Exciser Une Fille. L’excision est considérée comme une sorte de mutilation génitale. Une ablation cérémonielle du clitoris, et dans certaines circonstances, des petites lèvres, est pratiquée sur les jeunes filles et les femmes dans certaines sociétés, notamment au Moyen-Orient. Le vendredi 21 juin 2019, Marlène Schiappa a dévoilé un plan global pour mettre fin à la pratique des mutilations génitales féminines, qu’elle a qualifiées de forme de torture qui porte atteinte à la dignité et aux droits humains des femmes et des filles. L’utilisation d’un instrument d’excision pour commettre des mutilations génitales est interdite par la loi. Une ablation cérémonielle du clitoris, et dans certaines circonstances, des petites lèvres, est pratiquée sur les jeunes filles et les femmes dans certaines sociétés, notamment au Moyen-Orient.
En savoir plus sur :
https://www.gouvernement.fr/60-000-femmes-excisees-en-france-le-gouvernement-lance-un-plan-contre-l-excision#:~:text=L’excision%20est%20une %20mutilation,petites%20filles%20et%20jeunes%20femmes.
Les femmes mutilées sont plus susceptibles que non d’avoir une variété de problèmes de santé dus à ce traitement. La douleur et le stress qu’une femme ressent tout au long de la grossesse influencent sa santé sexuelle, ce qui comprend entre autres un inconfort persistant, un risque plus élevé d’infections vulvaires et urinaires, des complications obstétricales et une probabilité accrue de décès du nouveau-né. Même si l’excision est interdite par la loi depuis le 4 avril 2006, cette pratique ancestrale, incompatible avec l’intégrité et les droits fondamentaux des femmes et des filles, continue d’être pratiquée.
Au total, plus de 60 000 Françaises ont subi une ablation chirurgicale du col de l’utérus. Une partie importante de la population a des ancêtres des nations ouest-africaines du Mali, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire et de la Guinée, entre autres.
Exciser Une Fille
Ce terrible acte de torture, qui a le potentiel d’avoir des conséquences bouleversantes, doit cesser, et le gouvernement s’est engagé à le faire. Il a lancé un programme de lutte contre l’excision en collaboration avec toutes les associations et organisations non gouvernementales (ONG) concernées.
Ce plan vise notamment à :
Sensibiliser et mieux former les professionnels pour mieux prévenir.
Améliorer la santé des femmes victimes de mutilations sexuelles, en particulier leur santé mentale et sexuelle.
Agir au plus près des territoires en expérimentant des partenariats entre acteurs locaux pour renforcer l’information et la protection des femmes victimes.
Développer et utiliser des outils de prévention appropriés.
Enrichir l’état des connaissances, mettre en place les bons outils de prévention, enrichir l’état des connaissances, mettre en place les bons outils de prévention.
Quand une tumeur est enlevée, quels sont les effets à long terme ?
Il y a des conséquences à la fois immédiates et à long terme, y compris des saignements, des infections, des souffrances psychologiques et la mort dans certains cas (douleurs, troubles sexuels, maladies à répétition et complications lors de l’accouchement). La pratique des mutilations génitales féminines peut avoir une influence significative sur la vie d’une femme. Il y a des conséquences à la fois immédiates et à long terme, y compris des saignements, des infections, des souffrances psychologiques et la mort dans certains cas (douleurs, troubles sexuels, infections à répétition et complications lors de l’accouchement).
Que signifie exactement circoncire une partie du corps féminin ?
Le féminicide est le mot utilisé pour décrire le prélèvement régulier et inexplicable d’organes sexuels féminins sur de jeunes femmes sans raison médicale. Lors d’une réunion régionale tenue au Burkina Faso, le Comité interafricain sur les pratiques traditionnelles affectant la santé de la femme et de l’enfant a autorisé l’expression « mutilation génitale féminine ». Pour supprimer différentes zones de l’anatomie féminine et modifier de manière permanente les organes sexuels des jeunes femmes qui sont exposées à cette pratique sans bénéfice médical apparent, plusieurs méthodes sont utilisées pour le faire. Dans ce cas, la chirurgie impliquerait de couper ou d’enlever les organes génitaux d’une femme, ce qui serait fait à des fins cérémonielles ou traditionnelles.
Les femmes et les filles ont été soumises à des mutilations génitales féminines (MGF) pendant des décennies dans le cadre d’un ancien rituel destiné à les préparer aux responsabilités qui accompagnent la féminité.
Les mutilations génitales féminines (MGF) sont une pratique courante chez certains musulmans traditionnels, même si les experts religieux affirment que le Coran n’en fait aucune mention. La MGF est une pratique qui s’est popularisée ces dernières années. Notre pratique a peut-être commencé en Afrique, dans la péninsule arabique, en Asie et en Amérique du Sud. Pourtant, il a maintenant trouvé son chemin vers le Canada en raison du flot de migrants du monde entier dans ce pays.
