Affaire Narumi Kurosaki. Dans le cadre de l’affaire Narumi ou affaire Narumi Kurosaki, la police française enquête sur la disparition et le meurtre probable d’un étudiant japonais à Besançon (Doubs) en décembre 2016, sur lesquels enquête le FBI. La France, le Japon et le Chili sont tous parties à la procédure judiciaire de l’affaire, qui se déroule simultanément sur trois continents différents. Kurosaki Narumi avait deux sœurs plus jeunes, Honami Kurosaki (Kurosaki Honami ? ) et Kurumi Kurosaki (Narumi Kurosaki ?) Narumi Kurosaki était la plus jeune de trois enfants, avec Honami Kurosaki (Kurosaki Honami ?) comme sa sœur aînée. De 2011 à 2014, elle a fréquenté le Tokyo Metropolitan Kokusai High School (a), situé à Tokyo. L’Université de Franche-Comté est située dans la ville de Besançon, en France, et Narumi y a déménagé en août 2016 alors qu’elle avait 21 ans pour y poursuivre des études. Avant d’être acceptée à la Faculté des lettres en janvier, elle a étudié le français au Centre de linguistique appliquée à l’automne de sa deuxième année. Narumi est étudiante à la résidence universitaire Théodore Rousseau sur le campus de La Bouloie. Elle loge dans une chambre étudiante au premier étage de la résidence universitaire Théodore Rousseau.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Narumi
Nicolás Zepeda Contreras est né le 11 décembre 1990 dans une famille chilienne aisée à Santiago, au Chili. Il est le troisième des trois enfants de la famille. Humberto Zepeda est le fils de Humberto Zepeda, qui travaille comme cadre supérieur chez Movistar. Sa mère, Ana Luz Contreras, travaille comme secrétaire au bureau d’un sénateur et au département des ressources humaines de la municipalité de La Serena, où il est né. C’est à Temuco, au Chili, qu’il a grandi avec ses sœurs jumelles, Belén et Josefa. Il a fréquenté le Colegio Centenario jusqu’à ce qu’il obtienne son diplôme en 2008, après quoi il a continué à travailler dans l’industrie de la construction. Plus tard, il a poursuivi ses études en sciences de gestion à l’Université de Santiago, où il a reçu les honneurs dans son domaine d’études.
Affaire Narumi Kurosaki
Nicolás Zepeda s’est rendu au Japon en 2014 pour poursuivre ses études, et c’est là qu’il a rencontré Narumi, qu’il a rencontré en octobre sur le campus de l’Université de Tsukuba. Nicolas présentera la jeune fille japonaise à sa famille comme sa compagne du 6 septembre au 1er octobre, après qu’ils aient commencé à se fréquenter en février 2015. Il a quitté le Japon en 2015 pour terminer ses études de premier cycle, mais il est revenu au pays le 12 avril 2016. , chercher un emploi. Le 6 octobre 2016, Narumi et Nicolas, selon les propres mots de Nicolas, ont officiellement dissous leur relation. Lors de son passage à l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques de Besançon, Narumi rencontre Arthur del Piccolo, un élève qui devient son nouvel amant pendant son séjour. Narumi assiste à son cours de danse le dimanche 4 décembre 2016 et part vers 16 heures. Le dimanche 4 décembre et le lundi 5 décembre, une quinzaine d’élèves du dortoir où loge Narumi entendent un cri suivi d’un bruit sourd vers 3h20. Rachel, une étudiante anglaise, envoie alors un message à une amie dans lequel elle décrit la situation comme “comme si quelqu’un était abattu”.
Les sons dans le couloir amènent Adrien, un autre étudiant, à se gratter la tête et à comprendre d’où ils viennent. Il est déconcerté. En raison du sérieux avec lequel la Japonaise a pris ses cours et n’a jamais manqué une séance, ses amis s’inquiètent lorsqu’ils ne la voient pas le lendemain. Le 5 décembre, son nouveau petit ami lui a proposé. Elle reçoit un SMS d’Arthur Del Piccolo, anxieux de ne pas avoir de ses nouvelles. La famille et les amis de Narumi ont été informés par SMS et sur les réseaux sociaux qu’elle rencontrait un problème de passeport et devait se rendre au consulat du Japon à Lyon. Un billet de train aller simple Besançon-Lyon est acheté avec sa carte bancaire le 6 décembre, et il est en route. Plutôt que de dépendre de l’ambassade du Japon à Lyon (qui n’a que des bureaux administratifs), Narumi Kurosaki se tourne vers le consulat du Japon à Strasbourg pour obtenir de l’aide.
