconnu coupable du meurtre en 1982 de sa belle-fille adoptive Kalinka Bamberski et condamné à la réclusion à perpétuité. Après la mort de sa fille, André Bamberski, le père de la fille en France, a demandé aux autorités allemandes d’enquêter sur l’implication de Krombach dans le meurtre en raison de résultats d’autopsie ambigus. En 1995, alors que Krombach était toujours en fuite, les autorités françaises ont engagé des poursuites pénales à son encontre. Le jury a reconnu l’accusé coupable d’homicide involontaire coupable au premier degré. Suite à l’enlèvement du citoyen allemand Krombach en 2009, Bamberski a joué un rôle déterminant dans l’obtention de son transfert en France en son nom.
L’affaire Kalinka Bamberski a un rapport complet sur Wikipédia, qui peut être trouvé à
https://en.wikipedia.org/wiki/Kalinka_Bamberski_case
Il est né en France en 1938 d’immigrants polonais qui ont immigré dans le pays à la fin du XIXe siècle. Ses parents sont nés en Pologne. André Bamberski est un photographe professionnel. Il est le fils d’immigrants français arrivés aux États-Unis à la fin du XIXe siècle. Il est originaire de Pologne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands l’ont amené en Allemagne et en Pologne, où il est resté à ce jour.
André Bamberski était un comptable public agréé (CPA) qui a travaillé dans le secteur bancaire au début des années 1970. Lors d’un de ces voyages, ils ont rencontré et se sont liés d’amitié avec Dieter Krombach (né en 1935), un homme dont la première femme est décédée subitement alors que Krombach n’avait que 24 ans. Gannin et Krombach ont été impliqués dans une relation secrète qui a duré jusqu’en 1977, date à laquelle ils y ont mis fin. Les enfants de Bamberski ont vécu brièvement avec une famille allemande à Lindau, où il a travaillé.
Kalinka Bamberski n’a que 14 ans lorsqu’elle rencontre Robert Bamberski, l’homme qui deviendra son mari, alors qu’elle fréquente un pensionnat francophone en Allemagne. Pour les étés, sa mère et son beau-père l’ont emmenée à Lindau, en Allemagne, où elle a passé du temps avec ses grands-parents. Lors d’un repas du 9 juillet 1982, Krombach aurait été servi de la ferlécite de cobalt, un mélange cobalt-fer qui avait “une saveur forte” qu’il a décrite comme “désagréable”. On pensait auparavant qu’il était utilisé pour le bronzage, mais il a ensuite été utilisé comme traitement de l’anémie. Elle avait négligé d’éteindre la lumière dans sa chambre la nuit précédente, et il l’a découverte morte dans sa chambre la nuit où elle était censée éteindre la lumière. Son dernier effort pour lui sauver la vie a été de lui faire plusieurs injections et d’appeler le 911. Il a fait cette remarque plus tard dans la conversation. Il lui a également fourni des somnifères une nuit particulière.
Une autopsie a été pratiquée deux jours après le décès, mais aucune cause de décès n’a pu être confirmée pour le moment. Les organes sexuels ont été enlevés chirurgicalement avant le début du traitement.
Après les résultats de l’autopsie, André Bamberski a demandé un deuxième examen. Une drogue potentiellement mortelle, Cobalt Wildness, a été administrée sur ses blessures quelques heures seulement avant la mort de Kalinka. Nous voulions tous que les choses soient faites le plus rapidement possible, peu importe le temps que cela prendrait. Il est possible que la personne soit décédée en inhalant des substances nocives ou en étant incapable de digérer le contenu de son estomac. Il avait précédemment déclaré qu’une injection administrée peu de temps après le dîner était plus responsable de l’insuffisance cardiaque, de l’inconscience et de la mort de Krombach qu’autre chose.
Lors de sa campagne de distribution de tracts à Lindau, Bamberski a voulu attirer l’attention sur le fait que Krombach avait été impliqué dans le viol et le meurtre de sa fille en 1982, qu’il avait vue. Parce que Bamberski était inquiet, il n’a pas payé de dommages-intérêts pour diffamation d’un montant de 500 000 marks.
Rolf Body, l’un des avocats allemands les plus connus et les plus respectés du pays, a été engagé par Bamberski pour l’aider à traduire Krombach en justice. Krombach n’a pas tué la jeune fille intentionnellement ou par négligence même après sa mort en 1987.
Est-il nécessaire d’obtenir leur consentement avant de détenir un prisonnier en votre possession ?