L’agonie et la souffrance vécues par celles qui ont subi des mutilations génitales féminines (MGF) sont généralement aggravées par de futures complications médicales résultant d’une infection des organes génitaux ou d’autres régions du corps, qui peuvent mettre leur vie en danger. Tomber enceinte d’un deuxième enfant À la suite d’une infection ou d’un saignement important, il est possible de subir des dommages à long terme ou même la mort. Les implications psychologiques de cette approche sur la vie sexuelle et l’image de soi des femmes ge ont été largement étudiés dans la littérature scientifique. L’infibulation, la procédure de MGF la plus difficile, est requise après chaque accouchement et doit être pratiquée par un professionnel qualifié.
Les mutilations génitales féminines (MGF) ont de nombreux objectifs, dont le plus important est de réduire le désir sexuel des femmes, de préserver la virginité des jeunes filles et d’accroître leur beauté en tant qu’épouses. La participation de la Commission au Groupe de travail ontarien sur la prévention des mutilations génitales féminines (le Groupe de travail ontarien) lui a fourni un aperçu précieux des diverses raisons de cette pratique, notamment :
La préservation de la virginité.
La répression de la sexualité féminine et son expression.
Considérations esthétiques.
Facteurs liés à la classe sociale et à l’identité culturelle.
De plus, des préoccupations “hygiéniques” ont été avancées pour soutenir cette méthode.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, entre 100 et 132 millions de femmes et de filles ont été mutilées et environ 2 millions de leurs pairs ont été exposés à ce danger. Aucune information fiable n’est disponible sur la prévalence des mutilations génitales féminines (MGF) au Canada. D’autre part, les communautés à risque ont présenté suffisamment de preuves pour établir qu’il existe un nombre important de femmes en Ontario et dans d’autres provinces du Canada qui ont subi des MGF et dont les enfants risquent d’être bien exposés aux MGF. Cependant, bien que la « circoncision féminine » puisse faire référence aux MGF dans certains milieux, cette expression ne caractérise en effet pas la pratique.
Quels sont les problèmes de l’excision et quelles sont les solutions possibles ?
Nos efforts pour mettre fin à la circoncision seront renforcés par l’éducation des hommes et des femmes, l’embauche d’interprètes, l’inscription de chefs religieux et la participation d’exciseurs traditionnels à des excisions fictives. Les excisions simulées peuvent également être utilisées pour sauver la vie des enfants, ce qui peut être fait avec leur consentement. Tout en retirant délicatement celles du dessus… Un interprète doit être présent à toutes les séances PMI (Protection Maternelle et Infantile). Par conséquent, les mères sont les premières informées des ramifications juridiques et morales de la circoncision et des dangers d’aller en prison et de perdre sa carrière si son mari est arrêté ou perd son travail à la suite de la circoncision. Cette prise de conscience n’est pas immédiatement apparente, et de nombreuses mamans ne peuvent pas faire le lien entre les problèmes actuels de leur enfant et le traitement en question. Seul ce que Dieu a prévu se produit. En revanche, en ce qui concerne les risques pour la santé physique associés à l’accouchement, ils peuvent être persuadés.
Pour les femmes africaines, l’accouchement est un événement naturel et avoir plusieurs enfants est considéré comme un signe de prestige social. Les césariennes, qui sont souvent nécessaires en cas d’excision, sont quelque chose qu’ils appréhendent de devoir subir. Supposons que ce processus compliqué pour les personnes qui accouchent en dehors d’un hôpital ou d’un autre environnement médicalement supervisé se répète plus d’une fois sans mettre la vie de la femme en danger. Dans ce cas, sa capacité à avoir des enfants sera sévèrement restreinte. Il est essentiel de tenir les gens au courant, de participer aux initiatives africaines de prévention et de renforcer la pression internationale. Pour être menée, seule une bataille mondiale doit être menée : A quoi sert d’interdire l’excision si les familles transfèrent leurs filles dans le pays pour quelques jours puis les renvoient excisées si l’excision n’est pas pratiquée en France en premier lieu ? Grâce aux exciseuses traditionnelles de Guinée, la réunion a été considérée comme un moment décisif dans l’histoire récente de l’Afrique. La résolution finale a déclaré que “tout acte probable d’excision devrait être dirigé vers une unité de santé avec un professionnel de la santé suffisamment sensibilisé qui imiterait l’acte” devrait être la première étape. La simulation d’excision est pratiquée en Guinée depuis plusieurs années.