Sa famille continuera probablement à recevoir des SMS dans les jours suivants, les informant qu’elle a un nouveau petit ami et qu’elle voyage seule. Après le 12 décembre, les gens ne recevront plus de correspondance du gouvernement ou d’autres organisations. Le Centre de linguistique appliquée de Besançon a contacté la police le 14 décembre, et ils sont arrivés dans sa chambre en fin de journée le 15 décembre, selon le rapport de police.
Au début, les détectives ont blâmé Arthur, le nouveau petit ami de Narumi, après avoir rapidement déterminé que l’absence de l’élève en classe était préoccupante. Il se souvient de l’ancien amant chilien de Narumi, Nicolás Zepeda Contreras, qu’il décrit comme un individu jaloux et possessif qui était même allé jusqu’à pirater son compte Facebook lors d’un interrogatoire par la police. À première vue, la distance entre les parties n’en fait pas un facteur pertinent à considérer. Cette chanson takes sur un tout nouveau niveau d’appel pour moi en ce moment !
Existe-t-il une abondance de preuves cohérentes?
D’autre part, l’avocat général a conclu qu'”un nombre anormalement élevé de signes concordants démontraient l’implication de M. Zepeda dans le meurtre de Narumi”. L’ordonnance d’inculpation contre le Chilien de 29 ans pour la mort d’un étudiant japonais a ensuite été confirmée par un tribunal.
Sur la base de “nombreuses preuves techniques”, dont des appels téléphoniques, la localisation GPS de la voiture de location du suspect et des achats par carte de crédit, le parquet de Besançon avait demandé un renvoi devant la cour d’assises du Doubs. Cela était basé sur des “témoignages de proches” qui contredisaient l’histoire du suspect en janvier et “de nombreuses preuves techniques”.
Le procès de Nicolas Zepeda, qui doit avoir lieu un an après la saisine définitive de la cour d’assises, déterminera s’il passera le reste de sa vie en prison.
Quelle est la procédure pour faire face au licenciement de Narumi Kurosaki ?
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon s’est réunie jeudi 1er avril pour procéder à une évaluation à huis clos du dossier de saisine de Nicolas Zepeda. Le 11 mai, une décision sera prise.
Jeudi 1er avril, une audience à huis clos s’est tenue devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon pour apprécier l’affaire. Dans cette affaire, Nicolas Zepeda est représenté par moi-même Jacqueline Laffont. Selon son avocat, elle a été relaxée devant les assises, qui ont affirmé que son renvoi était “déraisonnable”. Sa déclaration, dans laquelle elle a réitéré son point de vue selon lequel il n’avait rien à voir avec la mort de Narumi Kurosaki, était la suivante : « Il est assez courant au Japon que des jeunes disparaissent ou se suicident.
Quelle était la raison de l’absence du meurtrier présumé du tribunal ?
La présence de Nicolas Zepeda a été notoirement absente tout au long de l’audience du mercredi 2 février. Me Julie Benedetti et Me Jacqueline Laffont, membres de son équipe juridique, ont déclaré que leur cliente était disposée à accepter un bracelet électronique en échange de sa sortie de prison . Leur client a pleinement coopéré à tous les interrogatoires auxquels il a été soumis depuis son extradition.
Ils ont également déclaré que Nicolas Zepeda n’avait jamais cherché à contraindre un témoin. Maintenant que l’enquête est terminée, ces déclarations ont été enregistrées dans le cadre du processus. Selon le président, Nicolas Zepeda “n’y est pour rien !” malgré les difficultés de la France à obtenir son extradition. Me Laffont a fait une réclamation.
Ils vivraient une vague d’agonie si les parents et les sœurs de la victime devaient être libérés” – Moi, l’avocate représentant la famille de Narumi Sylvie Galley est une actrice britannique.
Me Sylvie Galley, l’avocate de Narumi Kurozaki, s’est prononcée en faveur du maintien en détention du Chilien Nicolas Zepeda jusqu’à son procès, déclarant : « Imaginez l’émotion qui serait suscitée gratuitement chez les parents et les deux jeunes sœurs de Narumi avant que Nicolas Zepeda ne soit jugé ; c’est une blessure qui ne guérira jamais.”