Lorsque Dieter Krombach a affirmé son “droit à ne pas être puni deux fois”, il a affirmé que les tribunaux allemands avaient déjà examiné sa situation et soumis son cas à la Cour européenne des droits de l’homme en octobre de la même année. Il a affirmé que les tribunaux allemands avaient déjà examiné la situation asst (CEDH). Si vous échouez, c’est la seule option que vous avez.
Dieter Krombach demande depuis cinq ans sa libération pour raisons médicales, et sa demande a été rejetée. Il a été refusé pour un emploi. En 2016, il a appris qu’il avait des problèmes cardiaques, ce qui a “certainement” atténué son scepticisme.
Parce que les médecins spécialistes étaient d’avis que l’état de santé actuel de l’homme âgé ne nécessitait pas de détention h cet été, il a été autorisé à retourner chez lui. Finalement, après un certain temps, le cœur et le système neurologique du prisonnier ont lâché.
A-t-il été arrêté et détenu à Mulhouse, France ?
Enlevé par André Bamberski et retenu captif pendant plusieurs jours, Dieter Krombach a été secouru ligoté et bâillonné sur un trottoir de Mulhouse (Haut-Rhin) en 2009. Immédiatement après son arrestation, le médecin a été conduit devant la cour d’assises de Londres, où il a été reconnu coupable en 2012 et condamné à de la prison.
Les hommes de main d’André Bamberski comprenaient un Kosovoite et un Géorgien.
Lors de son témoignage, le procureur s’est dit “étonné” par “la persistance et l’ambition” de l’accusé à retrouver les auteurs du meurtre de sa fille.
Pendant quatre mois après la mort de sa fille, André Bamberski était convaincu que Dieter Krombach l’avait violée et tuée pour dissimuler ses crimes sexuels contre elle et ses autres filles. Il a allégué devant le tribunal qu’il avait peut-être joué un rôle dans la mort de quelqu’un d’autre en fournissant au client de Kalinka des somnifères alors qu’il travaillait sans sa permission.
Y a-t-il quelque chose de spécifique que vous craignez de perdre ?
Plus tôt cette année, l’appel de Dieter Krombach devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) était fondé sur une doctrine de droit pénal appelée non bis in idem, “au nom de l’autre”. En 2015, il a demandé une libération conditionnelle pour raisons médicales, ce qui lui permettrait d’être libéré de prison si son état de santé le permet. En 2016, il a obtenu une libération conditionnelle pour des raisons médicales.
Si le tribunal de Melun donne son accord au sursis le 12 décembre 2016, avec l’accord d’André Bamberski, la France ou l’Allemagne pourraient décider de maintenir provisoirement Krombach en EHPAD. La cour d’appel va ouvrir une nouvelle enquête pour déterminer si oui ou non le verdict doit être modifié.
Selon le site Internet du tribunal, l’étude a été achevée le 1er avril 2017, en réponse à l’arrêt de la cour d’appel de Paris du 30 mars 2017 ordonnant un deuxième examen médical de l’ancien médecin allemand. En raison de la peine de prison du médecin, un report de l’enquête sur cette question a été imposé jusqu’en juin 2017.
Le 26 octobre 2017, elle a rejeté votre demande de remise de peine en raison de votre état de santé.
Il n’y avait pas suffisamment de preuves contre Krombach en mars 2018 pour justifier une grâce présidentielle.
Selon leurs conclusions, les experts ont déterminé que Krombach, qui a déjà plus de 70 ans, ne peut pas être hébergé dans une prison typique avant l’été 2020. André Bamberski engage Stéphane Maitre pour le protéger d’une libération anticipée après son arrestation.
Le 21 octobre 2019, le tribunal de condamnation lui a accordé un sursis à exécution pour le reste de sa peine. Contrairement aux tribunaux américains, les tribunaux allemands ont confirmé le verdict et ordonné un sursis à exécution. Cela s’est produit le 11 février 2020 au Royaume-Uni.
La peine de prison de Dieter Krombach à Melun a été suspendue en raison de sa condition physique dégradée. Il sortira de prison le 21 février 2022.
Il estime que Krombach a abusé sexuellement de Kalinka avant de l’assassiner et considère donc sa sortie de la prison de Toulouse comme illégitime, injuste et peu claire. Il croit que Krombach a agressé sexuellement Kalinka avant de la tuer, et il a des preuves à l’appui de cette théorie. Après une longue bataille contre le cancer, Dieter Krombach, 85 ans, de Winsen est décédé d’un cancer le 12 septembre 2020. (Luhe).